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J’avance à toute allure, guidée par les pulsions de mes fêlures, oxydée par les électrons de mes brulures
Mon cerveau sans cesse murmure, il sculpte mon architecture Il devient torture, s’éveille en période nocturne
L’architecture de mon cerveau à prévu une sépulture pour mes rêves et mes fissures
Mon architecture subit de fréquents exorcismes, il se consolide dans son mutisme
Mon architecture est pleines de fables et de palabres Son paradisiaque se heurte a son paranoïaque Son aphrodisiaque se confronte a son démoniaque
Mon architecture est autodidacte, elle feinte les embuscades de vos brigades Elle déjoue les barricades en cascade
Mon architecture se consolide par ses nombreuses charades C’est sa parade face a vos ambassades
Mon architecture s’est protégée par de nombreuses murailles Gouvernail, pour protéger mes failles de vos déloyales mitrailles
Mon architecture mégalomane adoucie par des fragments mélomanes
Mon architecture est une grande dilettante, elle est l’amante de l’arc en ciel providentiel originel et éternel….
Mon architecture est une indigène, ébène, elle demeure suzeraine, entière souveraine de ses gangrènes Ses peines sont citoyennes a part entière de ses différents domaines
L’architecture de mon cerveau a subit tant de calvaires mais elle persévère, car il s’avère quil lui reste divers jokers, qu’elle braquera tels des revolvers nucléaires Ils demeurent secrets dans son estuaire…
L’architecture de mon cerveau est protégée par ce film invisible nommé l’orgueil La protégeant de la dévastation sanguinaire, de l’oligarchie et de sa perfidie
La structure de mon cerveau souffre abondamment de nostalgie, mais elle lutte contre sa léthargie pionnière de sa mélancolieVoici mon autopsie, mon cerveau accro de l’acrobatie Mon cerveau luttant contre l’asphyxie
Mon cerveau fugitif, Tantôt serein, tantôt chagrin Tantôt saphir, tantôt soupir ; Tantôt empire , tantôt martyre
La structure de mon cerveau en Acropole , pourtant sombrant parfois devenant necropole…Mon autopsie, mes tortures , mes contrastes , mon enthousiasme contredit par mon asthme
Ma structure si nevrosée , si lunatique , rêve de constance qui compense et panse mes silences Ma structures lutte contre son marasme…..pars des lueurs d’audace….