Une partie de mon écriture s'appuie sur un diagnostique du monde, de ses plis et de ses impasses. J'utilise à la fois une écriture surréaliste, assez imagée et poétique (Marcher droit, Même si les roses, Notre miroir c'est la mer), parfois cynique (Le pense bête, C'est capital, Ma fille, J'attends quelqu'un) mais jamais bateau, je l'assure! Une autre partie s'intéresse à des histoires individuelles particulières ou au contraire incontournables (Petit à petit, Yvonne, c'est tout c'qui m'reste, Etre à côté, Esy) avec parfois des histoires fantaisistes (Mon éléphant, Josianne, Patati patata). Quand j'écris, les musiques et mélodies circulent, je dois prendre des notes sans arrêt. Je ne m'accroche pas à une chapelle musicale. J'ai toujours imaginé des arrangements en me disant «comment mettre ça en place et surtout avec qui ?». Aujourd'hui, les 6 musiciens qui m'accompagnent sont tellement bons que je peux tout me permettre! Du coup le style va de la chanson intimiste au piano, en passant par de la chanson festive, jusqu'à du rock-symphonique puissant s'appuyant sur les ensembles basse/batterie et violon/violoncelle/piano. La précision et la technique des musiciens du groupe permettant cette alliance. Comme je ressens toujours visuellement mes textes et mes musiques, des mises en scène accompagnent naturellement nos concerts.Même si les roses
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