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quelqu'un qui se plaint.toujours.jamais assez. Je prends peur maintes fois, dix fois, deux fois, chaque jour qui passe, minute me rend plus triste et contagieux. Mais je rends honneur à ces mélodies sussurées chaque soir. Je traîne mes savattes réhaussées dans ces coins pourris, reminiscences des tendres moments, puis prefere m'en aller. Il faut laisser partir. Je n 'ai jamais pu partir. Tu as crée la peur, et l'envie de détruire. Une envie de destruction qui s' abatait à chacun de tes coups de fil,ne me soulevant pas plus du lit qui m'eut été donné de squatter que de la torpeur que ton comportement m'a infligé. la vie se révèle être cette charge emotionnelle qu' on explose en pleine gueule juste pour te remettre à ta place, un grand moment d'humour pour les plus nostalgiques.Rewind sur mon répondeur, comme un retour aux choses et une analyse passagère sur ce que tu m'as offert. Une eve de destruction massive. Mais je prends le temps de remercier celle par qui tout arrive, qui a su verser l'acidité dans mes propos. Se rendre compte de ces erreurs passées et les reproduire à l'infini, boucle implacable distillée sur chacune de mes rencontres et puis me retourner. Ailleurs c est mieux. On est seul aussi à deux remarque. sans tomber dans le miserabilisme, aucunement, la portée de tels écrits se veut être archi nulle, et le revendique. Pourtant personne n'a jamais eu l'air aussi triste. Et c'est être normatif que de se plaindre de la déroute du monde qui nous entoure. Pas pour moi. Plus jamais. Cessons donc les " je te comprends c'est dur", mentir à l'autre est une chose mais à soi-même revêt l'aspect de sacrilège dans le monde du narcissisme moderne. Se résumer? un passionné, un rêveur qui oublie la réalité. Evidemment taxé d'être élitiste, car "se prenant pour autre", pourtant la richesse du monde me laisse pensif...limite jouissif. alors pardon d'avance si je passe mon temps à parler musique et autre aspect culturel, les complexes qui m'habitent c'est cette salete de dichotomie que j aimerai abandonner pour toujours ou accepter, car il semble qu'il soit inconcevable d'être naturel et de vivre un certain aspect du developpement personnel sans en paraitre aux yeux du monde comme debranche. Mais il me semble concevable de cracher sur la hype indigeste qu'on nous sert toutes les deux minutes sans pour autant en faire un principe d 'existence. On appelle ça l'honnete intellectuelle.