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schmito

i got to stay fly

About Me

MyGen Profile Generatoryoho c schmitto, c’est par ces quelques drôles de mots que g pris l’habitude de me presenter sur nova. sur cteu tof, jsuis en mode top freaky ds un secret spot pour cheper...oui, ce yoho est un hommage post modern o "yooo" de will aka the prince of bel air. non, je ne me prends pas pour un rappeur, c'est que schmitt, g toujours trouvé ca trop dur. prendre la premiere lettre de mon prenom, le o de olivier, pour le mettre a la fin de schmitt, c’etait le bon plan pour oublier le traumatique SCHMIIIIIIIIIIITT hurlé par les representants de l’autorité tout au long de ma scolarité. schmitto, c'est quand même + cooool. c ce que j’explique à chaque fois que j’ai à faire à des cailleras restées kéblo sur les schmitt, la police. sinon, avec mon taf de pti clodo de l'info, i mean, de journaliste sur-precarisé / sous-payé, imaginez la phase au téléphone : - allo oui bonjour, jesuisolivierschmittjournalistepourrcanal, je fais un reportage sur le graffiti.... "- hééé, écoute le keum, il est journaliste et en plus son blaze c schmitt… trop dur". vla koi, schmitto, c l’un de mes doubles, l’un de mes a.k.a., olivier schmitt aka schmitto, également connu sous le nom de schmitto. jsuis un youkounkoun boy. ca n'est pas que je pense valoir d millions dans ma tête (koike parfois sous taz) mais tel le plus gros diamant du monde, g plein de faces à ma personnalité. le truc qui m'occupe en ce moment c le documentaire : ghetto music usa, un docu sur la véritable BO de la jeunesse black et urbaine américaine. gt aux us en avril/mai pour le reperage. vla le compte rendu de mon trip en txt&picts, ct posté jour apres jour, et tapo-t sur un vilain clavier en plastique americain sans accent... ct tellement geto ( oui, ghetto s'orthographie com ass ds le geto ) que le projet de documentary c rapidement transformé en blockumentary. en vla le pitch : dans les quartiers pauvres des grandes villes americaines les « ghetto engineers » inventent des musiques entre hip hop et musique electronique. chicago, houston, baltimore… chaque ville, chaque quartier possede sa propre identite sonore, sa propre danse, son propre look, son langage particulier, ses drogues, ses codes… bref son folklore. first step : baltimore aka body-morebaltimore, c le nouvo hot spot sur la carte americaine de la bass music. le style local c la baltimore club music. un son fait de breakbeats et de basses sur-puissantes qui obligeraient a danser le plus coince d didier. com celles du hip hop d origines, les paroles de la baltimore club music st proches de la chronique du quotidien, joyeux com malheureux. soit moult histoires au jus de cul, facon "watch my ass as i'm grindin on ya dick dady", poesie locale sur laquelle le mc peut beugler aux filles du public : "met t mains en l'air si tu n'as pas t regles".apres le sex, la violence est le principal theme a squatter les tracks recents. baltimore aka charm-city a ete repabtisee murder-city ces dernieres annees. le taux de crime/habitant est le + eleve d us a egalite avec d3. mais si les samples des tak tak tak d mitraliettes qui reviennent a latak ( merci serges ) reviennent souvent, a baltimore ont sample de tout, de michael jackson a bo didley en passant par les generiques de sponge bob ou du muppet show. le specialiste du genre, jonny blaze, joue regulierement de la baltimore club music ds les parties d'anniverssaire d kids loco. repenti de sa vie de pti bandit, c un born again, desormais habite par dieu. il est alle jusqua introduire platines et club music a l'eglise, ou la "churchy" baltimore club music remplace le gospel. loin de l'eglise, c le troisieme samedi du moi qu'il faut etre au paradox. le public ds la queue est mixte. non, pas de blanc, la baltimore club music est un truc a 99,8 % black, exeption faite d pioniers big red et scotie b, mais d gays, d lesbiennes et d heteros pour la soiree avec le son le plus gros, les styles les plus dingues, les meufs les plus belles, une sur deux merite d'etre Ta meuf. ya du high level ds la fashion avec une invention qui se retrouve aussi bien ds la danse, que ds la tchache, que ds la chatte. le public de la baltimore club music, c les soul brothers & sisters du 3eme millenium avec d grills (dents en or), d piercing, et d locks en +++.au paradox on croise meme une micro naine de 80 cm au look de pimp qui sort avec une bombe de meuf qui savere etre un keum, for real, no bulshit. c la que l'on se dit, ouai ouai, jsuis bien ds la ville de john waters. pour resumer : ce que le hip hop a emprunte a la funk et a la soul, la baltimore club music l'a pris a la house music, ce qui en fait une music de club furieusement post moderne com dirait un journaliste de technikart. apres le crunk d'atlanta, elle risque d'etre la prochaine ghetto music a devenir grd public. elle influence deja beacoup le hiphop us : d producteurs com les neptunes ou timbaland se goinfrent d prod de laba. jason, le vendeur de dimension music, la boutique de disque locale, raconte que africa bambatta vient tres regulierement lui acheter tout ce quil a ds le genre. et ouai la quete du perfect beat est sans fin, et la baltimore club music pourrait bien enmener les hip hop heads en rave party. next step chicago, aka chi-town.chicago c la ville de plein de cool inventions; patin a roulette, fliper, bombe de peinture aerosol, mac do et house music. fin 80, la house music was born ds les quartier black friqué. debut 90, au contact du ghetto, la house est devenu ghetto house. des dj comme funk, deon, ou slugo rentrent ds lhistoire en gravant les tracks fondateurs sur le label dance mania.vla le grd ecart generationnel entre les quadra de la geto house ayant pleinement vecu le ghetto dream et les kids de douze ans de la juke. la juke c’est l’appleation moderne pour la geto house, soit une music fast and furious pouvant aller juska 170 bpm. contrairement aux publics d clubs geto, le truc des des gamins de la juke c’est pas tant le “booty shake” et le “dry fucking”, qd la dame frotte tellement fort ses fesse sur l’entre-jambe du monsieur que c un coit habiilé, c le foot work, une danse de jambe, un truc sur-speed a faire passer les krumpeurs de mamidonna pour des papas. ma premier experience du juke je l’ai vecue ds un roller rink, une piste de roller squatter chaque samedi pour d party de 19h30 a 23h30, vraiment un truc pour les gamins de 10 a 16 ans; sur le fly de cette juke star, il etait inscrit : no hats, no hoodies. pas de casquette, la facon dot tu la porte indique l’apartenance a un gang, pas de sweat capuche, ca permet td’etre incognito sur les videos de surveillancenext step houston, aka h-town, aka screwtown. la screwed and chopped music est née de l’id etrange de ralentir le hip hop existant. la street legende veut que se soit a l'ecoute d'une mix tape sur un geto blaster o piles faiblissante que les inventeurs du genre aient u le declic. depuis, ds les geto loco, les bad boys se defoncent avec un mélange de cette slow-down musique hallucinee et de sirop codeine coupe au soda, le tout dans une cadillac lourdement équipee pour diffuser des infra-basses. la screw ne se danse pas sur un dance floor, elle se danse « on the road », en voiture. c le "swang and bang". "swanging", c’est faire des S en roulant, « bangin » c un coup de frein violent faisant rebondir la caisse d’avant en arrière. le truc c etre fashionable en roulant en voiture, le look de ta caisse est plus important que le tien... sauf pour t dents. le delire d grills c la suite du bling bling version modification corporelle. la pluspart st amovibles. le vrai kif com m'expliquait big mike, c d'avoir les girls best friend ds ta bouche...en matiere de style ya un autre truc typique du sud : le t shirt blanc extra super large portee jusqu'au genou. si ce withe T en xxxl est desormais porte com un signe exterieur de coolitude, a la base il etait porte a la nu orleans par ceux en quete d'anonymat. camouflage blanc pour les noirs. imaginez le signalement du lascard donne a la police : a balck man with a white T. depuis katrina, de nombreux habitants de la nu orleans (sur)vivent a houston. resultat, + de t-shirts blanc, + de crimes et delits, mais surtout un nouveau style de musique. la bounce de laba qui empruntent beaucoup aux marching band ( les cuivres et les percus d fanfares ) rencontrent le rap local = un nouvo pti nom pour une ville imaginaire : h-town + nu orleans = nu-town.hier, gt tellement deep deep inside da hood que je me suis fais peur. a houston, le rap bizness se fait essentiellement au coin de la rue sur cd grave. gt avec un dealer de c mix-cd, et en fait (pas d'amphet) c un peu l'artisanat local pour la survie d plus pauvres. alors, c com en afrique, si t'en achete deux a un man, ya dix keums qui rappliquent avec de la rondelle a push... et c bien hot entre eux pour savoir lequel va te vendre un cd pour 10$... tu vois koi... sinon cteu ville c vraiment down-town, ils st tellement laid-back qu'ils finissent la nuit la tete a l'envers. je suis entoure de pic du zen zigzagant d'un joint trempe ds du liquide d'embaumement a un blunt farci de pcp... so, just do not smoke.aujourd'hui c un jour de deuil a screw-town. qd je suis arrive lundi dernier, big hawk, l'un d godfather de la scene rap locale venait de se faire gun-shooter de 8 balles. pas un histoire de gang, just une agression. depuis une semaine les Rest In Peace fleurissent sur les t-shirts et a l'arriere d voitures. c culturel ici. tous les gars que g rencontre ont deja au moins 3/4 potes dead. malgres tout ass, les locaux, meme un brin loco, st peace avec le pti whitee que je suis. we good in da hood, on est a la cool ds le geto com ils disent...

My Interests

check my nu profil only 4 hoody= www.myspace.com/schmitacapuchesave the hoodies / sweat a capuche production

I'd like to meet:

It's done. i'm in love.Check my girl on www.myspace.com/fleurgodart


Books:

les aventures de schmitto la loose et des enfants du bitume . c l'adaptation d'une chronique que j'avais sur nova en 2004. c une dérive nocturne sous l'emprise de la loose, de bad plan en bad plan, je déchiffre la grammaire intime du corps social auquel je me frotte.Tout commence par une envie de panini post-teshi que jsui parti me pécho a la bastille; soit le truc le plus dangereux a faire un samedi soir a paris. C pas que la viande soit moisie, mais les fast sandwicherie sont d nids a caillera ds ce quartier. J'avais pas encore commandé que je me fais embrouillé par une caill en jogging cost-la jaune poussin @?%23%23!!*! Mais non, je ne serais pas la cerise sur le gateau que tu viens de bebar. Adieu gruyere, chevre et autre fromages au pain, je prends à droite rue daval, j'opte pour le falafel. Je trouve sur le trottoir une ptite free parteuse à casquette échouée la main tendue. Elle hurle sur son chien qu'elle a appellé david gueta un soir d'abus a la keta. Undergroudement parlant, cette meuf à capuche, c l' ambassadrice d’une revolte trouvée ds un ,,uf kinder, une desoeuvrée de l'ère post moderne biberonée a la rave hard core, une gentille fille a papa en rupture avec la zone pavillonaire gazonée de maman. La version acnéique et amphétaminée d'une asia argento tout juste admise en première année du je bousille tout. Alors jlui fais, je sais pas si t famous ds ton milieu boueux, mais je te regarde, je regarde ton chien, et je ne sais pas lequel d deux g le plus envie de fucker. Direct elle se vénere, me dis que je suis tellement con, que ce doit etre galère d'être moi. Elle me balance un coup de pied ds le tibia !!!%23%23%23+? Pendant que david guetta s'attaque aux mollets @?%23%23!!*!Arrivé ds le marais, arrrrrrrrrrrr, o reur , ils ont remplacé mon bar préféré par un starbeeeuurks café. J'aperçois en vitrine une neo ugly uggeuse post bou von-dutchisée en train de se goinfrer d'un bagel a la dinde. Elle a 15 ans toute h&m isée, une meuf en total look pret a poser. Mais je la connais cteu meuf, elle est conne mais plus qu'anatomiquement correct, ds le monde du skate verbal, c un kiff flip. Le kif : elle est bonne. Le flip : elle est conne. Une méchante prise de tête entre me myself and I débute me : cette meuf g trop envie de la dévierger, myself : elle a un coef hormonal de dingue I : arrête ass même ta bite fait le double de son qi... me : je la baiserai même avec la bitte d'un autre. j'entre ds le starbeeeuuurrrrks et lui balance avec l'assurance d'un Pharel Williams au bar: yo baby, franchement t'as un body, ça donne envie de connaître ton booty, ton corps je le voie comme un parc d'attraction pour garcons, laisse moi me perdre ds ton slip. hééééééé, je suis pas du genre a écarter les cuisses pour un filet o fish, tu m'as prise pour une blonde platine si tu t'imagines que je vais te la faire facon hanche en cadence t vraiment trop con. Alors jlui réponds : allez, t dents st trop blanches pour restées seules ds ta bouche poupée...t aussi belle que t ugs cherie, @?%23%23!!*! t vraiment une tragedie comme mec elle m'a dit et ca m'a valu un coup de pied ds la bouche.J'arrive ds le night wood de chatelet. il est une heure du mat porte lescot Je cherche taz, un ancien pote dealer de tazes qui a fait tellement de montées et de descentes ds les 90 que maintenant on l'appelle otis. Je le vois au beau milieu de la place d innocents, il braille à une bande de neo raver : oh hé nobles chevaliers de la table chimique, goutons voir si le taze est bon. Prend ça, tu seras pop comme un chocopop, ou prends une ligne de ass . Ils optent pour la coke, en tapent une première ligne, et loin d'être puceaux de la narine disent à taze, hé mec fait netour une deuxieme, je crois au couple moi. Et moi je te propose une touze lui balance taz : coke, speed, acid, shit... Avec taz, en flagrant délire de capilotraction, je pouvais élucubrer toute la nuit avec une aride érudition sur la place du sweat à capuche ds le ciné contemporain, de marathon man à ET, en passant par la représentation de la doudoune sans manches ds le vidéo clip d années 2000. Got weeeeeeeed… Je trace et tombe sur une meuf pas plus grde qu'une barette de shit male servie en pantalon de k way remonté d'un coté. Toi même tu sais, t'as vu… Elle vient de mon côté. Hé ta pas un pet elle me lance. Gros malin et grd marrant, jlui réponds façon grelin grelo, bouffon à chapeau :, t bonne comme un joint que l'on voudrait pas faire tourner et je viens de pécho une beuh aussi fraîche que toi... Elle a gouté mon splif, et m'a tapé mon tarpé @?%23%23!!*!Je dérive jusque ds une perpendiculaire aux champs et me laisse aller à déchifrer la grammaire intime du corps social local . Ya cette fausse meuf en fausse fourure recallée de la fake tv bientôt recallée de ce club vip. encore une adepte de la pronto moda, une conne à chien façon dinde a talon, une wanabee déjà has been qui n'aura jamais étée ds le be-isme, je vois ce que je veux dire, et toi ? Son prénom du moment c Tishia, elle affiche un dédain supérieur pour toute fente non entalonée de haut. Elle est au bras d'un type au charisme de playmobil, un mec chaud comme le showbiz. Il est garé en triple file parceque hyper important avec sa grosse voiture-bite. kaiiiiiii, kaiiii, Merde, je marche sur la queue du chien en snakant entre les passants. La conne a chien effrayé par les maxis kaiiiiiii, kaiiii des son mini chien se tape une phase d' hysterie collective. Et vla que son keum armé d'un gros courage testiculaire lui prend son sac pour m'en mettre d coups ds la tête pendant que le mini chien s'en prend a mes mollets déjà molestés.Sous l'emprise de la loose, je rentre chez moi, seul et sans panini. Résolu à l'auto sexualité je fais sur mon phone un 08 36 69 -hot wet horny slut get coverd by scum- pour chopper miss clit, la plus grande salope du bassin parisien. A peine elle décroche qu'elle m’explose à l'oreille comme une déesse du porno. C pile à ce moment que les batards de chez orange ont coupé la ligne de mon schmittomoto phone, trop c la loose pour schmitto... la loose. a suivre.lui c taz. il va devenir l'anti-hero de la suite des aventures de schmitto la loose et d enfants du bitume. g deja le titre : LE DERNIER TAZ.

Heroes:

and me, myself, and I, and big dady gay