Carlos Veiga

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SHOW ROCKIN' BOOMERS ft. Carlos Veiga, Daniel Marsolais, Mathieu Toupin, Marc-Antoine Fecteau, Jean-François Déry, Stéphanie Bédard, Cassioppée & Valérie Cormier Rockin' Boomers

Add to My Profile | More Videos by Simon-Olivier Fecteau
With a mastery of the guitar and a determination that contradicts his age and experience, Carlos Veiga, 35, achieved an almost overnight entrée into Quebec’s rock’n blues music scene. In 1996, Veiga was welcomed as one of a handful of Montreal-based guitarists and artists who keep fans and followers entertained with the Chicago-style blues and the rock and roll classics from the 70’s. He’s shared the stage with some big names - Edgar Winter, Rick Derringer, Steve Hill, opened the evening twice for George Thorogood & the Destroyers at the 2001 Montreal Jazz Festival. Starting out as guitarist with Pacetease in 1996 and then working with Junkyard Dogs the same year, Veiga formed his own band, Roots 66 with Mathieu Touppin (drums) and Martin Lamontagne (bass) in 2002 to travel the Quebec music circuit from Drummondville to Gaspésie to Quebec City but always finding his way back to Montreal’s Latin Quarter and Bistro A Jojo, that is so important to him for being his start-up place. A confident risk-taker, Veiga has earned the love and respect of his peers. In 2001 and then again in 2002, he easily organized three very successful music events at Montréal’s Lion D’Or bringing together on one stage Quebec artists - Bob Harrison, Carl Tremblay, Jim Zeller, Pierre Bertrand, Jean Millaire, Bob Walsh, Paul Deslauriers, Skip Bay, Sicotte from Sky, Eric Lapointe, Robert Dethier, Kenny Dupree, Danny Wax and many more. “Sure I’m surprised with my success. I never dreamed I would be such an active player as I am right now,” added Veiga. “But I’ve never been as persistent with anything else in my life. I finally got in touch with who I am and found my real passion.”
Natif de Lisbonne au Portugal, Carlos Veiga demeure désormais au Canada depuis plusieurs années. Âgé dans la trentaine, celui-ci s'est rapidement forgé une place parmi la scène rock n'roll/blues québécoise, s’illustrant en tant que auteur-compositeur, chanteur et guitariste.Il forme son propre groupe en 1997, auquel il donne le nom de Carlos Veiga & the Roots 66 . Le groupe est constitué de certains des meilleurs musiciens montréalais, dont le bassiste Marc Deschêsnes qui assume aussi la direction musicale, Mathieu Toupin à la batterie et Michel Chasles à l’orgue Hammond B-3.Carlos Veiga vivra uniquement de sa passion en offrant de nombreux spectacles avec son groupe, dans plusieurs villes de la province mais tout particulièrement à Montréal. C’est ainsi qu’il se bâtit une fière réputation, ayant un vaste répertoire musical pouvant naviguer entre le rock québécois et anglophone, le country, le blues, le jazz et le folk. Son expérience acquise, Carlos Veiga se mérite rapidement le prestigieux titre d’un des dix meilleurs guitaristes de Montréal, aux côtés de John McGale et Jimmy James. Il offrira d’ailleurs une performance inégalée lors de la Grande Soirée des Guitaristes de Blues, soit en septembre 2002. Par la suite, de nombreux artistes tels que Carl Tremblay, Bob Harrisson ou Jim Zeller feront appel à lui comme guitariste accompagnateur.En 2001, Carlos Veiga effectue la première partie de Georges Thorogood, dans le cadre du Festival International de Jazz de Montréal. Il offrira ce soir-là une performance mémorable qui le propulsera par la suite aux côtés d’artistes de grande renommée tels que: Edgar Winter, Rick Derringer, Collin James, Steve Hill, Mireille Matte, Éric Lapointe, etc. Ce dernier acceptera d’ailleurs l’invitation que lui fait Veiga en 2005 de le rejoindre sur scène, le temps d’une chanson lors de son propre spectacle offert cette fois-ci avec son groupe Carlos Veiga & the Roots 66 au FIJM. La chimie est alors flagrante entre les deux artistes et amis. Éric Lapointe impliquera par la suite Veiga dans quelques projets musicaux, en tant que guitariste.Pendant plusieurs années, c’est à Carlos Veiga que l’on confie la tâche d’animer tous les dimanches, les soirées ‘‘Jam Night’’ du Bistro à Jojo, situé rue St-Denis à Montréal. Il fera monter sur scène une multitude de musiciens(nes) et chanteurs(ses), dont Garou, Martin Deschamps, Laurence Jalbert, Bob Walsh, Guy Bélanger, Jean Millaire, Nick Payne, Breen Leboeuf, Julie Bouchard (Québec Issim), Gardy Fury et plusieurs autres. Les dimanches du Bistro à Jojo deviendront alors l’endroit par excellence pour bien des musiciens. Il n’y a aucun doute, Carlos Veiga est grandement apprécié autant des spectateurs que des artistes.Déterminé plus que jamais à poursuivre sa carrière, Carlos Veiga ne cesse de jouer dans les bars du Québec ainsi que dans la grande majorité des Festivals Blues de la province dont entre autres celui de Mont-Tremblant et de Carleton en Gaspésie. Il participe à plusieurs concerts bénéfices et demeure ouvert à une panoplie de projets qui lui donneront la chance de jouer et d’être créatif. C’est ce qui arrive en 2006 alors que Alain Villeneuve, anciennement membre du groupe La Chicane, l’approche pour lui demander de se joindre à la création de son deuxième album intitulé ''En Coupé de Ville'', un album solo sur lequel Carlos Veiga deviendra le guitariste principal.Sa persévérance, son professionnalisme, son talent hors pair de guitariste et sa voix puissante font désormais de lui un artiste reconnu se distinguant par sa grande visibilité et son expérience acquise. Ce qui lui mérite en 2006, une nomination au prestigieux gala du Lys Blues pour une deuxième année consécutive dans la catégorie Cabaret.Présentement, Carlos Veiga est en préparation d’un album, sur lequel seront compilés ses meilleurs succès offerts en spectacle. Un album fort prometteur et qui nous fera entendre certains des meilleurs musiciens de la scène québécoise dont Gilbert Joanis (bassiste), Mathieu Toupin (batteur), Dan Marsolais (guitariste), Nic Payne(guitariste), Marc Deschênes (bassiste) et Michel Chasles (B-3).En 2007, Carlos Veiga n’aura jamais été aussi ambitieux. Il est conscient d’avoir trouvé sa voie et heureux plus que jamais de pouvoir se mettre à l’oeuvre, c’est-à-dire, continuer dans ce qu'il a toujours aimé .. la musique.