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Sarah

ils ont dit: tu es devenu fou à cause de celui que tu aimes. J'ai dit: la saveur de la vie n'est qu

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En gros, quelques images récapitulatives. Je suis tour à tour un mélange de tout ça :un peu chiante/ coquine-si ça existe-, un peu quelqu'un qui montre le derrière par peur de montrer le devant, un peu rêveuse/boudeuse -si ça existe aussi-, un peu provocante mais qui finit avec des lapins! Mais qué séra sarah... comme dit la chanson... Non, sérieusement, je suis un petit ange, une petite fleur fragile, allez, pleurez donc! Du coup je reste à la maison sinon je fais n'importe quoi. Ou alors je fais l'enfant, la boucle est bouclée, retour image 1! Rien à faire, je suis entre deux. . Une Salomé, une Judith, un peu Anaïs peut-être, n'est-ce pas ma les? J'aimerais commencer sur un message d'espoir, je n'en ai pas. En échange, est-ce que deux messages de désespoir vous iraient? En fait je ne crois qu'en la lenteur...:Je suis une vraie renarde... "Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste...-Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé!-Ah ! pardon, dit le petit prince.Mais, après réflexion, il ajouta:-Qu'est ce que signifie « apprivoiser » ?-C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie « créer des liens... »-Créer des liens ?-Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n' ai pas besoin de toi. Et tu n'a pas besoin de moi non plus. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...-Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur... je crois qu'elle m'a apprivoisé...-C'est possible, dit le renard. On voit sur la Terre toutes sortes de choses.-Oh! ce n'est pas sur la Terre, dit le petit prince. Le renard parut très intrigué:-Sur une autre planète ?-Oui.-Il y a des chasseurs, sur cette planète-là ?-Non.-Ça, c'est intéressant! Et des poules ?-Non.-Rien n'est parfait, soupira le renard.-Ma vie est monotone.(...) Je m'ennuie donc un peu. Mais, si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. (…)Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince:-S'il te plaît... apprivoise-moi ! dit-il.-Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.-On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi !-Que faut-il faire ? dit le petit prince.-Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l’œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...Le lendemain revint le petit prince.-Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après- midi, dès trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai; je découvrirai le prix du bonheur! Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le cœur. Il faut des rites. (…) Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure du départ fut proche:?-Ah ! dit le renard... je pleurerai.-C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal,?mais tu as voulu que je t'apprivoise...-Bien sûr, dit le renard.-Mais tu vas pleurer! dit le petit prince.-Bien sûr, dit le renard.-Alors tu n'y gagnes rien !-j'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé.Puis il ajouta:-Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret.Le petit prince s'en fut revoir les roses.-Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisées et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n'était qu'un renard semblable à cent mille autres. Mais j'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde.Et les roses étaient gênées.-Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. on ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu' elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. (...)Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même Quelquefois se taire. Puisque c' est ma rose.Et il revint vers le renard:-Adieu, dit-il...-Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux. (...) Les hommes ont oublié, cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose..." Et c'est parti, ça me fait encore chialer... Mais grandis Sarah bon sang! Voilà, je viens d'un peu partout, Russie, Pologne, Tunisie, Israël, et les miens se sont éparpillés entre la Chine, les Etats Unis, l'Australie, l'Espagne, et cet endroit qu'on ne connait pas trop... Alors moi je ne suis nullepart avec une gueule qui pourrait être de partout, et une jolie collection de noms de famille, Zelmanovitch, Victoriovitch, Burstyn, Kelston, Lipmann... Je passe ma vie à déménager, une petite valise aux cheveux bruns. La seule chose qui soit fixe en moi, est cette certitude qu'aucune claque n'a encore réussi à expulser: je suis une renarde! Je m'attache et me laisse abandonner, mais toujours, les choses, certains détails, me rappellent que quelque part, j'ai été apprivoisée. J'explose les cardiogrammes, avares du coeurs, peureux des blessures, merci de bien vouloir passer votre chemin...

My Interests

Quelle merveille que de faire travailler son con et d'utiliser son cerveau pour le plaisir!" H. Miller (sens 1er du con) Merci merci Chris... T'es un excellent photographe. Kiss kiss bang bang Get Your Own! | View SlideshowAlors, reprenons... Dans ma petite vie: écrire, lire. dans ma grande vie: Grands, petits, chiens, chats, psy, victimes, musiciens, musiciennes, auteurs, autrices, artistes en tout genre, pas du tout artistes en tout genre, grandes gueules, discrets, enfin tout ce qui se fait. J'enlève de la liste après expérience infructueuse. "Tous les hommes sont menteurs, faux, bavards et hypocrites, orgueilleux ou laches, méprisables et sensuels, toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées. Le monde est un égout sans fond où les phoques les plus immondes rampent et se tordent sous des montagnes de fanges. Mais il est au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de ces deux êtres si imparfaits et si affreux. On est souvent déçu en amour, souvent trahi et souvent malheureux. mais on aime. et quand on est au bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière, on peut se dire: "J'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui."" Welcome in my world....! (que je partage avec Alfred de Musset et ses copains...)

I'd like to meet:

quelqu'un qui me dirait par exemple: "Nous seront tous les deux priso- nniers sur parole Au diable les maîtresses queux Qui attachent les cœurs aux queues Des casseroles! Vénus se fait vielle souvent Elle perd son latin devant La lèchefrite A aucun prix, moi je ne veux Effeuiller dans le pot-au-feu La marguerite Il peut sembler de tout repos De mettre à l'ombre, au fond d'un pot De confiture La jolie pomme défendue Mais elle est cuite, elle a perdu Son goût "nature" J'ai l'honneur de Ne pas te de- mander ta main Ne gravons pas Nos noms au bas D'un parchemin" La non demande en mariage G. Brassens Et puis et puis...

Music:

oh lala... Rien de très logique ni cohérent... Beatles, Cat Stevens, Simon&Garfunkel, Metric, Cindy Lauper, Beck, Aimee Mann, The Strokes, Rachmaninov, Jack Jonhson, Fiona Apple, Alain Souchon, Block Party, Julien Clerc, Michel Berger, Gangstarr, Snoop Dog, Gainsbourg, Al Green, The Cure, Beethoven, Damien Rice, Iggy Pop, Otis Redding, Marvin Gaye, Led Zepplin, The Bangles, Kate Bush, Air, Phoenix, Alexis HK, Mathieu Boogaerts, Tori Amos, Ann Peebles, Bill Withers, Suzanne Vega, James Taylor, M, Chopin, Jefferson Airplane, Crosby Still Nash&Young, Debussy, Joao Gilberto, Venicius de Moraes, Donna Summer, Mayanne, Edie Brickell, Goldman, Adanowski, Joni Mitchell, Lauryn Hill, Red Hot, Schumann, etc etc etc Et puis Martin Rappeneau... (évidemment que t'es dans mes favorites!)

Movies:

oh lalala... Alors, grande inspiration: Nous nous sommes tant aimés, All about Eve, Arizona Dream, Underground, Eternal Sunshine, Marathon Man, Rabbi Jacob, Barton Fink, Garden State, me you & everyone we know, Little miss sunshine, Chinatown, Whatever happen to Baby Jane Hudson, 2046, Being John M., Cyrano de Bergerac, After Hours, Le Pigeon, Big Fish, Mississipi Burning, Jules et Jim, La chat, To be or not to be, Edward aux mains d'argent, Tout sur ma mère, Old Boy, Big, Lost in Translation, Monsieur Klein, Au revoir les enfants, Stan the flasher (pour le mythe), Broken wings, Samaria, Lynch en général, Vol au dessus d'un nid de coucous, Taxi driver, Le cinéma de papa, Magnolia, Big Lebowski, 12 hommes en colère, To kill a mocking bird, woody en général, Stephen Frears en général, Le voleur de bicyclette, Le péril jeune, The Princess Bride, Le bon la brute et le truand, Reservoir Dog, Festen, Le Lauréat, Maccadam Cow Boy, Amours chiennes, Crazy etc, etc, j'habite chez monsieur fnac je crois.

Television:

la ohhh! TV? non pas là non... qq séries, mais trop alliénant. Non en vrai, j'aurais bien aimé être une super peintre, une photographe, enfin quelqu'un qui n'a pas besoin de parler des heures pour susciter de belles images (avec un taux de réussite moyen en plus!). Mais je n'ai pas vraiment été gatée à ce niveau là. Alors je regarde les images des autres et je me fais des films. En vrai, j'habite aussi un peu chez monsieur Taschen, mais faut pas le dire à monsieur Fnac.

Books:

oh lalalalala... ces derniers jours, Quand j'avais 5 ans je m'ai tué, Mon chien stupide, Un soir de décembre, bien écrit, pour les belles phrases ça vaut la peine, Elles, à ne pas confondre avec Hell, mal écrit mais thème intéressant, début des Bienveillantes, franchement c'est dur! Un essai très intéressant qui m'a fait pas mal penser à certaines... personnes dirons-nous: Malaise dans la sexualité/ le piège de la pornographie, le titre est assez évocateur pour que je ne m'étende pas trop! Dans la foulée, on prend 10 minutes à lire L'homme assis dans le couloir de Duras et puis on a sa dose... Sinon, j'ai relu Oncle Vania, rien à dire, c'est toujours bien, mais le fouet, l'oubli qui m'a fait honte, qui m'a paralysée presque 4 heures dans un bain trop chaud devenu trop froid, c'est ma relecture de La vie devant soi. Comment avais-je pu oublier Romain Gary?... Je ne sais pas si la baignoire était plus remplie de mes larmes ou de l'eau de mon robinet. Heureusement, Henri n'était pas bien loin. Contrairement à beaucoup, je préfère aux classiques tropiques milleriens, quelques Jours tranquilles à Clichy. Sincèrement, est-il possible de résister au fou rire, où que ce soit, en lisant la scène de la poétesse "délirienne" au rouge à lèvre? Un peu de sérénité aussi avec Tolle Eckhart. A lire, à méditer, laisser poser, relire etc... Et puis moins récemment mais toujours bien, Polaroïd, Le monde extérieur, Les lacets rouges, l'amour des femmes laides, petite histoire de la photographie, Schiele, recette du cheesecake puis trois heures à lire des recettes que je ne ferai sûrement pas ces jours-ci, pourtant on doit se sentir super fort quand on sait faire ça! Peut-être aussi super gros? en livre de secour, quand je suis sûre de vouloir pleurer ou passer ma journée à lire: Retour à ma chère Marguerite, éternel retour à L'amant (parce que je voudrais un jour écrire que la matière de mon visage est détruite, que j'ai eu le visage de l'alcool avant l'alocool, ça et toutes ces images qui continuent de m'étourdir à chaque lecture, les dernières pages), Belle du Seigneur (même si je préférerais qu'il soit le livre de chevet de plus d'hommes que de femmes), Le Petit Prince (rien ne vaut un petit détour dans un champ de blé en compagnie de mon ami le renard qu'on écoute encore trop peu), Le liseur, Le vieil homme et la mer, Si c'est un homme, Le journal d'Anais Nin, d'autant plus maintenant qu'on est copines! L'écume des jours, Balzac en général, Proust en général (histoire de me remettre à ma place). Génial aussi, la trilogie du Grand cahier d'Agota Kristof (ma claque de l'année, attention, ne pas abandonner au tome2, lire lire et relire le 3è mensonge). Bon et puis un peu de poésie les amis alors j'enchaîne avec du Baudelaire parce que l'évidence ne fait pas de mal, un peu de Neruda, ou je relis des chansons de Gainsbourg (elles prennent une autre tournure sans la musique souvent) et ses copains, cf chapitre music!

Heroes:

PROZAC, LEXOMYL, ZOLOFT etc, etc etc... "Ainsi qu’un débauché pauvre qui baise et mange Le sein martyrisé d’une antique catin,Nous volons au passage un plaisir clandestin Que nous pressons bien fort comme une vieille orange. Serré, fourmillant, comme un million d’helminthes, Dans nos cerveaux ribote un peuple de Démons, Et, quand nous respirons, la Mort dans nos poumons? Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes. Si le viol, le poison, le poignard, l’incendie, N’ont pas encor brodé de leurs plaisants dessins Le canevas banal de nos piteux destins, C’est que notre âme, hélas! n’est pas assez hardie. Mais parmi les chacals, les panthères, les lices, Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents,? Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants, Dans la ménagerie infâme de nos vices, II en est un plus laid, plus méchant, plus immonde! Quoiqu’il ne pousse ni grands gestes ni grands cris, Il ferait volontiers de la terre un débris Et dans un bâillement avalerait le monde; C’est l’Ennui!" Charles Baudelaire oh la oh la oh lala! Plus sérieusement, les héros, j'évite. La comparaison a trop tendance à me lier à la chimie... Les miroirs, les modèles ne sont que des prétextes pour m'autoriser à fermer les yeux...