STEREOWARFARE profile picture

STEREOWARFARE

noise as a matter of fact

About Me

Stereowarfare is only hate, pain, hopelessness, uselessness of revolt, and disgust for this whole capitalist world, andall its creations, so called music and art included... and fuck MYSPACE!!! i don’t forget them: fuck rupert murdoch, fuck bush, fuck sarkosy, and all governments... FREE CRAP FOR ALL!-------------------------------------------------------- ------------------------------------------------------------ ------------------------------------------------------------ --0101010101010111011001010101010101000101010101010101010101 011111010100100101101010010010110101010101000111010101011101 0101010101Nous sommes le Bruit qui trouble le spectacle!L’I.B.S. (internationale bruitiste situationniste) est une réaction sonore violente à l’oppression sociale médiatisée via la musique formatée qui sous couvert de divertissement bas de gamme et sans profondeur (non assumé,bien évidemment…) est à la base de l’aliénation du prolétariat ( au sens large du terme, c’est à dire les femmes et hommes qui survivent de miettes qu’une élite veut bien leur laisser) en lui faisant oublier toute velléité de résistance… (Jusqu’à lui faire perdre toute conscience de classe en le faisant rêver de soit disant « promotion sociale »… Laissez moi rire…) face à cela l’I.B.S. se veut le messager d’une révolution permanente de la vie quotidienne par la jouissance et l’autonomie… la raison d’être de l’I.B.S. est de détruire les formes aliénées de la musique, qui de facteur d’émancipation est devenue carcan et contrôle mental insidieux puisque s’adressant directement à l’inconscient. L’I.B.S. prône la construction de situations bruyantes, c’est-à-dire la construction concrète d’ambiances sonores momentanées et leur transformation en une qualité passionnelle supérieure. Politiquement c’est à dire philosophiquement et dans le but d’une application concrète dans la vie réelle et les luttes quotidiennes, l’I.B.S. est dans la filiation directe des situationnistes et des bruitistes du début du XXeme siècle, pour une destruction de la musique comme pratique séparée de la vie et produit de consommation standardisé. Aux mains du pouvoir, que ce soit celles des états, des grands groupes financiers et autres ennemis des femmes/hommes libres et autonomes, la musique est un leurre, en anesthésiant les esprits, elle fait oublier le climat de violence et l’oppression, elle adoucit les velléités de révolte en nous susurrant doucement dans l’oreille que tout va bien dans le meilleur des mondes, ne serait ce que le temps d’une chanson...« La musique d’ambiance n’est pas innocente. Elle n’est pas qu’une façon de dominer les bruits pénibles du travail. Elle peut être l’annonce du silence général des hommes. »Elle couvre le grondement de la foule en colère en la caressant dans le sens du poil et en canalisant sa violence dans un rituel païen face à des idoles de plastique fabriqués dans leurs laboratoires de contrôle mental. La musique doit donc mourir! Puisqu’elle est un outil du pouvoir dominant (et il est plus qu’évident que la meilleure façon de le détruire est de le priver méthodiquement de chacun de ses moyens d’action) dont les trois principaux buts sont, nier et faire oublier la violence et l’oppression, faire croire à une harmonie et une beauté indiscutable de leur monde, et finalement assourdir, couvrir et censurer les dissonances et bruits. La musique est la forme la plus insidieuse de contrôle mental, pour beaucoup elle semble être un moyen de libération, or il est évident qu’on ne se libère pas de l’aliénation par des moyens aliénés. La musique n’est pas un ensemble de sons mais un rapport social entre des personnes médiatisé par des sons. La musique ne peut être comprise comme l’abus d’un mode de l’écoute, le produit des techniques de diffusion massive des sons. elle est bien plutôt une Weltanschauung (la manière de voir et de concevoir le monde comme une telle totalité qu’elle s’englobe elle-même, en tant que mode de pensée , dans cette totalité, jusqu’à s’oublier, c’est à dire oublier qu’elle pense dans une conception du monde.) devenue effective, matériellement traduite. C’est une vision du monde qui s’est objectivée. Elle raconte et annonce les formes, passées et futures, d’oppression et de contrôle des esprits.Ecrit au début du siècle, son actualité est frappante, ce qui hier s’appliquait et s’applique toujours, est encore plus vrai pour les musiques formatés diffusées sur les radios et chez les marchands d’alcool/soupape de sécurité du pouvoir en place ( bars, boites de nuits...) qui diffuse ces sons insipides"Entrons dans l’un de ces hôpitaux de sons anémiés. Tenez : la première mesure vous coule dans l’oreille l’ennui du déjà entendu et vous donne un avant-goût de l’ennui qui coulera de la mesure suivante. Nous sirotons ainsi, de mesure en mesure, deux ou trois qualités d’ennui en attendant toujours la sensation extraordinaire qui ne viendra jamais. Nous voyons en attendant s’opérer autour de nous un mélange éc--urant formé par la monotonie des sensations et par la pâmoison stupide et religieuse des auditeurs, ivres de savourer pour la millième fois, avec la patience d’un bouddhiste, une extase élégante et à la mode. Pouah ! Sortons vite, car je ne puis guère réprimer trop longtemps mon désir fou de créer enfin une véritable réalité musicale en distribuant à droite et à gauche de belles gifles sonores, enjambant et culbutant violons et pianos, contrebasses et orgues gémissantes ! Sortons !"Communiqué 001 de l’Internationale Bruitiste Situationniste. Section Marseille [email protected]

My Interests

Music:

Member Since: 12/1/2005
Band Website: zeitfraktur.org
Band Members: I against I, I is johnnytoobad and johnnytoobad is a primitive anarchoid punk loser.
Influences: everyday of that boring and disgusting life.GG Allin, Guy Debord, Hank Williams Senior, Rosa Luxembourg, Merzbow, George Grosz, Luigi Russolo, Otto Dix, Otto Muhl, Throbbing Gristtle, Bernard Parmegiani, Social Distortion, Warsaw, Techno Animal, the Buzzcocks, Edgar Varese, Ornette Coleman, Man Is the Bastard, the Ex, the Clash, Praxis records, the Artwoods, Bela Bartök, Wendy/Walter Carlos, Last Few Days, Ambush records, Knuckledust, early DefJam records, the Undertones, Somatic Responses, Television, Aesop Rock, Rancid, Freddy Hubbard, François Bayle, Sick Of It All, Axiome, Chain Of Strenght, Noize Creator, Ilhan Mimaroglu, Blaerg, Motown, Public Ennemy, Side By Side, the Who, Gorilla Biscuits, Misfits, the Kinks, Bad Brains, Drop the Lime, The Locust, Hank Williams Senior, Enduser, New York Dolls, the Damned, Ove Naxx, the Locust, Jesus Lizard... too many to list them!
Sounds Like: angst, hopelessness, boredom, hanger, consciousness of uselessness producing noise in my head mixing all influences and experiences without borders of style, everything that is sonicly or politicaly radical (excepted nazi bastards and all kind of right wing assholes)
Type of Label: None