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"Ozia con me sull'erba, libera la tua gola da ogni impedimento, né parole, né musica o rima voglio, né consuetudini né discorsi, neppure i migliori, soltanto la tua calma voce bivalve, il suo mormorio mi piace. Penso a come una volta giacemmo, un trasparente mattino d'estate, come tu posasti la tua testa di per traverso sul mio fianco ti voltasti dolcemente verso di me, e apristi la camicia sul mio petto, e tuffasti la tua lingua sino al mio cuore snudato, e ti stendesti sino a sentire la mia barba, ti stendesti sino a prendere i miei piedi."
"Arcadia? The realm of the infinite?
It's a poet's corner...
It's not a cult or a religion – it's an awareness of your surroundings;
you're not going to force yourself on anyone and, equally, no one's going to force themselves on you.
And it's about community and pleasure.
It came from a whisper through the trees.
It came from a crack in the pavement. It can also come when you open a bag of crisps,
or when you kick a football against a goalpost.
Even if I was winding you up, it would still be true, because Arcadia and the Arcadian Dream is so deep,
is so true to our hearts...
It can be as powerful as your imagination can allow it to be.
But, it can also be as dark and twisted as your soul...
Arcadia encompasses the infinite, and that's why it comforts me."
shamble attitude
The Beatles.
The Libertines.
The Strokes.
The Velvet Underground.
Bob Dylan
Oasis.
Babyshambles.
The Smiths.
Francesco De Gregori.
Black Rebel Motorcycle Club.
Verdena.
Velvet Score.
BB Brunes.
The Doors.
The Infadels.
Jarvis Cocker.
Nirvana.
The Smashing Pumpkins.
Pink Floyd.
Art Brut.
The Horrors.
Editors.
JoyDivision.
Death Cab For Cutie.
Twisted charm.
1990s.
Blondelle.
Calmes dans le demi-jour
Que les branches hautes font,
Pénétrons bien notre amour
De ce silence profond.
Fondons nos âmes, nos coeurs
Et nos sens extasiés,
Parmi les vagues langueurs
Des pins et des arbousiers.
Ferme tes veux à demi,
Croise tes bras sur ton sein,
Et de ton coeur endormi
Chasse à jamais tout dessein.
Laissons-nous persuader
Au souffle berceur et doux
Qui vient à tes pieds rider
Les ondes de gazon roux.
Et quand, solennel, le soir
Des chênes noirs tombera,
Voix de notre désespoir,
Le rossignol chantera.
Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l'herbe menue :
Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l'amour infini me montera dans l'âme,
Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la Nature, - heureux comme avec une femme.
L'hiver, nous irons dans un petit wagon rose
Avec des coussins bleus.
Nous serons bien. Un nid de baisers fous repose
Dans chaque coin moelleux.
Tu fermeras l'oeil, pour ne point voir, par la glace,
Grimacer les ombres des soirs,
Ces monstruosités hargneuses, populace
De démons noirs et de loups noirs.
Puis tu te sentiras la joue égratignée...
Un petit baiser, comme une folle araignée,
Te courra par le cou...
Et tu me diras : " Cherche ! " en inclinant la tête,
- Et nous prendrons du temps à trouver cette bête
- Qui voyage beaucoup...
"Abbagliante, tremenda, come rapidamente l'alba mi ucciderebbe, se io non potessi ora e sempre fare un'alba di me. Noi anche ascendiamo abbaglianti e tremendi come il sole, noi fondiamo il nostro sorgere, mia anima, nella calma e nel fresco dell'alba. La mia voce va dove i miei occhi non possono giungere, ruotando la mia lingua circondo mondi e volumi di mondi."
eight days a week
New love grows on trees