Je suis une femme qui suce son pouce et atteint son apogée quand elle orgasmique, le plus souvent seule et quand je m'allonge en toi, bien après, nous sommes aimantés.
Ces corps qui s'enlacent, ses bouches qui se violent et la mort suit,
Wir lieben den Tod
Rot winde den Leib,
Brot wende in Leid,
ende Not, Beil wird
Leben. Wir, dein Tod,
weben dein Lot dir
in Erde. Wildboten,
wir lieben den Tod, disait unica zurn, nous aimons faire l'amor car à l'unisson nous sommes perchés...
Je souffre de solitude mais n'aime que les très belles gens ou les surdoués intellectueles, les gens comme moi. Panégéryque d'une gamine seule ds un monde si noir.Ce film qu'elle tournait seule dans cette nuit de glace, feutrine palace, actrice du nectar.
J'aime repousser les limites et la bande intellectuelle. Platonica c moi. Je suis une gonzesse mentale.
Je suis sereine et posée, j'aime le calme, le réfléchi la pensée positive et la réflexion ds tes retranchements.
Je veux un monde ouvert sans barrière étanches..
Nous aimons les choses simples car nous sommes des gens simples.We slide down on the surface of things - Ellis.Les attentats commandités par l'arc en noir prolifèrent dangereusement, la métaphysique reste mon seul souffle, j'epouserai les grands ds une autre vie.
Stop aux conquistadors, je méprise le binaire.
je me retourne sur lui mais bon sang qu'il sait parler, laissez moi danser sur lui, le mordoré de vos tombes m'enchante lui aussi.
Tonnerre de filaments au parfum si acre, je me surprends encore à etre la personne la plus naive qui existe, laissez moi voguer parmi les les raynures de juin, belle equité que celle du pathos, l'integrité faite femme en souffre toujours plus.
Ma paix interieure est mise à mal par les gens de peu de foi, entre le paradis et l'enfer il y a une frontière, lapalissade, beau moi de mai, vos cris me contorsionnent cérébralement et j'en perds ma couleur, helas, rainbow est éphémère.
Je galoppe a travers marrées et cyclones, même apathique je ne trouve plus le repos.Non je ne crois plus que l'homme est bon.Cette viscérale question posée à l'aube de mes 22 ans avait pourtant trouvée son salut.Que ne reviennent les reminescences usées d'un temps ou l'agitation degoulinante regnait en maitre à penser.Je vaux de l'or mais rien vaut ma vie, subtil paradoxe que celui d'une enfant pourrie.Je vais et je viens entre elle et lui, ma place au soleil s'est amoindri, je chanterai sous la pluie mais je ne serai plus la première, non, jamais de la vie.Spéciale dedicace aux bras cassés, mes frères , mes ames, que ne durent sur le papier." Au sein du réel qui respire, le temps est aussi intelligible que le monde est fantasmatique." - Quignard in "les ombres errantes"
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