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Member Since: 19/09/2007
Influences: Document sans nom
Lunatic Asylum, Dr Macabre, Rob Gee, Manu Le Malin, Laurent Ho, Lenny Dee, DJ Paul, Carl Cox, DJ Freak, DJ Neophyte, Daisy, Terror Traxx, Industrial Strenght, Boscaland, Baby Boom, Rotterdam Rec, Cold Rush, Dance Ecstasy, GTI, H2OH, Twisted Vinyl, Neophyte Rec, Ruffneck, Red Tide, Mokum, VIP, Traxtorm, D-Boy, D-Boy Black Label…
Boogie Down Productions, Grandmaster Flash, Afrika Bambaataa, SugarHill Gang, LL Cool J, Public Enemy, Run DMC & Jam Master Jay, DJ Dee Nasty, DJ Cash Money & Marvelous, De La Soul, Busta Rhymes, Easy-E, Tupac Shakur, Cypress Hill, MC Ren, Snoop Dogg, Jay-Z, The Lox, Method Man, Jungle Brothers, Compton's Most wanted, Eminem, DJ Craze, DJ Kentaro, Dr. Dre…
Depeche Mode, David Bowie, Billy Idol, Orchestral Manoeuvres in the Dark, A-ha, The Cure, Les Beatles, Pink Floyd, Eric Clapton, Jimi Hendrix, Guns N' Roses, Iron Maiden, The clash, The Who, Berurier Noir, Gogol Premier, Metal Urbain, Warum Joe, Ludwig von 88, Prodigy, Chemical brothers, Fatboy Slim, Junkie XL, Bentley Rhythm Ace, Propellerheads…
Vladimir Cosma, Vangelis (BOF Blade Runner), Jean Michel Jarre (Oxygène), Ennio Morricone, Ludwig van Beethoven, Antonio Vivaldi…
BIOGRAPHIE :
Obiwan découvre la musique électronique à la fin des années 80, lorsqu'il passe plusieurs étés dans la banlieue nord de Londres. A cette époque, l'Acid House déferle sur l'Angleterre en provenance directe d'Ibiza. Il assiste aux soirées mythiques qui ont lieu dans les Warehouses du sud de la capitale anglaise. Il va aussi à Manchester, un des berceaux de la musique électronique européenne, notamment à La Hacienda, club légendaire, ou il est définitivement séduit. Il commence alors à acheter des disques régulièrement lors de ses visites outre-manche : beaucoup de Break Beat, mais aussi beaucoup de Hardcore, style par lequel il se sent attiré, que l'on ne trouve pas encore chez les disquaires à Paris.
En 1992 il craque, il en a assez de regarder les DJs mixer aux raves Fantom ou à Mozinor, une zone industrielle qui se trouve juste derrière chez lui et où sont organisées de nombreuses fêtes : il casse sa tirelire et il s'achète ses premières platines. Après quelques mois passés à dormir dessus, le destin le met sur la route d'Isa, Tof, JP, Tieum, Papé, Paul, Famas du Sound-System Psychiatrik, un des tout premiers en France sinon le premier, avec lequel il joue dans ses premières soirées. Les raves entrent à ce moment dans leurs heures de gloire (Abbaye du Moncel, After Mayday, La Villette, Apokalyps au Bourget…).
Grace à ses nouvelles connexions dans l'underground il accède à ses premiers backstages et l'envers du décor se dévoile à ses yeux incrédules, lui donnant l'occasion par la même d'observer les tous grands et ainsi améliorer sa technique. Dans la foulée il joue aussi avec différents Sound Systems tels que Happy Ravers, Invaders, et il entame une résidence sur une péniche bien connue pour ses afters le dimanche matin sur les quais de Seine dans le 15em arrondissement de Paris. Tout cela constitue un véritable tremplin pour lui et il se retrouve propulsé aux côtés d'artistes talentueux tels que Liza N'ELiaz, Laurent Ho, Automanic Josh lors de la Ravenloff en 94, puis il se fait booker régulièrement sur d'autres événements. Suivront la LSD party avec une prestation de plus de six heures, la Spirit's Earth avec Manu Le Malin, Guiz Ohm, Radium, la Psychiatrik Birthday Party et plusieurs passages remarqués en Teknivals. C'est le début d'une longue aventure.
Il mixe alors dans quelques clubs Parisiens comme le Rex, le Palace, le 38bis Quai de la Marne, il effectue une résidence au Transbar, et participe à quelques afters mémorables sur les quais de Seine entre Bercy et Tolbiac. Il intègre par la suite le label Epileptik, le Sound System Teknomad et l'organisation Hardconnexion. C'est un moment important de ma vie car il correspond à une rencontre avec des gens étonnants et très différents : Rico, Joël, Cécile, Fantom, Lobotomix, Pano, JM, Sophyan pour ne citer qu'eux, et surtout avec son futur maître et mentor fraichement débarqué de Hollande, qui chrystalisera son envie naissante de composer : Dr Macabre.
Depuis 2003 il est régulièrement présent sur la scène parisienne ainsi qu'en province : à La Scène à Vernouillet (Halloween Hardrave, Teknomad vs Epileptik I et II, Epileptik vs Hardconnexion, Mecanism Party 1.0…), au Roller Park de Vitry (Fast Mercury I et II, Future Sound Factory…), au Gibus (Thursday Digital Clash, Korrexion Auditive, Teknomad vs Psychiatrik, Street Trash…), au 58 à Nevers (Unitek-Teknomad-Erockaerb Industry), à l'Eclipse à Epinal (Breakz In The Street), au Bacardi à Callac pour le passage annuel d'Epileptik ou avec Arawak pour ne citer que celles-ci… En 2005 et 2006 il a joué plusieurs fois en Belgique (Epileptik vs Drumadix et Facial E-Jak à Bruxelles, Techmaticore à Liège) où il a pu s'exprimer pleinement. Il a été présent sur les Tellurik I et II au Zenith de Nancy en 2006 et 2007, et sera certainement présent sur les prochains gros événements de son label Epileptik.
Aboutissement de son travail acharné aux platines, il a effectué un set dans la Room Epileptik lors de la Megarave du jour de l'an à Enschede pour le passage à l'année 2006 et il a mixé un CD pour Epileptik au cours de l'été 2007. Sa dernière date marquante est la 1ère partie de Micropoint et Radium au Tryptique au mois de novembre 2007. Pour 2008 il a de nombreux projets avec ses amis car il a encore l'envie, la même qu'il y a 15 ans lorsqu'il a débuté, un peu de sagesse en plus.
Dernièrement il a débuté une collaboration avec le Sound System Arawak et en ce début d'année il est allé jouer en Espagne dans la banlieue de Lleida, au club Zoreks.
Obiwan est fortement influencé dans sa musique par le Gabber hollandais et italien, le Hardcore américain et allemand sans concession. Il ne dédaigne cependant pas à certaines occasions, dégainer de ses bacs ses sélections Tekhouse, Electro, Tek et Hardtek qu'il aimerait jouer plus souvent sur scène mais il reste un amoureux du Hardcore sous toutes ses formes avant tout.
Fort de son énergie et de son savoir faire derrière les platines, il nous distille un son comme lui seul en a le secret.