Member Since: 06/05/2006
Band Website: www.t-rec.org
Band Members: Francoiz Breut
Une cavalcade, en douceur comme en furie : voici « A l’aveuglette », le nouvel album de Françoiz Breut.
Après « Une saison volée » (2005), c’est l’occasion de retrouver cette voix unique, légère et charnelle, de se plonger à nouveau dans les rythmes entêtants qui forment son univers. Avec ce nouvel album, la surprise est partout, nichée en quatorze morceaux.
Après avoir chanté les mots des autres pendant plus de dix ans, Françoiz Breut s’est lancée le défi d’ écrire ses propres chansons. Les mots patientaient depuis longtemps, pour raconter l’enfance, peser le temps qui passe, parler d’amour. Des mots au réalisme poétique, discrètement autobiographiques, comme ce voyage en avion : « La terre ne fait plus de caprices, ankylosée, elle bombe le dos », chante-t-elle dans « Terre d’Ombre », en ouverture de l’album.
FRUITKEY :
FRUITKEY est un groupe fondé autour de Jason Glasser, artiste pluridisciplinaire américain exilé en France depuis 5 ans. Jason rassemble un groupe hétéroclite et tendu, qu’il
se plaît à définir comme “composé des mammouths les plus sauvages et velus d’Europe,
et de quelques oiseaux rares et magnifiquesâ€. La musique de Fruitkey est un folk-rock lumineux et barré, un concentré/développé d’idées dans tous les sens, prenant ça et là dans la country, le folk, le rock et même le garage-rock des années 60.
« Si l’esprit de son écriture ou de ses intonations évoquent ici et là Jonathan Richman (San Andrea’s Fault, Restaurant), ou Calexico (Hand in the dark, 73 Wounded knee), Fruitkey ne se conforme jamais à nos attentes et conquiert une étonnante cohérence dans la diversité (qui rime ici avec curiosité). » - Magic
FRUITKEY is a group lead by JASON GLASSER, an American artists and musician expatriate who has been living in France for the past 5 years. Jason assembles a group of what he likes to call “the wildest wooly mammoths and rare and beautiful birds of Europeâ€. A group who has added a considerable amount of energy and spontinaity to the music. Fruitkey’s music is a sort of modern garage folk rock with flavors of country, folk, 60s garage sounds, and classic rock.
« If the spirit of his writing and his intonations remind of Jonathan Richman (San Andrea’s Fault, Restaurant) or Calexico (Hand in the dark, 73 Wounded knee), Fruitkey never is where we expect it to be and feels strangely coherent in its diversity (which rhimes here with curiosity) » - Magic
Zone Libre :
Affranchi des codes, libéré dans un espace hors du temps, Zone Libre se donne tous les possibles et s’immerge dans un voyage hypnotique. Entrelacs de guitares, croisements de mélodies et de rythmiques sauvages, explorations tour à tour tendues, atmosphériques, incandescentes, stridentes ou tout simplement envoûtantes, c’est la rencontre de trois musiciens singuliers qui se cherchent et se trouvent au gré d’explorations sonores et soniques.
« Entre lignes de fuite et structures flottantes, Zone Libre associe improvisations et rigueur d’expression, synthétisant les recherches abstraites d’un Fred Frith et les inventions figuratives de groupes tels Innocent X ou Ulan Bator. Une belle zone de transit ou Teyssot Gay élargit encore sa marge d’action. » Les Inrockuptibles
Freed from codes, let loose in an out of time space, Zone Libre allows everything and dives in a hypnotic voyage. Guitars interlacing, melodies crossing paths, strong rythms, exploration that are tense, atmospheric, burning, strident or simply mesmerizing. It’s the encounter between three special musicians who find themselves through sonic explorations.
« Between perspectives and blury structures, Zone Libre mixes improvisation and rigour of expression, summing Fred Frith’s abstract researchs and figurativ inventions of band like Ulan Bator or Innocent X. » Les Inrockuptibles
Tue Loup :
Le Lac de Fish est le septième album de Tue-Loup, et nous sommes sur leurs terres, sans aucun doute : longues plaines, voyages immobiles, le regard spectateur des jours qui passent… Sous une nouvelle lumière, sous un soleil tantôt radieux et tantôt brumeux, toujours pictural.
« définitivement délesté des influences trop évidentes, Tue-Loup ne tourne pas en rond : il creuse un sillon, lève les yeux au ciel et contemple les nuages mouvants, rendu fou par l’orage qui arrive au loin. Grand disque » Les Inrockuptibles
« […] d’ailleurs, si on leur cherche des équivalents, c’est du côté de Will Oldham et Calexico qu’on les trouve. Sur scène, le groupe oscille entre tension, électricité et poésie. Ça joue du feu de dieu et avec une classe folle ! » Longueur d’Onde
This seventh album is definitely the perfect image of Tue-Loup’s music : Long plains, still travels, the gaze for passing days… Under a new light, sometimes shiny and sometimes foggy, always cinematographical.
« definitely rid of its obvious influences, Tue-Loup doesn’t go n circles : he digs a furrow, looks to the sky and stares at the passing clouds, gone berserk at the idea of the coming storm. A great album » Les Inrockuptibles
« If we were to look for references, it would be Will Oldham or Calexico. On stage, the band sways between tension, electricity and poetry, playing like hell and with class » Longueur d’Onde
Versari :
Guitares stridentes scrutant les étoiles. Rythmique engourdie qui n’a que ses yeux pour pleurer. Voix cotonneuse toujours à deux doigts de l’implosion. Ça commence idéalement, comme chez la confrérie du spleen élégant. Ça aurait pu se passer à Manchester, San Francisco, Nantes, au fin fond du Minnesota… Finalement ça se passe à Paris. 2007. Un traité de mélancolie lumineuse à usage personnel.
Versari est le nouveau projet mené par Jean-Charles Versari des Hurleurs.
« Entre la sobriété de Dominique A. et les tourments de Nick Cave, le parisien s’engouffre dans une brèche et on le suit. » Le Monde
« [...] Sa mue le conduit vers des musiques plus soyeuses et plus sophistiquées, aux climats légèrement dépressifs mais pas déprimants pour autant ; ténébreux mais classieux. [...] À ses meilleurs moments, l’album de Versari en deviendrait presque envoûtant. D’autant plus qu’il a le mérite de s’aventurer sur des chemins pas si balisés que ça dans la chanson française d’aujourd’hui. » Télérama
Strident guitars watching the stars, numb rythms about to shatter, coton-like voice on the merge of imploding... An ideal start, as in a brotherhood of elegant spleen. It could have happened in Manchester, San Francisco or in the deepest hole of Minnesota. It happens in Paris 2007. A treaty on melancholy for personal use.
“... between Dominique A‘s temperance and Nick Cave’s torments there is a small breach in which this parisian artist dives, and we follow him.†Le Monde“It’s the melody of a numb body, the murmur of a rock music that knows that one can’t scream while in a dream : from Low to Lambchop, Versari exists in this tradition of luminous depression, of slow elegance.†Les Inrockuptibles
“... a powerfully dark and dissonant first album of chanson nurtured with english electricity.†Rolling Stone
Late Mrs. Eight (Suède) :
Un seul homme se cache derrière ces morceaux de pop étrange. Le spécimen le plus avancé de marginal do-it-yourself. Dans son studio de quinze mètres carrés, Joel Fridlund s’enregistre en train de chanter, de jouer de la batterie, des pianos, des synthétiseurs obsolètes, de la guitare et plus ou moins de tout ce qui traîne, entouré d’objets hétéroclites, de compresseurs « home-made », de pièces détachées de vélo… Ses pop songs évoquent à la fois Syd Barrett ou les Beatles que Pavement.
« Une jolie collection de statues de commandeurs à nez rouge, idées obliques et guitares amochées, qui conseillent de leur bizarrerie des pop-songs qui, comme le nom de l’album ne l’indique pas, fonctionnent plus au LSD qu’à l’adrenaline. » Les Inrockuptibles
A sole man is behind these weird pop songs. The most advanced DIY individual. In his small studio, Joel Fridlund records himself singing, playing drums, pianos, obsolete synths, guitar, and more or less anything within reach… surrounded with unexpected objects, home made compressors and bycile spare parts… His pop songs remind of Syd Barrett as much as they remind of Pavement
« A nice collection of red nosed Comandor statues, with odd ideas and hand me down guitars that whisper bizarre thoughts to pop songs that seem to work on LSD rather than adrenalin, as the album title suggests » - Les Inrockuptibles
L’Enfance Rouge :
L’ Enfance Rouge est un groupe basé entre Berlin et Borj El Khadra. Plus de 1800 concerts en 13 ans d’existence, de Vilnius à Tbilissi, de Swinoujscie à Séville comme de Paris à Syracuse.
De ces voyages ils rapportent un goût de l’assemblage, de l’entremêlement. Immédiatement classés « avant-rock », un genre atypique conjuguant communicabilité, modernité et recherche. Sans frontières, ni musicales ni géographiques, la presse européenne en parle depuis des années comme un croisement entre introspection et accélération, entre cérébralisme et transe. Ils ont publié six albums ainsi qu’une dizaine de compilations avec divers labels discographiques européens.
« Cette façon de travailler l'électricité -au pinceau plutôt qu'au gourdin- pousse la notion de violence musicale dans ses retranchements plus inédits … en France, peu de musiciens semblent en mesure de signer de pareils scénarios. » Les Inrockuptibles
L’Enfance Rouge’s home base is between Berlin and Borj El Khadra. More than 1800 concerts over 13 years of existence, from Vilnius to Tbilissi, from Swinoujscie to Sevilia, from Paris to Syracuse.
From these trips they keep a taste in collage, of intertwining. Imediatly classified as « avant-rock », an unusual genre mixing communicability, modernism and research. Without musical or geographical borders, the european press has been speaking about them as a breed between introspection and acceleration, between reflection and transe. They have published six albums on european labels.
« This way of working electricity – with a brush rather than with a bat – pushes the notion of violence in music into unknown areas… In France, few musicians seem to be able to write such scenarios. » - Les Inrockuptibles
REDeye :
De ses longs moments d’adolescence passés au Texas, REDeye garde un goût prononcé pour cette langue séminale du rock et une culture de la soul, du folk, du blues, de ces chansons qu’on chantonne avec la radio. Il garde aussi une culture du songwriting, passé et moderne (citant tant Bob Dylan, Leonard Cohen que Lou Barlow, Stephen Malkmus ou Eliott Smith…). Cet amour du songwriting est mis au services de ballades à la fois brutes et délicates : des genres de croquis sans être des ébauches, des chansons prenantes, romantiques et élégantes.
« Une voix des plus caractéristiques, rugueuse et gorgée de soul. Un résultat au final du niveau des joyaux bricolés du Folk Implosion et autre Pavement. Un succès, vraiment ! » Voxpopmag
From these long teenager years spent in Texas, REDeye keeps a strong taste for this seminal rock language and a love for soul music, folk or blues, for these songs that you can humm while listening to the radio. He also keeps this love for songwriting, past and modern (refering to both Bob Dylan, Leonard Cohen and Lou Barlow, Stephen Malkmus or Eliott Smith…). This love of songwriting is here at the service of both raw and delicate ballads : sketches that aren’t rough, enthrallling songs, romantic and elegant.
« A very caracteristic voice, full of soul. A result that joins the diy gems of the Folk Implosion or Pavement. A true success » Voxpopmag
The Concretes :
“Hey trouble“ est le troisième album des Concretes, groupe well read suédois. Plus ouvert, plus novateur, plus moderne et à la fois ancré dans cette histoire de la musique que les Concretes aiment tant, il s’impose vraiment comme un album mature, sophistiqué, référencé mais terriblement original, et surtout terriblement touchant.
This is the third Concretes’ album, well listened swedish band. More open, more novator and at the same time very settled in this history of music the band loves so. Truly a mature album, sphisticated, rferenced and original, and most of all most moving.
Sounds Like: Links :
Record Label: T-Rec
Type of Label: Indie