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THE CASH STEVENS

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Ils étaient cinq frères qui voulaient dévaler les rives du Rio Bravo dans une vieille Ford déglinguée. Ils rêvaient de chevaucher des appaloosas au Nouveau-Mexique, de sauter dans des trains de marchandises, de s'ébrouer en liberté comme des bisons dans la plaine, de partager des quarts de whisky de contrebande aux zincs de saloons enfumés, où ils trinqueraient au nom du père Johnny (R.I.P), in memorial Folsom et St Quentin.

Mais ils n'étaient pas Américains.

Alors, les frères Cash ont sorti les guitares. Réécouté les albums de la résurrection de leur glorieux aîné (thanks Rick Rubin).

Décidé, une nuit, que ce son-là valait bien un répertoire d'escrocs. Mieux, qu'on rêverait et rigolerait bien avec un wagon de folks songs d'autres cow-boys, jouées à la manière du Cash.

Sitôt dit, sitôt fait. Larry, Ron, Jack, Michael, Willy et Vassili Cash convoquèrent alors par télégraphe quelques quakers débutants, parmi lesquels Neil Young, Bruce Springsteen, Depeche Mode, les Ramones, Sting, Angus Young, Mike Ness -on en passe- pour les ramener, tous, dans le droit chemin du folk.

La légende de The Cash Stevens était née.

Une escroquerie, d'accord.

Mais une belle escroquerie.

Les Cash Stevens

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La fabuleuse légende

des frères Cash

Jack Cash
(bass)

L’aîné des frères Cash a vu le jour à l’arrière d’un chariot bâché lors de la grande révolte minière. Il est le seul des frères Cash à ne pas avoir poussé de cri primal lors de sa venue au monde, comme s’il avait déjà prévu ce moment. L’explication est simple : Jack avait effectivement prévu ce moment. Jack Cash prévoit toujours tout. Il est le sage incontesté de la fratrie Stevens. Imité depuis par Al Pacino dans son jeu de faciès, Jack fit ses premières gammes sur un ocarina en terre cuite orange offert au père Johnny par les indiens de Fontainos Barbinos (Cheixas), en prime d’un fructueux et nébuleux échange de caisses d’eau-de-feu frelatée contre d’authentiques tapis de selle du général Custer.
A 7 ans, Jack savait déjà mener à travers le pays un troupeau de 6000 têtes de bétail, seul avec son chien Titus. Et quand il transperçait la poussière du désert pour arriver dans un village, les hommes s’écartaient devant lui et les femmes fermaient les volets. Au Saloon, personne n’osait croiser le regard de l’aîné des Cash. Ou alors d’un seul --il. C’est d’ailleurs ce qui donna leur nom à tous les One-Eyed Jack de tous les saloons du monde.
On dit que son amour de la guitare basse lui est venu par analogie avec le son lourd des sabots de son cheval Trafico lancé au grand galop à travers la plaine. C’est très probable. Jack prend très au sérieux son rôle d’aîné. Il est le plus discret, le moins turbulent, en un mot l’autorité et le garant de la famille. Mais sous son regard tranquille tremblote la flamme du guerrier apache qu’il demeure dans l’âme. Qu’on touche à un cheveu de ses petits frères et il sort l’artillerie lourde. Champion 1977 du jet de fer à cheval à 37 pieds à Houchdversayas (Cheixas).

Larry Cash
(lead vocal, acoustic guitar)

A cinq ans, Larry Cash avait déjà compté jusqu’à l’infini. Trois fois. La famille Cash tenait son phénomène. Parfois jalousé par ses frères, qui l’accusaient fort injustement d’être le chouchou à son papa Johnny. A deux ans, Larry battait son oncle Tom aux échecs. A six ans et demi, il maîtrisait toutes les probabilités de tous les types de Poker, savait qu’il y a une chance de toucher une Quinte Flush Royale au Flop une fois tous les huit ans. C’est d’ailleurs au Poker, sur un bluff joué sur une paire de deux qu’il gagna sa première guitare, à sept ans : une Télécaster vintage 1952 avec du sang des doigts de Chuck Berry dessus. Tenté par une carrière solo à neuf ans, il fit la seule erreur de son existence en se laissant abuser par un producteur véreux et nain, un peu du style de celui des Mystères de l’Ouest. Lequel l’exhibait sur les tables de jeux de Vegas en lui faisant reprendre à l’envers et avec la langue tout Joe Satriani, entre une femme à barbe et un mouton à deux têtes. Il ne faut JAMAIS parler de cette sombre période de son existence à Larry Cash, sauf à avoir envie d’en finir avec la sienne. Revenu au bercail après quelques mois de pénitencier suite à une sombre affaire de Ford Taunus break empruntée (période qui explique ses nombreux tatouages) et raisonné par son frère Jack, Larry s’enferma pendant 32 ans dans la cabane de rondins au fond du jardin familial, n’en sortant que pour le déjeuner dominical. La légende prétend qu’on dût changer dix-sept fois le manche de sa guitare creusé par l’effort. Larry a appris à chanter avec sa vieille tante Amy, ce qui lui a apporté l’inimitable timbre de son organe en sus d’une virtuosité guitaristique qu’on jurerait échangée au Diable, à un carrefour. Vainqueur du World Poker Tour de Santa Pazanas (Cheixas) en 1973.

Ron Cash
(drums)

Jumeau de Michael, donc né comme lui une nuit de pleine lune dont on dit qu’elles sont propices aux semis du maïs, Ron est depuis peu sourd comme un pot. De tout les frères Cash, il est le plus rural. Ron est agricole. Il aime la terre, qui le lui rend bien. Toujours une brindille au coin des lèvres, il ne se départit jamais de sa salopette trouée au bleu délavé par le rude travail des champs. A 3 ans et demi, Ron savait mettre le joug sur une paire de b--ufs et labourer un hectare de cailloux pour en faire le plus fertile des champs de maïs. Il tresse seul les chapeaux de paille de toute la famille depuis sa naissance. C’est aussi un incroyable pêcheur à la mouche. A tel point que sa réputation est subaquatique : les truites meurent de peur devant Ron qui n’a plus qu’à les cueillir dans la rivière. Cela le déçoit un peu d’un pur point de vue sportif, mais passons.
L’autre passion de Ron est la cuisine. Paradoxe : c’est en économisant sur l’argent de la cantine scolaire qu’il s’offrit sa première batterie de cuisine, négociée auprès d’un marchand ambulant à chapeau melon. Le jeune Ron s’aperçut très vite que de ses casseroles et de deux cuillères de bois, il pouvait également tirer des sons insupportables. Sa science du rythme et ses troubles auditifs viennent de là. Ses grands frères Jack et Larry n’en demandaient pas tant : il leur fallait une locomotive à tempo. Ron a joué dans les plus grands orchestres de Western et Country Music de la rive sud de la Loir River. L’homme des grands espaces, de la wilderness et du concept de fronteer est devenu un géant, par ailleurs fort apprécié de la gente féminine mais ceci ne nous regarde pas. Champion de labour aveugle catégorie paire de b--ufs au Contest Farmer 2008 d’Oudonnas (Cheixas).

Michael Cash
(electric guitar)
Le jumeau de Ron est le mystique de la famille. Très vite, Michael crut en Dieu-tout-puissant et fit des pieds et des mains auprès du Pasteur Brown pour devenir enfant de choeur. Il parvint à ses fins dès l’âge de trois ans. Aujourd’hui encore, Michael impose la prière avant et après les repas, mais ses frères se sont fait une raison et ne prêtent plus guère attention à son insupportable bigoterie. Elevé comme ses frères au bon grain du Cheixas, Michael en a gardé cet étonnant teint poupin qui intrigue les dames. Il demeure un illuminé, persuadé en outre que ses dons incontestables pour les chorus d’electric guitar lui viennent directement du ciel. Titulaire des grandes orgues de la cathédrale de Nantas (Cheixas) de 13 à 17 ans, Michael est aussi l’intellectuel de la fratrie, celui qui s’attache aux saintes écritures des textes de The Cash Stevens. Il a de graves lacunes en langues étrangères, ce qui a permis à ses frères de faire passer leur reprise de « Personal Jesus » pour un cantique corinthien, mais on sera gentil de rester éminemment discret sur le sujet. Michael est né gaucher, probablement du fait de la position f--tale envahissante de son jumeau Ron, laquelle a fatalement entravé son développement in utero. Michael joue donc sur des guitares montées tout à l’envers qui font l’admiration de ses fans. On en a surpris à s’essayer à jouer dans un miroir sur ce genre d’engin, dans le seul et unique but d’imiter leur idôle, « pour faire comme Michael Cash ».
Michael Cash est par ailleurs célèbre pour avoir inventé par hasard, à 12 ans et demi, le concept de bière à la pression, dans la pénombre de l’atelier de son oncle Bud, à Chantenas (Cheixas). D’abord coutume locale, cette invention a depuis fait le tour du monde. Au grand damn de son inventeur, horrifié du fleuve de péchés qu’elle entraîne inexorablement à travers la planète.

Willy Cash
(acoustic guitar)
Le cadet des frères Cash est le plus turbulent. Willy est le vilain petit canard de la famille. A 4 ans, il passe sa première nuit en prison pour un trafic de billes sordide. L’année suivante, il détraque avec de la pâte à modeler tout le système de fourniture en eau potable du village (pendant douze jours, hommes, femmes et enfants ne burent que du whisky - période demeurée légendaire). Quelques semaines plus tard, il met le feu au dépôt de munitions du Shérif avec sa deuxième cigarette de la journée. Heureusement, les munitions étaient humides. Hélas, la caserne des pompiers ayant pris feu quelques minutes plus tôt, à la première cigarette du Willy, le dépôt sera tout de même réduit en cendres. Ce ne sont ici que quelques exemples du « palmarès » de Willy Cash, qui fît donc très longtemps le désespoir de ses parents et de son frère Michael (lequel n’en finissait plus de prier en vain pour le salut de son âme).
Mais c’est pourtant à ses incroyables travers que le minot des Cash doit son talent. Désespéré par le comportement de son jeune fils, le père Johnny inventa en effet, la mort dans l’âme, la punition dite du placard. En accord avec le Shériff, à chacun de ses « exploits » Willy était séquestré par son paternel dans le placard à balais qui sent le renfermé, sous l’escalier. Sauf que chez les Cash, le placard à balais est aussi le ratelier à guitares. On devine la suite. A 28 ans, c’est un virtuose de la six cordes qui sort du réduit. L’attachée de presse des Cash Stevens prétend qu’e Wil est aujourd’hui guéri, devenu brave garçon. N’empêche que 223 des 227 cabarets ayant accueilli des concerts des Cash Stevens ont brûlé depuis, « suite à des incendies d’origine accidentelle». Hors la musique, on ne connaît qu’un seul hobby à ce personnage fantasque : la nuit, Willy Cash tracte des caravanes avec les dents sur des parkings. Un témoin anonyme a assisté à cette scène dans la nuit du 12 au 13 février 1978 à Cheixas (Cheixas).

Vassily Cash<br (pedal steel)
Vassily Cash se destinait à être horloger. A 6 mois, il démontait son premier réveil-matin, d’un délicat lancer depuis le premier étage de la grange familiale. Les douces vibrations qu’émirent en rebondissant dans la cour les ressorts de la breloque éventrée ne devaient plus le quitter : un jour il serait démonteur de réveils. Mais chez les Cash, le destin a d’insondables méandres qui ballotent les existences comme fétus dans les rapides de la Loir River.
Vassily tenta bien une formation qualifiante en alternance non rémunérée chez O’Timin, l’horlogier-bijoutier irlandais du village. Mais celui-ci s’aperçut vite que le jeune Cash avait toujours une pièce de trop au moment de remonter les horloges normandes de la paroisse. Vassily fut congédié. « Trouve toi un vrai métier ! » asséna son père au dîner, entre tartiflette et fromage de chèvre demi-écrémé, « fais comme moi, sois musicien. Ne t’embarque pas dans un avenir professionnel aléatoire comme ces saltimbanques de bijoutiers, des propres à que dalle ces gens-là». Vassily se le tint pour dit. Hélas ses frères avaient déjà rafflé tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un instrument de musique et il était trop mauvais au Poker pour leur en chaparder un par le jeu. Vassily entra en dépression comme Michael était entré en religion. Sale période. Heureusement, Michael fût d’une présence de tous les instants pour lui éviter de sombrer dans l’alcool et les femmes faciles. Et c’est au sortir d’un prêche du révérend Brown que Vassily vit la lumière. Se remémorant les sons bondissants du réveil de ses débuts, il se cloîtra des mois dans l’atelier paternel. Vissa, cloua, scia, ponça, testa. Et ressortit avec « un instrument ». Vassily Cash est tout simplement l’inventeur mondial de la Pedal Steel. Il est présent à ce titre dans le dictionnaire Larousse depuis juin 1923. Il a été aussi champion du monde de guimbarde triple sans les doigts à Nantas (Cheixas) en 1957.

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Type of Label: Indie