Sports : j'en pratique plusieurs...
Basketball, Football, Handball, Athlé, Foot US et un peu de muscu...
L'écriture : song, slam, nouvelles.....tout ce qui me passe par la tête et par le coeur
Juan 2007, J'écris pour moi..
Ça fait longtemps que je n’ai pas pris la plume
Pour effacer de ma vie rancune, échec ou amertume
J’écris aujourd’hui sur “ when it rains it pours “
Littéralement quand il pleut le son coule
Pareil pour moi éternel oublié de la grande Ourse
Mes récits ne plaisent pas à la foule
On me reproche le noir, la peine, la haine en sus
Si écrire le bonheur est difficile, le vivre l’est encore plus
Alors j’écris, je broie du noir comme Luis
Je le répète la vie n’est pas un paquet de chips
Il n’y a qu’à tenter de se remémorer 2007
Cette année a montré les multiples facettes
De l’existence, 1er problème existentiel le célibat
C’est égoïste mais la seule chose qui me rappelle que mon coeur bat
C’est cette sensation de solitude quand sans personne pour marcher avec toi
Tu avances et affrontes seul toutes les turpitudes de la vie
Tu t’inventes des projets, des histoires d’amour sur papier glacé
De poèmes en nouvelles tu tentes d’expier cette foi cette envie
De partager peine et bonheur, sourires et larmes enlacés
Dans un paquet de bonnes intentions, attention, affection
Je connais de tous ces mots les définitions
Mais à en vivre les exemples j’ai trop de mal
J’ai honte mais mon c,,ur dans un dernier râle
A l’agonie comme un seau du KFC face à Big Ali
Ou un enfant ayant Michaël Jackson pour ami
Je me demande où sont celles qui veulent s’investir ?
Où sont celles que l’amour ne fait pas fuir ?
Entêté à trouver sincérité et investissement
J’ai passé l’année à donner confiance et amèrement
J’ai reçu la note salée, et glacée donc à poser sur ce papier
Qu’a cela ne tienne je suis toujours un c,,ur à prendre
Mais que celle qui m’aime cesse de se faire attendre
Celle qui veut d’un homme fort et tendre
Avant que mon âme, au diable j’aille vendre
En participant aux plaisirs de ma jeunesse
Boite, rencontre, ciné, Mac Do puis Sexe
Le jour d’après on recommence comme ça sans cesse
On passe d’une histoire de fesse à une autre
J’ai décidé que ma vie serait toute autre
Je veux y croire même en ce monde où l’espoir
Est fidèle comme les filles du Gibus
Hautain comme la physio du Duplex
A abandonner aux films du Grand Rex
Sans doute aucun, l’espoir n’est qu’un luxe
S’invitant trop souvent à la table des pauvres
S’il fait vivre ceux qui vivent d’espoir meurent de faim
Il n’y a qu’à regarder nos frères d’Afrique, triste dessein
TRAHI…
Plus jamais je ne marcherai seul me suis-je inventé
Quand pour la 1ère fois tes lèvres j’ai rencontré
Trop naïf pour imaginer que l’amour puisse être à sens unique
Trop belle la vie si ça se résume à succomber à la panique
Quand tes pépites d’amandes scrutent l’arrivée de la belle aux courbes magiques
Tu ne sais si tu dis je t’aime tout de suite
Ou si t’attends qu’elle donne suite
A ces mots doux, ces mots de fou
Cette main qui se perd, ce cœur qui s’emballe
Aveugle comme Ray je n’étais pas prêt
Je n’ai pas vu venir pas su prévenir cette putain de balle
Aujourd’hui je m’écroule sur cette dalle de béton
Théâtre de notre 1er RDV de mes 1ers pas vers toi
Quand à tâtons j’avançais avec pour seule arme à tord ma foi
Mais à l’évidence l’amour est insaisissable comme la mort
Je n’ai pas souvent su quoi te dire aujourd’hui j’arrête de mentir
T’es peut être ma seule faiblesse mais je ne veux pas que ça cesse
Etre faible c’est beau et j’aime quand ça se résume à te voir sourire
L’amour que l’on garde pour soi n’est pas jouissif alors princesse
Je te le dis je t’aime tu es ce dont je rêve à présent
Et à l’avenir je veux vivre prêt de toi et pour toi
Crois le ou pas
Mais je le crierai sur tous les toits
A présent tu sais ce qui faisait tant de bruit
Quand tu plaquais ta tête sur ma poitrine
Au jardin d’Eden j’étais Adam tu étais le fruit
J’ai croqué de tout mon cœur cette pomme divine
Condamné aux Enfers toi seule peut me sauver
Dans cet océan de solitude où je n’ai pas pied
Alors je t’en prie aimes moi et tout ira
Toi et moi, le ciel pour nous deux, les rêves dans tes yeux
PARADIS ASSASSINE
La naissance d’un enfant est toujours la quintessence d’une vie pour une maman
Mais la vie n’est pas toujours une fleur qui née, grandit, s’épanouie, elle pourrie souvent
C’est ainsi que le 12 Mai 85, un enfant à Paris est né.
Quel bonheur pour sa mère même si le père n’a pu y assister
Occupé qu’il était à gagner de quoi manger sur la chaîne des exploités
Il ne peut partager ce bonheur alors qu’il partage le malheur depuis fort longtemps.
Maman survit grâce à son corps, de petits boulots au noir, dort à l’hôtel, seule dans ce marasme ambiant, elle est sans papier
Alors quel paradis représente l’arrivée de ce petit bonhomme aux yeux bridés?
Mais le malheur va la rattraper dans un élan de solidarité
L’Etat a décidé qu’elle ne pourrait le garder, qu’elle serait une nouvelle fois déshéritée…
Direction la pouponnière filière d’attente de la DDASS
2 ans plus tard on prend les mêmes et on recommence
Un autre enfant un autre enlèvement en silence un deuxième châtiment pour avoir donné vie à un enfant
Mais l’Etat a un coeur il séparera les deux enfants pour diviser la peine lors des visites
Papa à beau montrer ses fiches de paies l’Etat s’en fiche à peine
Toute rébellion est veine alors on s’enchaîne à l’idée de pouvoir un jour récupérer ses deux bébés
La vie en famille d’accueil est un triste recueil avec un tas de poussière dessus
Une dame s’occupera de toi elle est compétente
Ta mère sera-t-elle consentante devant cet enlèvement ?
Cette mère dépossédée, possédée par le remords la peine l’argent freine l’amour d’une mère
Eh !! Le marron !! C’est avec ces formules que m’apostrophaient les émules de Jeanne d’Arc
Et oui ! C’est vrai que dans cette ville de Normandie j’étais le seul petit black
Mon innocence servile a servi les besoins de chacun ici vaisselle ménage corvées poubelle
Recel d’une enfance d’une insouciance substituée par une souffrance mais chacun sa partition maestro faut courber l’échine quand seul face à un trop plein de racisme tu te trouves…
Et quand par courage tu l’ouvres une fois …la rage du chef de famille te le fera regretter une bonne fois…
La vie peut parfois paraître un long combat contre la vie…
27/12/91 une troisième perle s’éveille dans la vie de cette mère qui a toujours trimé
Elle obtiens enfin un logement une chambre dans un foyer pour y réunir le sien
Ainsi elle récupère ses trois bogoss impossible de cacher sa joie de nous avoir tous les trois nous sommes ses princes elle est la reine
Après 6 mois au foyer on obtient un F6 bien mérité dans un quartier du Val fourré
A 7 ans ma vie commence enfin je me fais des copains je découvre mes cousins mais malheureusement du récit ce n’est pas la fin.
Un jour, vers mes 15 ans mon père m’appelle et me dit : « mon fils tu es grand maintenant tu vas être le chef de la maison, faudra être fort pour aider maman, mais pourquoi papa tu t’en vas en voyage ?
Oui de ces voyages dont on ne revient pas… »
La mort a attaqué ma vie maladive
J’ai eu beau passé toutes mes journées à l’hôpital durant cet été 2000, le 23 juillet, alors que je l’étreignait papa est parti dans un voyage qu’il n’avait pas mérité…
Au dessus de la tombe où le tonnerre gronde la mort rôde
Elle a foudroyé mon père c’est clair la vie sera dure pour moi sur terre…La mort vient d’assassiner mon paradis…
Depuis 1.9.8.5 le seum fait son chemin, c’est la merde dans mon coeur et j’assume...Ma rancoeur a des raisons que ton coeur ne soupçonne même pas…
Comment devenir Star ?
Je m’interroge, suis-je prêt à devenir star ?
Pour récolter le fruit, n’est il pas trop tard
J’ai semé amour et joie, mais gloire
Ne veut pas pousser
Pourtant mes performances n’ont cessé
De convaincre, démontrer et asseoir
Mon nom, ma personne ça j’ai du talent
Mais je refuse d’enfiler les talons
Pour réussir et prendre du galon
Là où certains changent de sexualité
Fabulation ou triste réalité
Beaucoup de derrières ont perdu leur virginité
Devant les assauts répétés de l’ambition
Les hommes de biens ne sont plus légion
On les compte sur les doigts de la main
Là où l’on a tous le choix entre le bien et le Malin
Bien malin celui qui explique la réussite de certains
Je n’accepterais jamais leur coup de main
Où sont passés les vrais ?
Les artistes, le talent, l’intégrité
La réussite réunis les faux et la pègre
Comme le poulet réunit les nègres
Tous à table pour déguster sans légitimité *2
La France en bon pays des droits de l’homme
Où la fraternité et le respect somnolent
Le racisme et l’exclusion jouent leur rôle
Pour qu’ici je me sente moi-même en somme
Un black avec une histoire
Certains sur carton rose se sont fait taffer
Moi je mise sur carte noire
Et tanpis si ce n’est pas votre tasse de café
Je trouve cynique de s’en prendre
Au seul noir qui réussit à entreprendre
Noir et ascension, deux frères
Comme Saddam et Bush le père,
Born to fight, le film d’une vie
Et si l’on chante « black is beautiful » à l’envie
Ce n’est qu’une rose sur une pierre tombale
Nicolas avec sur le front un tribale
C’est l’ironie qui s’emballe
Où sont passés les vrais ?
Les artistes, le talent, l’intégrité
La réussite réunis les faux et la pègre
Comme le poulet réunit les nègres
Tous à table pour déguster sans légitimité *2
Un refrain et une ablution plus tard
Je reviens
et je ne suis toujours pas star
J’ai bu le calice jusqu’à la lie
Lié ma retenue au pied du lit
Pour en finir avec ces discours polis
Je veux m’inviter au prochain rallye
Etre fier et porter haut le nom de mon père
Will n’est plus seul, je suis aussi une légende
J’apporte réalité et fraîcheur qu’en tu quémandes
Chez moi performance et arrogance vont de pairs
Je suis le fleuron de l’écriture raisonnée
Tu m’admires et me présentes tes doléances
Pour que j’élague de toi cette branche d’impuissance
Que j’égrise cette pierre de conscience où l’insouciance
Du peu de vécu,
N’a que trop de vertu pour divaguer en cette science
Où sont passés les vrais ?
Les artistes, le talent, l’intégrité
La réussite réunis les faux et la pègre
Comme le poulet réunit les nègres
Tous à table pour déguster sans légitimité *2
Suis-je devenu star, suis-je devenu star ?
L’ARCHE DES ZELES
Quand le savant montre la Lune
L’idiot regarde le doigt
L’association partout fait la Une
Quand les massacres provoquent l’émoi
Zoé, bon dos pour cette communauté de lâches
Le bouc émissaire s’invite sur l’arche
Opinion internationale fort complaisante
Face à des tueries à peine camouflées
L’éthique mondiale s’accouple au camouflet
L’Afrique, elle, est d’humeur suffisante
Le Sud se mord la langue
Apparentant Zoé à un gang
Rend coup pour coup, corps et âmes
Condamnation générale des Dieux du Nord
Georges, Nicolas, l’Unesco tous dehors
Pour pratiquer sincèrement l’amalgame
Assimilation abusives à fins polémiques
J’ai pris parti, mais le hic
Comme les avocats de la défense, ma plume
Alimentée par l’amertume et la honte
Pareille aux fous quand un brasier s’allume
Elle souffle, souffle, souffle
Et s’essouffle, s’essouffle
Opération mal programmée, mal renseignée
Logistique non assurée, situation alambiquée
Pire, de quoi sommes nous en train de parler ?
De l’histoire vraie d’enfants assassinés
D’une région qui souffre le martyr
Le Métissage
Ces quelques lignes comme une ode à la diversité
Métissage, voici donc comment tu m'as charmé
Jour de mon birthday, un constat m'a soudain alarmé
Dans 3 langues différentes ..ait à ma party
Quelle douce sensation d'évasion j'ai donc ressenti
Car chaque language est un voyage pour un rêveur averti
Le mandjak m’emmena en Guinée-Bissau gratis
La Métisse Attitude entres les peuples tisse
Des ponts, pour qu’en savoir tu grandisses
L’histoire des uns, l’histoire des autres tu comprendras
Et chacun t’expliquera comment l’Amour passa par lÃ
Un échange de croyances et de traditions consenti
Dont nous sommes les trésors qui en sommes ressortis
Dans l’affrontement de nos peurs nous sommes tous apprentis
Et seule la tolérance donne à l’autre une chance garantie
Le métissage franchit les barrières et les turpitudes
Du respect et de l’acceptation de l’autre, il est le prélude
Une autre info si tu mets, mes rimes à l’étude
Normalement, tu obtiens « métiss-attitude »
« IDA »
Elle n’a jamais pleuré pourtant le malheur s’est acharné
La haine a déchiré tout ce auquel elle croyait
Elle n’a jamais pleuré là où plus d’une auraient craqué
Ce combat elle a mené pour enfin être libérée
C’est l’histoire d’une enfant, d’une môme, d’une petite juive
Que l’horreur, la peur, les maux de la vie poursuivent
Mémoire de cette triste page de l’histoire
Faut pleurer pour y croire moi je dédis ce récit
A toutes les victimes de l’espoir
Celles qui ont pris cette douche un soir
Mais aussi pour celles qui ont vécu la victoire
Je rappe cette histoire elle a existé
Et il ne faudra jamais l’oublier
Elle n’a jamais pleuré pas même en juillet 42
Lorsque ses jolis petits yeux bleu
Ont lu le cœur chaud sur cette feuille de papier glacé
Que maman est partie pour le cachot
Humiliée, arrêtée, embarquée pour Drancy
Station du triage de la honte, de la haine
C’est alors que noyée dans toute la peine du monde
Qu’elle prend conscience du danger
Mais ce n’est qu’une enfant de douze ans
Qui espérera toujours retrouver sa maman
Elle n’a jamais pleuré pas même lorsque
Trois policiers français sont venus l’arrêter
Dans son foyer de substitution
Elle n’échappera pas à la déportation
Malgré toute l’abnégation dont a fait preuve sa gentille nourrice
La police rend la justice de l’horreur
N’en a que faire du déshonneur
Elle ne sera qu’une fleur de plus
Qui se fanera sous l’hiver de Prusse
Le voyage est cauchemardesque
Un seul wagon ou presque pour un peuple
Gigantesque
Dans un mètre carré ou plus
Cette fillette agenouillée, recroquevillée
N’a qu’une seule pensée surveiller jalousement
Les provisions pour sa maman qu’elle pense sincèrement
retrouver au camp
3jours et 3nuits de voyage dans des conditions qui ennuagent
L’orgueil
Première envie et première humiliation
Première sensation de spoliation des droits de l’humain
Une tinette pour faire ses besoins, un bassin commun
A la vue de chacun
On se retient comme on peut, mais n’est pas humain qui peut se retenir plus de 2jours ou trois
C’est alors qu’on range l’amour de soi,
Qu’on se dit que la règle est la même pour tous
Que même si devant tout le monde ça fou la frousse
Le pire est passé et que ça ira mieux demain
Elle n’a jamais pleuré pas même lorsqu’enfin
Arrivée au bout de ce voyage de l’enfer
Harcelée par les SS, la détresse se lit sans cesse
Le froid agresse, transperce, blesse
C’est la rudesse de l’hiver, la rudesse de l’allemand
Un univers troublant pour une si jeune enfant
Perdue dans ses pensées pour maman
Son inconscient insouciant
Un semblant de coup de main du destin
Lui évite le chemin du déclin, dictée par son instinct
C’est à la marche vers l’enfer qu’elle se joint
Se détournant des camions de l’illusion
En partance pour la perdition
Puis entassés dans une pièce avec vue sur l’enfer
Contrainte à se laisser faire, les Kapo hurlent sans cesse
Alors le corps nu, les regards blessent, le corps rasé
Mentalement épuisée, complètement écrasée
Puis finalement tatouée
C’est ainsi qu’ici pendant des années
Les droits de l’homme, on a bafoué
Elle n’a jamais pleuré pas même lorsqu’elle
A découvert le malheur profond de ce drame sans nom
C’est le combat pour la survie
« Je t’aime maman » un cri d’espoir pour celle qui souffre
Mais le désespoir la guette, seule la solidarité permet
De sortir du gouffre
On partage ce que l’on peut
Une ration, un sourire, une émotion
Pour tarir la résignation, cette inhibition pour la sélection
Celle-ci est fonction de multiples facteurs
Les boutons, la toux, la maigreur
C’est la survie dans la peur sous la menace de la fureur
De voir son corps sans chaleur dans ce camp de la peur
Où se meurt des milliers de cœurs, des milliers de fleurs
Elle n’a pas succombé aux pleurs
Malgré cette odeur de frayeur, ce parfum de terreur
Devant cette vie qui semble sans valeur aux yeux du Führer
Auteur de ce massacre d’une horreur, d’une ampleur
A faire pleurer les cœurs, à faire pleurer mon cœur…
Avec une pensée pour les défunts
L’espoir fait vivre mais ceux qui vivent d’espoir meurent de faim
Mais à force d’y croire Ida a su forcer son destin
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