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Biographie par Didier Pilon (Déclic'Photo magazine-N° décembre 2007)
"Passionnée de voyage, de théâtre, de peinture et de musique, Émilie POLAK ne pouvait éviter de tomber dans la « bassine à pixels » selon l’expression imaginée par Rémy POINOT. Mais comme elle aime faire les choses bien, c’est tout d’abord par un DEUG Arts du spectacle en 2003 et une licence Théâtre en 2004 qu’elle commence son parcours (sans doute l’origine de son savoir-faire de metteuse en scène) avant de suivre une formation de photographe chez Icart Photo dont elle sort diplômée et félicitée par le jury de fin d’études cette année. Mais pour autant, elle n’a pas attendu cette sanction méritée pour exercer son talent de photographe professionnelle puisque dès 2005 elle enchaîne les reportages à Cuba ou en Inde, les photographies de scènes et de plateaux, l’assistanat dans quelques uns des plus grand studios parisiens avant de réaliser ses propres commandes en studio, que ce soit pour réaliser des images de mode beauté ou pour photographier des bijoux par exemple. Aujourd’hui, Émilie poursuit ses efforts pour devenir la grande professionnelle qu’elle rêve de devenir en consacrant tout le temps ou elle ne réalise pas de commandes pour… continuer à faire des images pour progresser et progresser encore. Compte tenu de sa créativité et du sérieux de sa démarche, il y a fort à parier que ce travail ne devienne rapidement payant et que l’on rencontre souvent la signature d’Émilie POLAK dans le futur. D.P"
Extrait article Déclic'Photo - N° décembre 2007 Par Didier Pilon
----"Les amazones d’un monde parallèle"C’est dans un monde parallèle que nous emmène Émilie POLAK, un monde qui lui appartient et dont elle nous ouvre les portes. Accompagner Émilie, c’est un peu franchir le miroir d’Alice. On est tout d’abord intrigué et surpris par les lieux, verrières ne laissant filtrer aucun éclat du soleil, comme si ce dernier n’existait plus ; murs lézardés et papiers peints d’un autre age à moitié arrachés. La fin du monde serait-elle arrivée ? Mais la surprise ne s’arrête pas là ! Les créatures croisées en ces lieux sont des poupées sagement rangées dans leur boîte, des caméléons cherchant à se fondre dans les tonalités de la muraille, des elfes virevoltants, des harpies dominatrices, des femmes fatales, etc. Elles semblent toutes se livrer une bataille éternelle ou le bien et le mal, la cruauté et l’ingénuité, le vice et la vertu s’affrontent, se dominent, se libèrent. Ces amazones – le genre masculin semble avoir disparu – sont les représentantes d’un monde terriblement binaire ou il ne resterait d’autre valeur positive qu’une étrange impression de beauté qui se dégage." D.P
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