Mickaël C. Alasèv

ENGLISH....
Mickaël C. Alasèv, explores intimist folk music, lo-fi music, or the sound rock at the border of the songwriting.A new album is in progress at the end of the year. A distributor is being sought for this one.
FRANCAIS....
Mickaël C. Alasèv, explore la folk intimiste, la lo-fi musique, ou encore le rock dans son état dépouillé à la limite du songwriting.Après 2 mini-albums "Ep - 2003" 7 titres et "Les Envoûtées - 2006" 6 titres, un nouvel album (10 titres) est prévu pour fin 2008, Une distribution est recherchée pour celui-ci...
Février 2008
* La Magic Box
La présence d’Amélie, auteur d’un excellent album en 2007, sur un titre de cet EP donnera un intérêt retard à cet EP enregistré en 2006. C’est vrai que ce Yeah lord, ballade au banjo de folk crépusculaire, ne manque pas de charme. Pourtant, ce n’est pas là que Alasèv marque son monde mais plutôt en proposant d’autres titres plus originaux. Mickaël Caron chante en français (excepté come rain and shine) d’une manière particulière que l’on ne croyait rencontrer que dans le flamenco : une implication maximale comme si sa vie semblait en dépendre.Dès lors, l’envoutée a le goût du sang mêlé à la poussière. A six pas du désert apporte un regard halluciné à une folk « américanisante » mais assortie d’un darbuka trippant. Ainsi, Alasèv se détache facilement de son modèle possible, 16 horsepower. Le EP se termine sur une touche plus légère où un (faux) accordéon et une rythmique qui claudique sur un pied donnent presque envie d’entamer une petite valse avec son (sa) partenaire. Le duo prépare actuellement un nouvel album. Cet EP servira donc à vous remettre au niveau et à faire Alasèv une de vos priorités 2008.
Janvier 2008
* L'oreille à l'envers
(...) Le temps n'existe plus, l'oreille tourbillonne dans un flot d'émotions. Mélodies folk rock retenues par la bride ou embardées indé sauvages comme un cheval au galop, échappée vers les cieux pour un joyau d’essence celte avec une fée chanteuse (Amélie) ou transes vibratoires au goût de terres remuées par les vents, c’est l’envie d’être en vie qui s’exprime en reliefs et contrastes.Le souffle chaud de la voix de Mickaël surprend, s'affirme, s'affiche aux gré des atmosphères, tantôt mélancolique, tantôt rude et tourmentée, toujours nomade.L’ensemble y est troublant, transcendant, enivrant. (...)
Août 2007
* Past All Concerns
"(...) les musiciens d'Alasèv témoignent d'un profond respect pour leurs instruments et pour les influences quasi-orientales qu'ils intègrent dans les compositions.Sans surcharge ou éxagération, la musique file, implose, puis devient délicate avant de nous replonger dans un tonnerre maîtrisé de sons saturés et de cordes suturées. Au milieu de ces déferlantes rock du plus bel effet, la voix de Mika, dans son aspect à la fois embrumé, mélodieux et faussement doucereux, se fait cri, arabesque vocale subtile et superbe (...)."
Juin 2007
* Nawak Magazine
"(...) Comme s'il avait voulu se calquer sur le bruit des sabots de chevaux lancés au galop sur le bord d'une plage, Mickaël, le chanteur de ce projet quasi solo, hurle sans crier, d'une voix qui pourrait autant supplier que dénoncer (...).
Avril 2007
* Abus Dangereux n°100
"Cette guitare évoque les déserts arides du sud de l'Amérique, la slide se laisse doubler par un langage étrange qui s'élève comme une mélopée enivrée de narguilé. Alors Afrique ou Amérique ? On hésite car le chant est poussé jusqu'à l'incantation, en totale adéquation avec une certaine idée qu'on se fait de 16 Horsepower ou même Jeff Buckley tandis que des accordéons et des percussions nous détournent vers le maghreb.Même si Mickael Caron, qui se cache derrière le patronyme, revendique haut et fort un certain héritage Tucsonien, ses morceaux nous emmènent plutôt vers Dazibao, Dahlia… A cause du chant en français, du chant hurlé comme si le vent soufflait fort pour faire taire ce mélange de rock et de folk. On est chaviré ou on s'enfuit, mais on ne peut pas rester indifférent". [C]
Mars 2007*
Muziczine.net
"C..est en parvenant à trouver le parfait équilibre entre rock épuré et sonorités traditionnelles que réside le secret de la réussite des six morceaux de cet Ep. Un équilibre préservé par la richesse du timbre vocal de Mickaël Caron. Le disque s’achève trop tôt, par un très festif « Cabaret ». On en redemande…"
Février 2007*
The French Touch
"Alasèv marie tout ce qui lui tombe entre les oreilles et en retire une mixture prenante et totalement cohérente (...) Alasèv a choisi la voie de la pérégrination, du prêche musical de par les routes, routes qui ramènent toujours au coin du feu du "Cabaret".Le lieu est imprécis, l'année également. On pense à l'Europe de l'Est, on croit entrevoir une influence tzigane, certains y verront des musiques traditionnelles en provenance d'autres pays. Cela résume bien Alasèv et son premier album, groupe difficile à cerner au premier abord, à la musique intelligemment construite, que je vous engage à découvrir"
Janvier 2007
* Sincever.com
"(...) Mika nous fait prendre le train, pour fuir notre quotidien bien gris, et l’harmonica nous conduit vers les routes de l’Arizona. Un désert hypnotique."
* Rock’n’France
"(...) où quand chroniquer devient un supplice lorsque les mots vous manquent à l'écoute de cet excellent 6 titres! (...) les détails nombreux et subtils se font de plus en plus jour pour mon plus grand plaisir à chaque nouvelle écoute...... déconcertant, fascinant, je ne connais qu'un groupe pouvant s'approcher de cette presque perfection, Alasèv a enfoncé le clou !"
Novembre 2006
* Lecargo
(...) "Ce n'est en effet pas tous les jours qu'on rencontre une telle maîtrise du rythme et de l'intensité des morceaux. On a l'impression qu'ils ont ça dans le sang, qu'ils sentent intuitivement quand relancer, quand calmer, quand glisser, quand tuer le morceau. C'est une constante sur l'ensemble de l'album et participe pour beaucoup à l'arrimage auditif et jouissif qu'on a vécu dès les premières écoutes : il faut entendre l'arrivée de la guitare sur "La colline", savourer les accalmies musicales de "L'envoûtée" qui rendent le chant si poignant et les reprises contrepointées si intenses, attendre en embuscade la pause banjo de "Yeah Lord", tomber de haut sur la fin de "Come rain or shine", vibrer sur les saillies électriques d'"à six pas du désert" et se libérer sur ses rails, une guitare-locomotive ouvrant la voie, la caméra depuis longtemps abandonnée ..."
* Zicazic.com
(...)"On succombe de plein gré aux claquements secs des cordes et au son un peu cheap d’un folk lo-fi qui vient mitiger un rock de bonne facture et qui n’a rien ou au pire très peu à envier à celui des grosses machines anglo-saxonnes. Partagé avec Amélie, le chant de « Yeah Lord » marque une transition à double titre puis qu’il constitue le seul duo de l’album mais qu’il représente aussi un des deux seuls titres en Anglais de l’ouvrage. (...) c’est le maxi dans son ensemble qui séduit grâce à un ton sincère et à un jeu très subtil et coloré … A confirmer rapidement sur un véritable album !"
Mars 2006
* Liberty.org
(...)"La musique d’Alasèv ne s’explore pas note à note, pas plus que les paroles ne sont à guetter mot par mot : cette musique-là réclame une écoute linéaire, elle ne demande qu’à bercer ses auditeurs, les mélopées du chant à envoûter et raisonner dans nos consciences comme un cri qui signifie simplement mais profondément : « j’existe ! »."