Nehl Aëlin

Nehl Aëlin, pianiste/chanteuse/compositrice française, sort en août 2002 son premier album intitulé "Demons abortion" en autoproduction, très bien accueilli par la presse musicale.
Travaillant sur son nouvel album peu de temps après la sortie du premier, c'est en août 2005 qu’elle sort son second opus Ghost of a Child en co-production avec la SACEM.
Souvent comparée dans les chroniques de son premier album, qualifié hétéroclite, à Lisa Gerrard (Dead Can Dance), Tori Amos et Kate Bush, Nehl Aëlin se tourne, dans son second album, vers un style se rapprochant d'une musique de film souvent angoissante et nostalgique, dans un genre symphonique avec des accents électroniques. Cet album nous conte l'histoire d'une petite fille enfermée dans un monde torturé ; entre réalité et rêve, terre et au-delà, saura-t-elle trouver une issue à son cauchemar...
Son prochain album, « Le Monde Saha », est un projet en trois parties, mêlant pop acoustique, électro-world et musiques d’animations, en anglais, japonais et français. Actuellement en phase de mixage final, son troisième album pourrait sortir d'ici l'été 2009, dès qu'un label penchera une oreille attentive sur ce concept-album... Ce troisième album est produit par le célèbre réalisateur français Jean-Pierre Jeunet.
Dans son prochain album, Le Monde Saha, Nehl Aëlin nous propose des chansons dont l’identité propre à chacune d’elles rappellera son premier opus, avec une maturité incontestable, tant dans la qualité sonore que dans la gestion des instrumentations ; Elle utilise de plus en plus d’instruments acoustiques, violoncelle, flute, glockenspiel, percussions… transmettant une sincérité forte au travers de ses chansons.
Et c’est avec un profond concept autours de l’idée bouddhiste du « Monde Saha » que la chanteuse mêle pop-rock, électro, world et musiques d’animations, avec pour fil conducteur le piano, instrument de prédilection de Nehl. On la retrouvera dans un style musical désormais connu, les douces mélopées piano-chant, avec parfois une pointe d’électro ; mais on découvrira aussi de nouveaux horizons musicaux, dans lesquels elle nous entrainera, de par des contrées asiatiques et orientales, une musicalité très ethnique et envoutante menée en langue japonaise, pour terminer dans une atmosphère quasi psychédélique. L’unique chanson en français, « je hais les araignées », clôturera cet album sur une pointe d’humour.
Extraits de chroniques dans les magazines et webzines de Ghost of a Child (2eme album)
Chronique le magazine national belge KHIMAIRA par Frédéric Cotton (Avril-juin 2006) et dans le webzine www.lefantastique.net + interview dans magazine
« En tant que deuxième album, Ghost of a Child est une magnifique surprise qui révèle donc le terrible secret de Nehl Aëlin : elle est une grande artiste promise à un avenir doré. S'il fallait y chercher le moindre de défaut, ce serait de regretter qu'un orchestre classique n'ait pas été mis au service de ces superbes orchestrations. Prions pour que le prochain album ne mettent pas autant d'années à nous parvenir. »
Chronique dans le magazine VERSUS (culture rock, France) par C. Fagnot (Mars 06)
« Magnifiquement orchestrée, cette bande originale mutante de conte gothique révèle au fur et à mesure des écoutes des subtilités et trouvailles impressionnantes. Chapeau bas. » (9 / 10)
Chronique dans le magazine D-SIDE (underground, France) par E. Hennequin (Avril 06)
« Son Ghost of a Child est passionnant, ténébreux comme une histoire pour enfants pas assez sages. Une dose de terreur et de poésie mêlées, à l'unisson, génère à fleur de peau un lyrisme enfantin et tourmenté, parfois religieux. La très délicate attention musicale ramène alors au pays des premiers cauchemars et le rendu , paradoxal, semble dépeindre un rêve qui, en trois actes, emprunte de sinueux chemins. Sur ces derniers, parfois la lumière apparaît. Sables mouvants, pour beauté inclassable. Si un enfant reste en vous, quelque part, vous y reconnaîtrez des bouts de paysage. »
Chronique dans le magazine ELEGY (culture gothique, France) par Alyz Tale (Janvier 06) + interview dans magazine
« Pièce en trois actes contant les aventures du Ghost of a Child , ce nouvel album va puiser ses influences du côté de Tim Burton ou, plus près de chez nous, du côté des Secrets de Morphée, pour nous faire pénétrer dans un univers sombre et enfantin fabuleux. Tour à tour triste, inquiétant, drôle, décalé, innocent, enjoué ou grave, le petit théâtre néoclassique et féerique de Nehl est une merveille. Un album à se procurer de toute urgence. »
Chronique dans le webzine longueurdondes par Serge Beyer (déc. 2005)
« Un disque ambitieux, original, étonnant et réussi (proposé dans un très beau packaging). Bravo ! »
Chronique dans le webzine www.maîtresdumetal.com par Hevy Devy (novembre 2005)
« N'hésitez surtout pas à soutenir cette compositrice au talent indiscutable, vous ne le regretterez pas ! »
Chronique dans le webzine www.obskure.com par Kévin (janvier 2006)
« Des orchestrations prenant forme au détour de constructions imprévisibles, le film se déroule en temps réel sous nos yeux, évolue en permanence, Ghost of a Child, un disque ahurissant d’idées. Nehl Aëlin, une artiste toujours aussi captivante. Les audacieux n’auront d’autre choix que de la découvrir ! »
Chronique dans le webzine www.lesautresmondes.com par Anwynn (novembre 2005)
« Fans du premier album, Ghost of a Child vous séduira à coup sûr ! Et si vous ne connaissez pas encore la musique de Nehl je vous conseille vivement d’y jeter une oreille… c’est fabuleux, sombre, décalé… bref tout simplement talentueux ! »
Chronique dans le webzine http://lapartdombre.free.fr par Kévin (janvier 2006)
« Dans son univers carrément personnel, Nehl Aelin réussit une fois de plus à concrétiser là une pièce magique et avec une production et un artwork à même niveau (super digipack) + un bonus vidéo , que dire ? Sinon que le professionnel est en tout sens atteint ... »
Extraits de chroniques dans les magazines et webzines de Demons abortion (1er album)
Chronique dans le magazine ELEGY (culture gothique, France) par Alyz Tale (Sept.2002)
« Quelque part entre Tori Amos et Dead Can Dance, Demons abortion est un condensé de délicatesse, d'intelligence et de beauté. Treize morceaux entièrement composés, arrangés et interprétés par la demoiselle. Nous recevons rarement des démos de cette qualité. Par contre, nous recevons pas mal d'albums signés qui n'arrivent pas à la cheville de ce disque. Alors par pitié ! Qu'un label donne à Nehl les moyens qu'elle mérite !! »
Chronique dans le webzine http://lapartdombre.free.fr (2003)
« Comment conclure face à tant de brio pour un premier essai déjà plein de talents ? Peut-être en trouverez vous vos mots pour moi il n'y en aura qu'un : Superbe ! »
Chronique dans le webzine www.obskure.com par Niko (2003)
« Nous ne saurions que trop vous conseiller de découvrir ce premier album et de vous laisser aller, corps et âme. Une œuvre belle, ample, très riche et qui laisse présager d’un futur encore plus riche. A suivre de très très près. » (note : 89%)
Chronique dans le webzine www.lefantastique.net et sur le magazine belge KHIMAIRA, dédiés au fantastique/féerique par Frédéric Cotton (février 2003)
« Audacieux, métissant sans crainte des genres contrastés voire opposés, Demons Abortion est une flamboyante réussite, fruit de la sensibilité de son auteur. On ne peut que chaudement vous recommander de la contacter pour le découvrir. Une nouvelle orchidée vient de voir le jour, ne manquez pas son éclosion. »
Chronique dans le webzine www.premonition.fr par Stéphane Leguay (2002)
« Une collection de styles qui loin d’alourdir l’album, lui donne un petit coup de folie, pari relativement périlleux dans une industrie musicale sclérosée par les étiquettes. Un premier essai plein de charme donc qui, s’il n’évite pas quelques longueurs sur la fin, révèle néanmoins l’important potentiel créatif de Nehl. Le bien nommé Epic Symphony qui clôture Demons Abortion laisse par ailleurs augurer du meilleur pour l’avenir de cette jeune artiste audacieuse. »
Chronique dans le webzine http://funeralcry.free.fr par Scar[e] Face (Août 2004)
« Féérique, inclassable, intimiste, le monde sonore de Nehl est incroyablement riche en émotions, bercé par des influences aussi diverses que marquées et, surtout, par une superbe voix, qui voyage entre un nombre de tonalités assez impressionnant. »
Chronique dans le webzine maitresdumetal par HevyDevy
« Demons Abortion m'a vraiment séduit par sa beauté et sa spontanéité, et marque vraiment l'avènement d'un talent à l'état pur. A découvrir absolument donc !"
Chronique dans le webzine www.metal-immortel.com par Count D (Octobre 2004)
«Pour qualifier ce Demons Abortion, ce qui conviendrait le mieux serait de parler d’intemporalité: il y a quelques décennies ce disques aurait été avant-gardiste, tout autant qu’il le sera encore dans un bon nombre d’années. En tout cas, pour ceux qui aiment la musique… Nehl est là. (16/20)"
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