SUP, j'suis Stéphane
J'suis guitariste dans VORCIDE, on fait d'la très belle musique, du JAZZ mélangé avec du CLASSIQUE dans un frame de DETTE METAL ;p
Les tounes vont venir un jour, inquiètez-vous pas!! (ouais, finalement j'compterai pas trop là dessus- DSL)
www.myspace.com/vorcide -
Voila quelques paragraphes que j'adore, tirés de la littérature de par 'che' nous. J'vais surement en rajouter d'autres un autre tantôt;
« Nous sommes venus il y a trois cents ans et nous sommes restés...
«Nous avons emportés dans nos poitrines le coeur des hommes de notre pays, vaillant et vif, aussi promptà la pitié qu'au rire, le coeur le plus humain de tous les coeurs humains; Il n'a pas changé. Nous avojns marqué un plan de continent nouveau, de Gaspé à Montréal, de Saint-Jean d'Iberville à l'Ungava, en disant: Ici toutes les choses que nous avons apportés avec nous, Notre culte, notre langue, nos vertus, et jusqu'à nos faiblesses deviennent des choses sacrées, intangibles, et qui devrton demeurer jusqu'à la fin.
« Autour de nous des étrangers sont venus qu'il nous plaît d'appeler des Barbares! Ils ont pris presque tout le pouvoir ! Il ont acquis presque tout l'argent
« Mais au Pays de Québec....
« Mais au Pays de Québec, rien n'a changé... Rien ne changera par ce que nous sommes un témoignage. De nous même et de nos destinées, nous n'avons compris clairement que ce devoir-là : Persister et nous Maintenir..Et nous nous sommes maintenus, peut-être afin que dans plusieurs siècles encore le monde se tourne vers nous et dise:
«Ces gens sont d'une race qui ne sait pas mourir!»
- Louis Hémon, dans: l'influence d'un livre
Dès la première heure, alors qu'ils n'étaient qu'une poignée, ils avaient marché, canoté, des mois et des mois, pour fixer des frontières.
Ils avaient légué un devoir à chacun de leurs fil: celui de conserver jalousement toute la terre qu'ils avaient héroïquement mesurée.
Ne défendre que son petit bien propre en deçà de ses clôtures, fermer l'oeil sur tous les empiétements de l'étranger, c'était trahir, se condamner à n'être bientôt qu'un peuple d'esclaves.
Être libre, cela ne se bornait pas à dire « Je fais à ma tête chez moi. Je suis roi et maître sur quelques arpents de terre sous le soleil du bon dieu. »
NON! être libre, cétait partout où l'on va dans le pays, sentir sous ses pieds, le son de la terre répondre ax battements de son coeur, c'était entendre partout la voix du sol, des bois, des aux dire: « J'appartiens à ta race et je t'attends!»
Être libre, c'était de goûter dans l'air ce qu'on goûtes en mangeant le pain de son blé.
Être libre, c'était en quelques endroit qu'on allât où les pères étaient allés, sur tous les visages, reconnaître quelque chose du visage des siens dans les moeurs, quelques traits de ses moeurs; c'était voir toute porte s'ouvrir, c'était d'entendre dans sa langue:
« ENTREZ ! VOUS ÊTES CHEZ VOUS!»
- Félix-Antoine Savard, dans: Menaud, Maître-Draveur.
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