Xavier Berlioz

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Il a joue au cinema sous la direction de Julien Guetta, Jean-François Fontanel, de Fabien Onteniente dans "Disco", de Valerie Guignabodet dans"Danse avec lui", de Stéphane Cheynis dans "Chroniques", de Bernard Rapp dans "Un petit jeu sans consequence", de Marie-Anne Chazel dans "Au secours, j ai 30 ans !", de Ron Dyens dans "Nuit d'amour", de Paul Clement dans "Je t'attends", de Regis Mardon dans "Requiem pour un nuisible", de Juan Carlos Medina dans "Rage" Prix de la mise en scene et de l interpretation au festival d Alcala de Henares &; Madrid...
A la tele sous la direction de Jose Pinheiro dans "Commissaire Moulin", de Simon Brook "La legende vraie de la tour Eiffel", d'Alain Corneau et de Patrice Leconte dans des films publicitaires...
Au theatre sous la direction de Joachim Latarjet dans "ce que nous vîmes", de Thomas Le douarec dans "Le Dindon" de Feydeau, de Stéphane Cheynis dans "Impromptus" d'après Beckett, de Beppe Navello dans "Dette d'amour" d'Eugène Durif à la Biennale de Venise, de Karelle Prugnaud dans "La Nuit Des Feux" d'Eugène Durif" "La femme assise" (Tillette de Clermont-Tonnerre), de Helene Zidi-Cheruy dans "Tenue de soiree" (Bertrand Blier), de Jean-Michel Steinfort dans "Balade express", de Sebastien Azzopardi dans " Le Barbier de Seville" (Beaumarchais), de Patrick Blandin dans "Les Palmes de M. Schutz" (Fenwick) et , "Un air de famille" (Jaoui-Bacri), de Francois Bourcier dans "Le Malade Imaginaire" (Moliere) et "Le Cantique des Cantiques", de Michel Didym dans "La Confession"... En 2006 il participe a un stage intitule Corps d acteur, corps de texte au theatre de la Bastille. Textes de Jean Genet avec J.M. Rabeux et rencontre Karelle Prugnaud.
CE QUE NOUS VÎMES…

Ce que nous vîmes était-il vrai ou faux ? Ce que nous vîmes existait-il seulement ? Saint Thomas, s’il était parmi nous, ne pourrait plus prétendre avec autant d’assurance : « Je ne crois que ce que je vois ». Voir ne suffit plus pour croire avec sérénité, tant il est vrai désormais que ce que l’on a sous les yeux peut nous leurrer et nous abuser. Entre une réalité qui va puiser dans la fiction de quoi inspirer et légitimer ses pires agissements et un monde virtuel qui prend à ses heures le pas sur une existence de chair et d’os, l’homme avance aujourd’hui sans filet. Ce que nous vîmes… propose de projeter sur la scène, avec l’appui de quatre comédiens, deux musiciens et un vidéaste, ainsi qu’un jeu de plantes vertes plus vivantes que les êtres humains mêmes, ce vertige de la perception. Les concepteurs du spectacle, Joachim Latarjet et Alexandra Fleischer, brouillent les pistes à l’extrême en entrechoquant les jeux de réel et de fiction. Écrans vidéo, vrais faux documentaires, récits créés de toutes pièces, c’est une rencontre au sommet de l’imaginaire et de la réalité qui se joue devant nous, histoire de déciller les yeux, pour y voir un peu plus clair.
CE QUE NOUS VIMES les 10 et 11 mars 2009 à La Filature (Mulhouse) du 17 au 19 mars 2009 au Théâtre d'Arras du 20 octobre au 7 novembre 2009 au Silvia Monfort (Paris)
Conception Alexandra Fleischer et Joachim Latarjet I mise en scène: Joachim Latarjet I lumières Léandre Garcia Lamolla I vidéo Alexandre Gavras, Mathilde Bertrandy I musique Joachim Latarjet I son Ubald Paul I régie générale Philippe Bouttier I conseiller technique Denis Tisseraud I avec Xavier Berlioz, Jean-Marc Desmond, Alexandra Fleischer, Alexandre Théry I musiciens Nicolas Barrot, Joachim Latarjet
La Femme assise qui regarde autour
Texte Hédi Tillette de Clermont-Tonnerre
Mise en scène Karelle Prugnaud
Musique Jean-Raymond Gélis
Images, photographies Ludovic Bourgeois
Vidéo Tito Gonzales
Costumes Nina Benslimane
Avec Xavier Berlioz, Ludovic Bourgeois, Jean-Raymond Gélis
Au cours d’une nuit d’insomnie, une femme seule, chez elle, replonge dans les souvenirs que lui évoquent les meubles, objets, photos, bijoux autour d’elle. Ressurgissent son amour passé et les moments de bonheur qu’elle a connu dans des clubs de jazz…
« A la lecture de ce texte, j’ai pensé à un livre de photos "la Casa Susanna", autour du travestissement d’hommes tout ce qu’il y a de plus banal, qui désiraient vivre des existences quotidiennes féminines.
C’est cet univers que l’on retrouve dans la mise en espace, avec Xavier Berlioz, à travers des photos, diapos, films super huit de Ludovic Bourgeois et des musiques composées et interprétées par Jean-Raymond Gélis »
Karelle Prugnaud
« La femme assise qui regarde autour » est un texte que j’ai écrit à la demande d’Anne Alvaro dans le cadre du Festival Hommage à l’Acteur de Pont-de- Claix en 2004. C’est en discutant avec Anne et notamment de ses lectures : Cendrars, Audiberti, Virginia Woolf, Colette que j’ai commencé à imaginer l’histoire de cette femme qui se souvient en regardant les objets qui l’entoure. Trois sources d’inspirations ont nourri l’écriture de la pièce : le Music-hall, le jazz et l’appartement de ma mère.
C’est dans le cadre de la manifestation « Les auteurs vivants ne sont pas tous morts » que j’ai découvert la mise en scène du texte par Karelle Prugnaud qui m’a épaté. En choisissant un homme pour jouer cette femme assise, Karelle Prugnaud renforce l’humour et la nostalgie du texte. En effet le jeu tout en finesse et la grande maîtrise des codes du travestissement dont fait preuve Xavier Berlioz exacerbent la féminité du personnage la rendant tour à tour drôle, touchante, angoissante et désespérée.
L’univers onirique que Karelle Prugnaud propose est renforcé par les musiques de Jean-Raymond Gélis et les projections de Ludovic Bourgeois ; on a le sentiment d’être dans la tête de cette femme, aux rayons souvenirs où la pudeur et l’impudeur se mêlent, le vrai et le faux ne font qu’un, le masculin et le féminin disparaissent pour laisser place à l’humain. Cette proposition m’a réjouit car elle travaille sur un délicat tissage entre le dramatique et le comique.
Hédi Tillette de Clermont-Tonnerre
© Ludovic Bourgeois pour les photos de "La Femme Assise Qui Regarde Autour"
Vendredi 30 janvier 2009 Au Petit Carré d’Art à 20h30 Théâtre "La femme assise qui regarde autour" par la compagnie L’Envers du DécorRéservations : Office de Tourisme du Saint-Affricain 05 65 98 12 40
......................................... KISS KISSAVEC xavier Berlioz, Yukki Suzuki (jeune jongleur qui sort du CNAC, école National du Cirque) , Karelle Prugnaud, Tito Gonzales...«Il y a quelques années, à partir d'une pièce «croisements, divagations» (Actes Sud Papiers), j'avais commencé à écrire un scénario autour du couple...un texte assez extrême pour une situation qui ne l'est pas moins...autour de la destruction, de la répétition, de la difficulté d'être ensemble au même moment, de l'effort assez désespéré pour y parvenir.. » Eugène Durif «En lisant ce texte, j'ai éprouvé le désir de tenter d'adapter l'écriture de ce scénario à la fois par un travail de réalisation vidéo doublé par des voix en live, des voix d'acteurs, des corps présents sur le plateau.Avec deux comédiens, et un jongleur, qui est également champion du monde du yoyo (et avec lequel j'ai un projet de spectacle autour du "clown manga"). La tentative se fera avec un film, une esquisse de film que nous avons réalisé avec Tito Gonzalez.. »Karelle Prugnaud
SAMEDI 31 JANVIER 2009 – 20H30 à la Fabrik à Millau
Renseignements / réservations à la Fabrick : 05 65 61 08 96« KISS-KISS » Lecture / film par la compagnie l’Envers du Décor
Texte d’Eugène Durif / Mise en espace de Karelle Prugnaud / Avec : Xavier Berlioz et Karelle Prugnaud / Un film de Karelle Prugnaud et Tito Gonzalez
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La Nuit des feux
Du 9 mai au 29 mai 2008 au théâtre national de La Colline
En tournée le 21 novembre 2008 à Terrasson, les 25, 26 et 27 novembre à Limoges et le 11 décembre à Aurillac.
C’est la Saint-Jean. Jean Levert est sorti de prison. Il y avait été incarcéré après la plainte d’un notable local, une sorte de « résistant officiel », membre de la SFIO. Au cours de cette nuit des feux, il retrouve la femme qu’il aime et un ami, membre du parti communiste et officier en Algérie. Il est victime d’une nouvelle provocation. Sont aussi présents, un coryphée, sorte de chanteuse de bal, et un groupe de jeunes gens, la « classe », dont les garçons doivent partir en Algérie…L’écriture de La Nuit des feux a été entreprise il y a plusieurs années, à partir de l’histoire vraie d’Henri Nanot, poète paysan limousin dont René Rougerie raconte l’histoire dans Un amour fou de liberté (Éditions Lucien Souny).La Nuit des feuxtexte Eugène Durif mise en scène Karelle Prugnaud assistée d'Elisa Benslimanescénographie Pierre-André Weitz costumes Nina Benslimane musique Bob X & Michel Prugnaud lumière Gabriel Guénot vidéaste Tito Gonzales administrateur Fabien Méaletavec Félicité Chaton, Angélique Clairand, Eugène Durif, Mickaël Gaspard, Julie Méjean-Perbost, Mélanie Menu, Jean-Philippe Salério,Léo-Antonin Lutinier, Guillaume Séverac, Xavier Berlioz ....Production Théâtre National de la Colline, Cie L'Envers du Décor, La Fabrique Saison Culturelle de Guéret, Théâtre du Cloître – Scène conventionnée de Bellac, Centre culturel de Terrasson avec la participation artistique du Jeune Théâtre National et du Conservatoire national de région Montpellier.
Dialogues avec Pavèse d'Eugène Durif
Projet mis en scène par Piètra Selva Nicolicchia
Avec Gloria Liberati, Raffaella Tomellini, Serena Reinaldi, Raffaella Gardon, Karelle Prugnaud, Andrea Dosio, Gianluca Matarrese et Xavier Berlioz.
Eté 2008.
Valdevilla. Piémont.
15 jours de recherche, de moscato, de rencontres, de soleil, d'écoute, d'amour, d'amitié, de questions…
15 jours qui sont les prémices, les racines d'un spectacle qu'Eugène Durif va écrire, que Piétra Selva Nicolicchia va mettre en scène et que nous allons jouer à Paris et à Turin.
Un jour.
Du luxe
Une étape de travail et une première présentation de ce processus aura lieu en juin ou juillet 2009 au Festival International de Turin.
Pour nous accompagner:Compagnia Viartisti L’envers du décors Così Productions) Fondazione Teatro Europeo et Festival Teatro a Corte Fondazione Cesare Pavese et Festival Pavese
«Une personne, c'est une masse de chair et de cervelle qui constitue une porte béante.» [ Alain Corneau ]