NOFLAG s’est formé en 1992 pour devenir rapidement le groupe de hardcore lillois le plus populaire (Et ouais, dans ton cul la balayette). Dès 1993, il sort un premier CD / e.p. "Only The Truth", très vite épuisé (217 000 exemplaires :-). NOFLAG profite alors de sa popularité montante pour enchaîner les premières parties prestigieuses : D.R.I., Excel, The Accüsed, Dog Eat Dog, Girls Against Boys, Suicidal Tendencies, Soulfly, Propain... Plus de 300 dates grâce auxquelles NOFLAG s’est forgé une maîtrise scénique implacable. Dans le même temps, le groupe s’attache à développer un hardcore bien à lui, honnête et puissant, inspiré par des S.O.D. ou autre Biohazard mais aussi par la seconde vague punk des 80’s de Dead Kennedys, GBH, The Exploited ou Discharge. Les démos prometteuses se succèdent et suite au fameux "Double Dong 47 cm", février 2000 voit naître "Lubrifist" avec l’arrivée d’un nouveau guitariste. Ce nouvel e.p. préfigure un album attendu et important (pour eux, the noflag) que NOFLAG concrétise en octobre 2001 par "Big Boss" (LBLab/NextMusic). 11 titres qui essuient tous les poncifs du genre par la brutalité de ses riffs et la hargne de ses textes (Tu n’es pas d’accord ? Ta gueule).
Le chanteur est alors venu en renfort soutenir les fameux Black Bomb Ä et a décidé d’y rester. Aprés un changement de line-up interne et l’abandon de l’utilisation des machines, NOFLAG retourne en studio, d’abord pour une phase de création depuis juillet 2005 et en enregistrement depuis mars 2006. Sous le titre "Spit English Or Die" se cache un album brut, sans aucune concession, confirmant que NOFLAG a toujours l’oeil du tigre et que ses membres restent les brutes scéniques qu’ils ont toujours été (On va vous brouter). Il y a 7 fois le nom du groupe dans cette bio et pas le prénom de chacun d’entre nous avec ce qu’on a fait à l’école : apprends à écrire une bio et tu feras le malin quand tu auras arrêté les suppos. Salut nice guy.