ZiKaBrAs
Cherche des Profs de Musique,
Dans le cadre de la preparation de la rentrée 2008,
L'association ZiKaBrAs recherche des profs de musiques de tout poils.
percussions,
accordeon ,melodica , xylo, etc...
contrebasse, violon, violoncelle...
clarinette, sax, hautbois,...
guitare electrique, classique, folk..
electro, Mao..
voix, chant..
autres.. faite vos propositions mais .. pourquoi pas...
contact :
NaTaLiZ : 06 33 12 23 71
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Faites grimper Ma cote
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De la fenêtre de ma maison perdue dans le sud de la france
Les elles
les ailes deployées vers le ciel,
le regard tourné vers la mer,
si belle que la vie autour d'elle,
d'un mouvement d'elle devoilement sa criniere.
les elles sont toujours immortelles,
quand passantes de la vie a l'envers,
te devoilent leurs secrets charnels,
tel une huitre perliere.
fierent comme la tour d'une citadelle,
ailes flanboyantes dans la lumiere,
elles retrouvent l'eclat eternel,
pour le bonheur de passant ephemeres.
quand un jour le destin s'en melle,
l'une d'elle, ennivrante partenaire,
transforme ton ame en souvenir immortel,
et tous les jours s'emplissent de lumiere.
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Pieds nus sous le soleil
J'avance pieds nus sous le soleil,
Dans les graviers, et dans le sable
Le regard dans le vide, je m'eveille
A la vie la plus affable.
J'avance pieds nus dans les galets
D'une plage au reflets bleutés.
Je sent trop bien sur ma peau
La fraicheur douce de l'eau.
J'avance pieds nus sur le pavé
D'une ville que je connais
Mais tout le monde present,
N'a que le le gout du sang.
Marchez pieds nus sur la vie,
C'est la sentir au plus profond,
C'est respirer toutes ses envies,
Et essayer de n'pas mourir trop con.
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Petite lettre à l'usage des trous du cul qui n'ont rien compris à l'économie....
Disciples libéraux, vous me cassez les couilles,
En gourous aveuglés aliénant la morale,
Vos valeurs sont ringardes et rongées par la rouille,
C'est une erreur mes chers, qui vous sera fatale.
Car s'enrichir enfin, sur le front d'autres hommes,
Il n'y a vraiment pas, de quoi en être fier,
Vous êtes les valets d'autres bêtes de Somme,
Qui vous feront bouffer, à leur tour la poussière.
Cupides et profiteurs, vous volez la richesse.
Produite par vos frères et vous les humiliez,
En vous appropriant à grand renfort de messes
Le bénèf qu'ils produisent, en toute impunité.
Dictateurs allaités, vous nous pompez la moelle
Et gardez presque tout l'argent qu'on fait gagner,
sauf quand ça tourne mal et vous mettez les voiles,
Pour ne pas rembourser les dettes contractées.
Dans vos tours argentées, vous engendrez les liasses
de Dollars bienvenus, lorsque vous les gardez,
Mais vous pleurez l'état afin qu'il mette en place
des subventions miracles quand vous vous plantez.
Un ouvrier produit beaucoup plus qu'il ne coûte,
Et vous pleurez pourtant, pour les charges payées,
A quoi bon les baisser, si au bout de la route,
Les patrons sont toujours les seuls à profiter.
Quand vous aurez compris que les pauvres consomment,
Et qu'à ce titre ils font tourner l'économie,
Vous aurez intérêt à augmenter la somme
Qui leur tient lieu de paye et enfle vos profits.
"HUBERT MONJE".
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Le fil conducteur
Fil conducteur de ma vie,
Lueur de mes triste nuit,
Un petit bout de vie brille,
Et se joue de la vie comme on joue au bille.
Tu tourne autour du temps,
Avec tes yeux d'enfant,
Tu redonne de l'espoir,
Sans pour autant le vouloir.
J'ai jouer, j'ai perdu,
Mais le lot de consolation valait bien la defaite,
C'est toi qui donne a ma vie un petit air de fete.
Un regard, un sourire, une grimace
Et quand la vie lasse,
Il suffit de penser a toi
Me dire que tu es là .
C'est si simple pour un enfant,
De donner du bonheur au grands,
Que de le refuser serait offance,
Ces toi mon fils mon alliance.
Reste tel que tu es mon fils,
De toi rayonne la joie.
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Ces essences pures que tu semes
Dans un deroulement inconcient
Tu retrouves le calme tant attendu
Et c'est fou qu'au present
Tu composes ces moments perdus.
Seul, seul face a toi meme
Tu te calme, tu respire
Ces essences pures que tu semes
Pour des moisons de rire.
Detournant tes regards pour n'y voir
Enfin que les bonheurs du jour
Oter tes oeuilleures et prendre le pouvoir,
Etre maitre d'un tout et repartir pour un tour.
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Pour toi,
D'une amitié sans equivoque,
Par une derive incontrolée,
Deux etres liés par reciproque,
Sans le savoir se sont trouvé.
Ce pacte devant etre éphémère,
Ce passport pour l'enfer,
A des saveurs d'éternelle bohème,
Un doux gout de paradis sur terre.
D'une complicité, d'une fusion,
Des espoirs d'un coeur qui s'attache,
Pour cette dame, qui l'arrache,
A ces stupeurs, a ces poisons.
Dans une nouvelle histoire naissante,
Derive d'harmonies en évolutions,
Ou leurs envies, omnipresente,
Sont dans le temps en suspension.
Tous ces desirs, toutes ces envies,
Estompant les fantomes du passé,
Ils se les donnent, ils les vient,
Pour les avoirs, a leurs cotés.
Alors peut etre, que ce pactes,
Pourrai caresser l'infini,
Ou l'éternelle sentiment intacte,
Les emporterai au paradis .
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D'autres tas d'etats d'âmes sur le blog..
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