olivier monfort

Olivier MONFORT : Originaire de Bretagne (Lézardrieux, côtes d'armor), il monte à Paris pour raisons professionnelles au début des années 90 et se retrouve dans la situation d'un "Breton de Paris" ! Débute l'écriture de chansons et tente de les défendre sur de petite scènes accompagné simplement à la guitare.Ses sources d'inspirations sont multiples : les petites histoires de la vie quotidienne sont à l'origine des thèmes de ses chansons. Lors de ses temps libres, il aime à écouter de multiples chansons avec des goûts éclectiques : en vrac , Glenmor (!), P. Perret, G. Brassens, Renaud, et Victor Hugo (qu'il n'hésites pas à mettre en musique), et quelques chansons de JM. Caradec, Barbara, Beau Dommage, F. Lalane (!) , C. Trenet, S. Reggiani, H. Salvador, C. Aznavour, les chansons de Vincent Scotto découvertes enfant lors des banquets de famille en bretagne qui finissaient toujours en chanson ( Sous les ponts de Paris, Je cherche fortune, Adieu venise provencale, la Java Bleu, Tant qu'il y aura des étoiles, Tchi Tchi, ...), et plein d'autres chansons encore dont celles de Clarika et de Clarisse Lavanant .Aime la poésie par paresse ...(un poème se lit en trois minutes et procure aussitôt une petite émotion) il n'a jamais réussi à faire partager ses goûts à ses copains d'alors plus orientés vers U2, Clapton, Dire Straits,... ............................................................ ............................................................ .... 5 titres de chansons mis en ligne: ............................................................ ............................................................ Paris au mois d'août : inspiré librement du roman de R. Fallet et résumé en 16 lignes : "...Houspillé par un automobiliste furieux de le voir flâner devant ses roues, Henri Plantin médite la justesse des injures reçues en gagnant le refuge du trottoir. Qu'il ne soit pas grand-chose sur terre, c'est indéniable. Son bilan ? Quarante ans, une femme et trois enfants (qui se grisent actuellement d'air marin), un emploi de vendeur à la Samaritaine, l'espoir de passer chef de rayon et de trouver la bonne combinaison au tiercé. Il y en a des millions comme lui ? il n'est parmi cette foule qu'un visage anonyme sur qui personne ne se retourne. Si, pourtant, voilà quelqu'un : cette jolie fille en robe rouge qu 'il vient d'admirer au passage en songeant qu'elle est trop belle pour jamais s'intéresser à un minus comme lui. Elle s'approche, demande son chemin, accepte qu'il l'accompagne. Hé, hé, dira-t-on. Hé non! Henri n'est pas un coureur de jupons; sa rencontre avec cette jeune Anglaise perdue dans Paris tombe à pic pour le réconforter, c'est tout, et cela lui enflamme tant et si bien le cœur qu'il en perd la tête. Henri Plantin le timide est prêt à faire n'importe quoi, même des choses héroïques, pour conquérir Pat. Et il en fait. C'est ce qui donne son charme, sa poésie, à cette chronique ironique et tendre d'un amour d'été..."................................................. ............................................................ ..Le temps révolu : chanson d'une autre époque ? ............................................................ ....................................................... L'infidèle : exercice de style entre "Une jolie vache" de G. Brassens et "l'infidèle" de P. Perret ............................................................ ............................................................ ...La rue des petits carreaux : une enfance improbable décrite dans cette chanson (mes parents inquiets se demandent toujours qu'elle est la part autobiographique qui m'a inspirée ce texte de chanson).................................................... ............................................................ ............. Marie-Claire : l'amour c'est simple sauf quand ça devient compliqué !