Welcome to Spyfox’s music box, a journey into the heart of pop music where past and present cheerfully jumble together. Fasten your seat belt! This album has been shaken like a magnum of champagne ready to explode.
‘Monsters’ is an exulting bottle of effervescent pop that sparkles with bursts of joy, drags you into erotic dreams or even sweaty nightmares, shatters your heart into pieces and then tears you up with powerful riffs.
Influenced by Neil Hannon’s dandyism and Radiohead’s devastating harmonies, Jérôme Salado also learned a lot while listening to the Beatles. This graphic designer who never forgot that music was his first love, had experiences in various bands before creating Spyfox. Spyfox, more a concept than a band. Strings, brass, unbridled saxophone, grandiose piano, cello, ukulele, fuzz bass, spanish guitar, glockenspiel, tablas and other funny noises mix and match in this flexible entity.
Spyfox squeezes the very juice of pop music, adds a sprinkling of electronic spirit to the melodies, while never forgetting to go a bit crazy and certainly never bending to the rules of trend.
High-pitched, soft and then sharply crystal-clear, Spyfox’s voice is the unifying thread of this almost schizophrenic universe. While the music is somehow a tribute to his pop masters, the lyrics reflect a complex personality: anxiety hidden behind a curtain of nonchalance. Childhood has also its share in these roundabout and playfully-shaped pieces. Childhood memories, fatherhood, and fascination for his inner freaks give this first album its youthful energy without hiding the darkest sides of an artist on the edge of maturity.
Bienvenue dans la boîte à musique de Spyfox : un voyage au coeur de la pop, où passé et présent se télescopent allègrement. Attachez bien votre ceinture, ce treize titres est secoué comme un magnum en fin de Grand Prix.
‘Monsters’ vous invite à des explosions jubilatoires, vous entraîne dans des rêveries érotiques ou cauchemardesques, et tricote des ballades qui vous laissent le coeur en miettes. C’est un magnum de pop qui fait vraiment des bulles, exulte, soupire, et vous lacère de coups de riffs électriques.
Nourri au dandysme décalé d’un Neil Hannon et aux harmonies dévastatrices de Radiohead, Jérôme Salado n’a pas omis d’être plus qu’assidu sur les bancs de l’école mélodique des Beatles.
Après de longues années de gestation et pas mal d’expériences, ce graphiste-illustrateur de formation (mais musicien avant tout) invente Spyfox, un concept plus qu’un groupe. Au sein de cette entité à géométrie variable, ensemble de cordes, section de cuivres, saxophone débridé, piano grandiloquent, violoncelle, bass-fuzz, ukulélé, guitare andalouse, xylophone, tablas et autres “bruits bizarres†viennent enrichir des arrangements fourmillants de détail.
Spyfox distille l’essence d’une pop inusable, et refuse de sacrifier à la mode sans pour autant s’interdire de mettre les doigts dans la prise ou de saupoudrer ses mélodies d’une pincée d’électro.
Tour à tour cristalline ou incisive, la voix de Spyfox joue le rôle de fil conducteur et distille ses refrains entêtants, en harmonie avec un univers quasiment schizophrénique.
Car si son univers musical est sous l’influence des grands de la pop, ses textes sont le reflet d’une personnalité complexe qui dissimule ses angoisses derrière un rideau de facéties. Les facéties de l’enfance, très présente, et celle de ses monstres intérieurs donnent à ce premier album, outre son titre, cette énergie juvénile qui le dispute aux accents plus tourmentés d’un artiste sur les berges de la maturité.