Member Since: 2/21/2006
Band Website: royalmcbeecorporation.com
Band Members: Seb (bass and smooth howling), Vince (stoned guitars), Mike (loud and groovy drums), Jérôme (live yelling sax), Boca Smole of MHR (incredible slam and rap on Neverends)...
Influences: stooges, melvins, shellac, barkmarket, NMA, ministry, tool, led zeppelin, kyuss, I mother Earth, soundgarden, NIN, quicksand, fugazi, neurosis, tantrum, all the indie foxes...and Neil Young, of course!
SWARM Records est fier de présenter la toute première édition de Jérôme Sevrette aka Photographique: Commodore (série de photos): 60 pages, format 230x160, quadri, accompagné d'un texte inédit de Danielle Robert-Guédon (avec traduction anglaise).
Ce tirage, limité à 200 exemplaires, sera numéroté et signé par l'auteur. La date de sortie officielle est le 27 Juin 2008 dans le cadre des Estivales Photographiques du Trégor 2008 qui aura lieu du 28 juin au 27 septembre à la galerie de L'Imagerie, Lannion (Côtes-d'Armor).
Le vernissage de l'exposition de Jérôme est le 28 Juin à 18h30.
Chaque exemplaire sera vendu au prix de 20€.
Contactez-moi pour réserver et commander, soit sur notre page, soit sur l'adresse e-mail [email protected]
Frais de port offerts (France).
A très bientôt, ici ou à Lannion,
Sébastien.
-------------------English version:
SWARM Records is proud to present the first edition of Jérôme Sevrette aka Photographique: Commodore: 60 pages, 230x160mm, color, coming with an exclusive text from Danielle Robert-Guédon (with english version).
This is a limited edition of 200 books. 20 € each, numbered and signed by the author.
The official release is on June the 27th for the Summer Photographic festival of Tregor (France).
contact me in myspace or [email protected]
for more info on postage costs, please let me know your location.
Best,
Sébastien.
Jérôme Sevrette on Myspace
Programme du festival
Sounds Like: A trembling nerve...
Come & check our friends and label website!!! ---
NATURAL DRIVE: PREMIER ALBUM DISPO FIN AVRIL!!
DIGIPACK 10 TITRES INDIE, SAUVAGES, ROCK!!
10€ sur les concerts.
13€ avec port payé.
poster by STF
album artwork by N-Alien
Track list:
intro
Slowdown
Superseeds
Slow vibration
Undone
Swarm
Nightfalls
Nothing
Windswept plain
Neverends
Points de vente France:
340ms Nîmes (30)
Underground Reims (51)
L'écouteur Aix en Provence (13)
Musique pour tous/la bassecour Nanterre (92)
Distibution France:
SWARM Records
Distribution Italie:
Canalese Noise Records
Contact commandes/infos/booking/press/distro:
[email protected]
En écoute:
Lucane music
Sessions fantômes/88.8 FM
Noise'R'us
Médiathèque de la Maison de la Musique, Nanterre (92)
W-fenec
Deux big macs, une grande frite, un double cheese, un maxi coca et en avant les manettes. Une fois l'estomac un peu rempli, le groupe s'embarque pour un road trip électrique et rock'n roll. Une intro saturée à souhait, on attache les ceintures, on se met bien dans le fauteuil et on attend la déflagration imminente. Dès le deuxième morceau, ça envoie la purée et là autant dire qu'on dérouille. Sauvage, punky, stoner et furieusement noisy, mélodies addictives, riffing brûlant, orgie de décibels, un soupçon de blues, "Slowdown" fait cracher les guitares d'entrée de jeu. Catchy et rentre-dedans, c'est du "do it yourself" total, mais le son, bien roots et bourdonnant, est parfaitement adequat pour un album aussi brut de décoffrage. Heavy et rugueuse, la suite est du même tonneau : guitares cramoisies, mélodies rocailleuses, ambiances caniculaires, Natural drive fait monter la température et défouraille à tout va.
Sous un soleil de plomb, le groupe grimpe le long des canyons pendant qu'un "Undone" sort quelques petits soli de derrière les rocheuses. Maniant la saturation comme d'autres enfilent les perles, les Royal McBee Corporation assomment la concurrence en carbonisant les enceintes à coup de "Swarm" qui déboite et de "Nightfalls" qui rase tout sur son passage. Tempête de sable, mélodies enfumées, riffing narcotique, basse serpentant entre les cactus, le groupe accouche d'une dizaine de compos vénéneuses et saillantes, dévoilant au passage des attributs de stoner/noise-rock audacieux et fulgurant. "Nothing", "Windswept lain" défilent et le trio prend le temps de poser ses ambiances, ne se limitant pas à simplement envoyer du bois en attendant une réaction de l'auditeur. Planant mais dissonant, mélancolique mais également rentre-dedans, RMCBC se plaît à faire s'entrechoquer les paradoxes dans une collision musicale aussi réfléchie qu'animale. Car le groupe maîtrise son sujet, rejouant la théorie du chaos afin de repousser les limites de son effet papillon en mélangeant dans un même tube à essais Kyuss et Shellac. En clair, Royal McBee Corporation, c'est une sorte de Mad Max avec des guitares et en plus burné mais tout aussi aventureux...
Aurelio-- W-fenec.org
Core and Co
Formé en 2001 sous la forme d’un duo basse-batterie, ROYAL MCBEE CORPORATION a ensuite évolué en power trio et pour tout dire, cela s’entend, positivement bien sur, à l’écoute de ce disque qui démontre une jolie maturité dans l’écriture et la composition, et réalise le parfait amalgame, habile et personnel, de divers courants musicaux.??En effet, si le groupe avoue l’influence du rock indé, du stoner et de la noise des années 90 (rien qu’à l’évocation de ces styles, on se doute déjà que le contenu convaincra) ou encore de Barkmarket et Shellac, les plages proposées par ROYAL MCBEE CORPORATION sur ce disque sont avant tout singulières, détachées de leurs influences. Ces dernières sont à peine perceptibles et le groupe a su se les accaparer, en tirer le meilleur dans le but de construire un univers qui est avant tout le sien. D’où l’appellation « savage indie rock » que le trio utilise pour se définir.??Ce savage indie rock, s’il garde des contours noise, prend des colorations diverses sur toute la durée du disque et reste constamment séduisant, évitant de plus, par ce biais, de tomber dans la redite ou dans une certaine monotonie. On pense aux SLEEPPERS, ceux de la première heure, pour le côté noise et savamment déstructuré, et le groupe sait étoffer ses compos d’instruments moins classiquement rock, j’en veux pour preuve le sax jouissivement déjanté de Jérôme Nicol sur « Never ends ».??De surcroît, Michaël, Vincent et Seb parviennent à maintenir l’intérêt de l’auditeur quelque soit l’option choisie : lourds et bondissants à la fois sur « Slow down », massifs sur « Supersee », plus aériens sur « Slow vibration », fonceurs sur le titre suivant tout en gardant ce penchant pour une certaine lourdeur au groove implacable.??La suite, quant à elle, réserve elle aussi son lot de jolies surprises et de bonnes idées, entre plages compactes et parties plus enlevées, que ce soit de façon distincte ou au sein d’un seul et même morceau. De ce fait, jamais la tension ne baisse, jamais l’intérêt ne se dément, bien au contraire ; cette tension, sa colère et ses émotions, le groupe lui donne des forme diverses et variées, les manifeste musicalement avec brio et maîtrise.??Pour conclure donc, une grande réussite de la part d’un groupe peu connu, mais qui gagnerait à l’être nettement plus, et l’un des disques noise de cette année 2008.??Seul petit bémol, mais insignifiant ; un tracklisting peu lisible, qui fait qu’on ne sait plus, parfois, quel moreau on écoute. Mais au vu de la qualité de l’album, on passe aisément sur ce détail.
8/10
Refuse to keep silent?le 18/05/2008
coreandco.frWill:
Daydream Nation
Supermarketriot.net
Les galops du naturel.
Posté dans disque , groupes français , rock , stoner par El Gepeto | le 13.04.08 à 17:19:26
ROYAL Mc BEE CORPORATION - Natural Drive [Swarm Records - 2008]
Basse en avant bien groovy enrobée de grattes saturées, wha-wha, échos et riffs qui s’étirent planants, usant de la dissonance, d’un certain recul par rapport à la section rythmique incisive. C’est bien une des particularités de Royal Mc Bee Corporation : la distance entre la gratte et le groove massif basse-batterie.
On s’en tire même avec quelques plans bluesy, notamment dans « Slowdown », l’un des titres les plus accrocheurs du skeud. Mais bon, les influences stoner de la corporation font que le feeling tantôt pesant, tantôt aérien emmène la formation au-delà du format rock-noise français homologué. Ainsi, heureusement, on ne se prend pas dans les oreilles un énième clone de Sleepers (eux-mêmes pâles copies de groupes ricains que je ne citerai pas, merde, tout l’monde les connaît, non ? Enfin, sauf moi, je veux dire).
Le son de l’ensemble est assez original, à défaut d’être génialement bon, Démerde IY oblige. La gratte, j’insiste, a un son vraiment sympa, gras, embourbé, pas toujours bien défini, mais justement, c’est intéressant, surtout quand le jeu de Vince se fait plus torturé, défoncé. La basse glisse parfois comme un anaconda obèse, épaississant encore l’écran de fumée illicite, tout en assurant un groove sans faille.
Perso, je ne suis pas spécialement fan de la voix, mais elle n’est pas désagréable et pas maniérée (il ose sortir des hurlements battus scandés à la Unsane ou de la Hardcore Routine et n’est pas tenté par la chierie emo actuelle, et ça, ça fait du bien). De toutes façons, la voix humaine, c’est dur d’en discuter, ça plaît, ça ne plaît pas, ça touche, ça ne touche pas. En tous cas, le boulot de Seb est honnête (chouettes vocalises dans l’intro de « Nightfalls »). Et puis, chanter le rock, c’est un travail d’une vie, souvent ce sont les instrumentistes qui s’y collent plus ou moins par obligation, car les chanteurs sont des cons insupportables, c’est bien connu.
Les gars assurent et créent un univers qui se dévoile lentement, il faudra faire un petit effort pour apprécier la beauté de ce rock mélancolique (réécoutez « Swarn »), énergique, mordant, mais jamais brutal, toujours comme sur la réserve, les mains dans les poches mais prêt à dégainer.
Un peu trop sage, peut-être ? Peut-être… J’aimerais voir ça en live, où les groupes rock déboîtent vraiment (ou que dalle, mais je sens que ça ne serait pas leur cas). Ils le disent eux-mêmes, Royal Mc Bee est « une configuration définie guitare/basse/batterie qui évolue sans cesse (ajout d’invités, de machines, etc) et la scène reste notre milieu de prédilection. »
Malgré quelques longueurs sur la fin (« Nothing » et « Windswept Lain », moins convaincants), le tout est personnel et cohérent et réserve de grands moments : la trilogie « Slow vibration », « Undone », « Swarn », et même un petite surprise à la fin, un slam d’invité même pas énervant, instrumentation enrichie d’un sax. « Neverends » conclut bien le CD.
Surtout, voilà un groupe qui recherche, qui sculpte son monde, et qui ne se colle pas au cul d’une mouvance ou d’un style, comme beaucoup trop de groupes qui versent dans le mimétisme systématique.
Respect et courage.
Parution fin Avril 2008 sur SWARM Records.
El Gepeto Toute la chronique sur supermarketriot.net
Vidéo
Bernard nous a reçu pour parler du groupe et de notre démarche d'autoproduction.
Des extraits vidéo, ainsi qu'un article, sont en ligne!
Et là , on dit "Merci Bernard"!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
streetreporters.net
Record Label: http://www.swarm-records.com
Type of Label: Indie