MySpace LayoutsPink Army, ça serait un peu comme un super manga dans lequel les héros combattraient à coups de riffs épileptiques et griffus, de tourneries étranges et de sonorités empruntées aux jeux vidéo vintage… Loin de choisir entre électro et rococo, les sept samouraïs évolueraient dans un espace-temps mélodique et parallèle, quelque part entre un Bach sous acide s’essayant à la distorsion et un Aphex Twin en kimono vantant les vertus d’anciens préceptes shaolin… un peu comme si Jimi Hendrix découvrait son premier orgasme, 36 ans après sa mort (n’en déplaise à Amanda Lear), en écoutant l’Art de la fugue remixée par Mario Bros.
Au final, pink army, ça serait un peu comme une aubaine pour les fondus de taï-shi-break (une danse ésotérique et saccadée à découvrir sans attendre…), un régal punk pour les accros du kaléïdoscope… un combo mutant, pop et insolent, un éveil musical pour les grands, un peu expérimental mais quand même sexy…
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