Lorsque les impasses regorgent de portes et dévoilent d’innocents secrets, les mots manquent et nous voulons crier. Ces nappes de sens brut se heurtent, et il nous faut les colorier d’un songe vif. Puisque le jeu devient oubli de l’Autre, la musique de klymt advient, à l'image d'un monde où rien n'est sûr.
Muée par une profonde envie de fuir, la question est cynisme; manipulation... sous couvert de divertissement. La chair elle-même est prise par sa propre volonté d'asepsie. Dans cette lutte entre hasard et fatalité, le groupe avance vers une aventure sue et crainte.
Tu écoutes, tu juges.