« Moi . . . pauvre . . . qui n’ai rien que rêves . . . je les ai ouverts sous tes pas . . . vas doucement, car sur mes rêves tu vas . . . »
« Mon amour, la nuit ne dure pas ; le soleil rouge rose détruit tout chaque fois. Il se fout de toi et moi. »
« Dissimule dans le silence /
Tes sentiments, tes espérances /
Qui montent et plongent sans bruit, /
Etoiles brillant dans la nuit . . . »
Le sublime Daniel Darc : appeler cet homme un poète serait dire bien peu.