dbClifford

I was born in France and my mother was British so I share both cultures equally, however Canada has become my new home. Music has always been around me and at a very young age I knew it would become my life.After my mother passed away a couple of years ago I decided to produce and record an album by myself. It took me six months to finish RECYCLABLE (on which I play all of the instruments) and close to two years to find a record label to distribute it. Finally in August 2006 I signed a deal with a major label in Canada and RECYCLABLE is now available in stores (in Canada) as of March 2007.
I am currently living in Toronto and working on a tour for this summer. I will be performing at various Jazz festivals in Canada and I am planning on flying to Europe to release my album in September.
On this page you will find a couple of songs from RECYCLABLE and some live tracks recorded in Toronto in September 2006. I look forward to meeting you on the road very soon, until then take care and be safe,
dbClifford
Coup d’--il aux notes du livret : « All songs written, arranged, produced and recorded by db Clifford » ; ligne suivante : « db Clifford : all instruments ». Ainsi, ce garçon de 27 ans a mûri et enfanté seul ce premier album sonnant comme un classique des années 1960 ou 1970, une merveille d’aujourd’hui et de demain ? Un disque « recyclable » puisque parfaitement intemporel. Un moment de grâce, fruit d’un parcours singulier, à vocation internationale.
Né d’une mère anglaise et d’un père français, Daniel a grandi dans le Périgord. Entouré d’une vaste discothèque familiale, des instruments de musique paternels et même d’un petit studio d’enregistrement, le fiston se révèle un musicien plus que précoce. Pianiste remarqué à l’âge de 5 ans, pré-ado multi-instrumentiste, db Clifford profite de l’isolement campagnard pour peaufiner ses dons. Imprégné de la culture « classic rock » de ses parents, il s’émancipe musicalement en se passionnant pour les grooves savants, l’élégance urbaine de groupes comme les Brand New Heavies, Incognito ou d’un chanteur comme Jamiroquai - sa première idole. Ceux-ci l’impressionnent au point que Daniel s’enferme pour reproduire leurs morceaux à la note près.
Le talent de l’artiste dévore les expériences et les frontières. Après des premiers essais de groupes, db Clifford conçoit avec un ami Canadien une première maquette de chansons originales. Avec le culot de gamins habités par leur passion, ils traversent l’Atlantique. Leur démo séduit Babyface, le duo signe avec Interscope. Mais après un an et demi passé à Los Angeles, l’absence de projet concret les expatrie au Canada. A Victoria, Colombie-Britannique, Daniel, en parfait bilingue, se frotte aux meilleurs groupes locaux, étoffe encore son expérience et commence à se persuader qu’il peut s’épanouir en solo. Un drame, la mort de sa mère, bouleverse sa vie et accélère son destin.
De retour en France, il choisit alors de se retirer dans la Dordogne de son enfance, vend les meubles de son appartement américain et, avec cet argent, achète ce qu’il faut de matériel pour enregistrer son disque à la maison. En six mois, le jeune homme compose et autoproduit les chansons de « Recyclable » comme crépite un feu d’artifice. Au piano, à la guitare, à la batterie, à la basse, et sans trucage synthétique, db Clifford fusionne son amour des mélodies pop et du « songwriting » à l’ancienne, des grooves sensuels du r’n’b et de la spiritualité soul. Un univers à la croisée des Beatles et de Stevie Wonder, d’Elton John et Marvin Gaye, de Coldplay et de Jamiroquai. Au chant, son falsetto sexy synthétise pareillement la palette noire et blanche de ses références. Sans les gadgets qui encombrent les musiques urbaines d’aujourd’hui, il se déhanche sur le piano funky de l’irrésistible « Don’t Wanna » ou du politique « Simple Things », dénude les émotions dans des ballades comme « Give Me Another Day » ou le légèrement psychédélique « Should I Wait », plonge dans la soie la mélodie de « About A Girl ».
Pour définir son album, Daniel, qui habite maintenant Toronto, privilégie trois mots : engagé, naïf et romantique. On pourrait ajouter brillant, tendre, euphorisant. Signé au Canada par Sony-Bmg, publié d’abord outre-Atlantique, db Clifford a vu son album triompher au Japon (où « Don’t Wanna » a été n°1). Le disque de cet artiste sans frontière sort enfin en France le 14 avril prochain ainsi qu’en Angleterre et au Bénélux.
Au revoir!!
db Clifford
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