everyone who wants to talk with me
.. width="425" height="350" ..embed allowScriptAccess="never" enableJSURL="false" src="http://lads.myspace.com/videos/vplayer.swf" enableJavaScript="false" allowScriptAccess="never" flashvars="m=1013120054&type=video" type="application/x-shockwave-flash" width="430" height="346"the true is hard but we have to know in which world we live
.. width="425" height="350" .. height="346"
Get this video and more at MySpace.comil est pr�cieux d'�tre intimement persuad�, et des choses vers lesquelles nous tendons, et de notre capacit� de les atteindre, avec l'aide de Dieu.
..
Le nom "Nouvel Ordre Mondial", "New World Order" en anglais, ou "Novus Ordo Seclorum" en Latin, signifie bien d'avantage que l'alignement mondial actuel et apparent. Il identifie une doctrine id�ologique et politique pr�cise progressant depuis longtemps : le communisme global ou, dit autrement, l'effort pour la mise en place d'un gouvernement mondial.Bien que le terme ne d�signe pas directement une organisation reconnue, il pointe bel et bien vers le pouvoir en place, mais souvent celui qui se trouve derri�re les rideaux, loin des feux de la rampe. Il s'agit de gens de tous les domaines de l'�lite, qui croient en la sup�riorit� absolue de certaines id�es sur d'autres, de m�me qu'au droit des "plus forts" de diriger et de choisir pour tous.De l'aveu m�me des individus adh�rant � cette philosophie �litiste, les dirigeants doivent maintenant choisir pour le futur : choisir d'�tablir un ordre qui sera facile � g�rer, qui sera rentable, et o� bien s�r ils se r�servent le pouvoir. Tous les dirigeants savent que ceci leur sera profitable, et que seul un changement majeur et radical dans la pratique de la politique sur cette plan�te peut emp�cher cette instauration. La disparition de la dualit� politique mondiale de type communisme vs capitalisme m�ne in�vitablement vers cette globalisation et assimilation de la culture, des politiques, et pire, des id�es. Certains citoyens ont d'ailleurs d�j� pris position contre une petite facette de cet �litisme, la mondialisation.
la mondialisation actuelle est effectu�e dans le but de nous amener dans une structure o� le gouvernement a le pouvoir sur les individus, plut�t que dans une structure o� les individus ont le pouvoir sur le gouvernement,
La concentration actuelle de gens au pouvoir partageant cette id�ologie est particuli�rement alarmante, et nous am�ne � r�fl�chir sur la v�ritable nature du syst�me politique dit "d�mocratique". Les changements actuels dans les l�gislations des pays pour s'uniformiser entre eux se font au d�triment des droits civils et humains, alors que la globalisation augmente, en m�me temps que les profits et le pouvoir pour l'�lite.Presque toutes les organisations internationales ou nationales servent maintenant les int�r�ts d'un Nouvel Ordre Mondial. Les gouvernements nationaux eux-m�mes, l'Union Europ�enne, l'OTAN, le G7, le G8, le G20, le Quartet, le FMI, la Banque Mondiale, et bien sur l'ONU et ses filiales (et de nombreux autres), sont tous des outils de cette uniformisation, qui nous habituent peu � peu � une structure o� un pouvoir central prend une d�cision, qui devient d�s lors in�vitablement applicable et effective sur l'enti�re surface du globe, sans possibilit� de "recours".Les 5% de gens d�tenant 95% des ressources ont des int�r�ts politiques bien diff�rents des 95% de gens d�tenant le dernier 5% des ressources. C'est dans cette optique que d�sire s'instaurer le futur ordre mondial, le gouvernement global.Autour des tables rondes du pouvoir, on en est � cette page de l'agenda depuis des si�cles. Derri�re les portes closes, l'�lite planifie une structure qui permet et permettra, gr�ce � la guerre, l'inflation, le terrorisme et d'autres variables cr��es de toutes pi�ces, d'assurer les profits et le pouvoir � ses descendants. Mais � quel prix pour nous?Bien que la qu�te personnelle du pouvoir est un moteur puissant pour cet �tablissement mondial, les groupes d'influences ont jou� le r�le principal dans le choix et l'imposition des politiques de par le monde. Les plus connus, pour ne pas dire le plus notoires, sont : le "Concil On Foreign Relations" (CFR), la Commission Trilat�rale, le Club des 300, le Club de Rome, les "Skulls and Bones", les Francs-ma�ons, etc.
Devant cette r�alit� de plus en plus pr�sente, mais de moins en moins d�nonc�e, notre �me patriote, celle pr�nant la souverainet� des id�es et des individus sur les gouvernements, nous appelle � d�noncer cette rapide escalade du contr�le et l'effritement des droits individuels.D�noncer l'av�nement d'un Nouvel Ordre Mondial n'a rien de conspirationniste, m�me si c'est ce que les m�dias portant le message des �litistes tentent de nous faire croire. S'inqui�ter de nos droits communs en tant que collectivit� est plus que notre droit sacr�, il s'agit de notre responsabilit� face � ceux qui nous ont donn� la vie, et face � ceux � qui nous la donnerons.Ne laissez jamais aucun individu ou organisation vous dire le contraire.
Malcom X : after hajj
envoyé par TurkIslam45
click here
click hereLe lobby pro-isra�lien et la politique �trang�re am�ricaine porte sur un sujet profond�ment tabou aux Etats-Unis, celui de l’influence des groupes de pression isra�liens sur la politique �trang�re am�ricaine au Proche-Orient et dans les pays arabes. Il est l’oeuvre de deux �minents universitaires am�ricains : John J. Mearsheimer, professeur �m�rite de Sciences Politiques � l’universit� de Chicago (auteur entre autres de The Tragedy of Great Power Politics) et Stephen M. Walt, directeur des �tudes et professeur �m�rite de Relations internationales � la Kennedy School of Government d’Harvard (auteur lui de Taming American Power : The Global Response to US Primacy).Les deux politologues d�montrent dans ce livre pr�cis et extr�mement bien document� qu’Isra�l a �t� le pays au monde qui a le plus b�n�fici� de l’aide �conomique, militaire et diplomatique am�ricaine depuis la seconde guerre mondiale.Ed. La D�couverteL’�tat h�breu a syst�matiquement et largement �t� favoris�, soutenu et d�fendu par l’Oncle Sam, m�me sur des questions sensibles comme par exemple le d�veloppement ill�gal de l’arme nucl�aire, la colonisation des territoires palestiniens ou la violation des Droits de l’Homme. De fait, depuis 1972, les �tats-Unis ont mis leur veto � 42 r�solutions du Conseil de s�curit� de l’ONU critiquant la politique isra�lienne, y compris lorsqu’il s’agissait de crimes contre l’humanit� ou de crimes de guerre, sans compter les nombreuses autres r�solutions affaiblies afin d’�viter la mise en accusation d’Isra�l, qui de toutes fa�ons multiplie les infractions au Droit international sans �tre jamais inqui�t�.Et chaque ann�e, Isra�l, pays industriel pourtant d�sormais aussi riche que l’Espagne, continue de recevoir � lui seul plus d’un cinqui�me de l’aide �conomique �trang�re des �tats-Unis (soit environ 500 dollars par an et par Isra�lien), � laquelle il faut ajouter une tr�s importante fourniture d’armes et d’assistance militaire, le Pentagone et Tsahal collaborant �troitement. Plus radicalement, les auteurs affirment entre autres que George W. Bush est entr� en guerre contre l’Irak de Saddam Hussein � la demande d’Ariel Sharon et de ses affid�s au Pentagone tels Paul Wolfowitz, m�me si ce n’est pas l’unique facteur, et qu’Al-Qa�da est � l’origine une �manation conjointe des services secrets isra�lo-am�ricains. De m�me pour les conflits comme la r�cente guerre au Liban ou les menaces de guerre nucl�aire avec l’Iran qui, sous couvert de lutte contre le terrorisme islamique, sont les r�sultats de la d�sastreuse politique commune entre isra�liens et am�ricains. Enfin les deux chercheurs n’h�sitent pas � d�noncer pour leur partialit� en faveur d’Isra�l les grands m�dias am�ricains, qu’ils soient journaux ou t�l�visions de tous bords politiques.Adoptant un point de vue r�solument r�aliste, Stephen Walt et John Mearsheimer estiment que l’Etat juif est plus un fardeau qu’un atout strat�gique car la protection z�l�e de Washington, qui va jusqu’� compromettre la s�curit� de l’ensemble des pays occidentaux, est extr�ment dangereuse, politiquement contre-productive, et strat�giquement n�faste tout autant � l’int�r�t national am�ricain qu’� celui d’Isra�l et � la paix dans le monde. Entre parenth�ses, il serait int�ressant de conna�tre l’avis du tr�s atlantiste et tr�s pro-isra�lien Nicolas Sarkozy, nouveau "caniche" europ�en de George W. Bush, et de son ministre des affaires �trang�res Bernard Kouchner, qui viennent tout juste d’aligner sans aucun complexe la politique �trang�re de la France pr�cis�ment sur celle des Etats-Unis.Le soutien ind�fectible et irraisonn� des �tats-Unis � Isra�l ne peut s’expliquer ni par des int�r�ts strat�giques communs ni par des imp�ratifs moraux, estiment les deux auteurs. Arguments, chiffres et documents incontestables � l’appui, ils d�montrent clairement qu’un puissant lobby pro-isra�lien — repr�sent� notamment par l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC, 100.000 membres actifs), quelques autres organisations juives de droite et d’influents cercles de r�flexion comme entre autres la Brooking Institution — exerce une influence consid�rable dans tous les secteurs, de l’administration aux m�dias en passant par l’universit�, et travaille activement � l’orientation de la politique �trang�re am�ricaine. Ce lobby est soutenu par les nombreux n�oconservateurs et chr�tiens �vang�liques fondamentalistes — tels ceux de Chr�tiens Unis pour Isra�l (pour qui la "renaissance" d’Isra�l s’inscrit dans un dessein biblique) — tous fervents sionistes largement repr�sent�s dans l’administration Bush.Mearsheimer et Walt estiment in fine que, s’il n’en allait de la sacro-sainte s�curit� de la J�rusalem juive, l’Am�rique de George W. Bush ne serait aujourd’hui pas autant expos�e aux menaces terroristes venant de Syrie, d’Irak ou d’Iran. "Isra�l n’a pas le poids strat�gique que les �tats-Unis mettent en avant. Isra�l a pu avoir un poids strat�gique pendant la guerre froide, mais il est devenu un handicap grandissant maintenant que celle-ci est termin�e", �crivent-ils, ajoutant que "Le soutien inconditionnel � Isra�l a renforc� l’antiam�ricanisme dans le monde, a contribu� � alimenter le probl�me de terrorisme pour les �tats-Unis, et a affaibli les liens avec des alli�s en Europe, au Proche-Orient et en Asie". En conclusion, ils pr�nent un changement radical de politique envers Isra�l.La th�se de Stephen Walt et John Mearsheimer ne pr�sente gu�re d’�l�ments nouveaux pour les observateurs de la politique �trang�re am�ricaine, la r�alit� des chiffres et des actes �tant difficile � nier. Elle n’a cependant pas �chapp� � une violente vague de r�actions hostiles et de commentaires haineux dans les m�dias, sans parler des "punitions" (Stephen Walt a par exemple �t� "d�missionn�" de son poste de doyen). La pol�mique tient sans doute au fait qu’il ne s’agit pas d’un simple pamphlet anti-isra�lien mais d’un tr�s s�rieux essai politique r�dig� par des intellectuels am�ricains r�put�s et de plus responsables d’�tudes sur ces questions dans des universit�s prestigieuses.L’article � l’origine du livre, pr�vu initialement pour �tre publi� par la revue am�ricaine Atlantic Monthly qui l’avait command� en 2002, a �t� refus� par toutes les revues am�ricaines lorsqu’elles ont pris connaissance du propos. Il a pu �tre publi� quelques jours en mars 2006 sur le site web de la Fac de Droit d’Harvard mais a �t� pr�cipitamment retir� sous la pression des donateurs et sponsors de l’universit�. C’est la London Review of Books, v�n�rable revue litt�raire et intellectuelle britannique lue par l’intelligentsia lib�rale �clair�e, qui a finalement eu le courage de publier l’article en version abr�g�e au printemps 2006, (version fran�aise), provoquant un �norme toll�.Pas un �ditorialiste am�ricain, du Los Angeles Times au Washington Post en passant par le New York Times ou The New Republic, sans parler du virulent Daniel Pipes qui diffuse dans tous les m�dias n�o-conservateurs sa propagande sioniste, qui n’ait pris position, le plus souvent pour condamner l’essai de fa�on m�prisante et accuser les deux auteurs d’antis�mitisme quant ce n’est pas de pure et simple d�mence. Certains ont �t� jusqu’� parler d’un nouveau Protocole des sages de Sion, en r�f�rence au c�l�bre faux antis�mite. La plupart des commentaires de la presse ne portaient g�n�ralement pas sur les questions soulev�es par l’article mais sur les "intentions" de Stephen Walt et John Mearsheimer.Globalement, le ton de la presse a �t� celui donn� par Eliot Cohen dans le Washington Post : "Si, par antis�mitisme, on entend des croyances hostiles irrationnelles et obsessionnelles sur les Juifs ; si on les accuse de manque de loyaut�, de subversion et de trahison, d’avoir des pouvoirs occultes et de participer � des tractations secr�tes pour manipuler les institutions et les autorit�s gouvernementales ; si quelqu’un liste syst�matiquement tout ce qu’il y a d’injuste, de laid et de faux chez les Juifs pris individuellement ou collectivement et en m�me temps exclut syst�matiquement toute information � leur d�charge, alors oui, cet article est antis�mite". Le mois dernier encore, alors qu’ils devaient parler devant le Chicago Global Affairs Council, la r�union avec Walt et Mearsheimer a �t� annul�e au dernier moment pour "prot�ger l’institution". Certains critiques courageux comme David Remnick dans The New Yorker ont toutefois jug� qu’il n’y avait pas lieu de crier � l’anti-s�mitisme et qu’un d�bat sur le sujet �tait n�cessaire, m�me s’il est tr�s improbable qu’un tel d�bat ait lieu pendant l’actuelle campagne pour l’�lection pr�sidentielle am�ricaine.En brisant le tabou sur l’alliance isra�lo-am�ricaine, les deux intellectuels ont pris le risque de voir briser leur carri�re et leur r�putation par les groupes de pression qu’ils d�noncent. Ils d�plorent l’impossibilit� de d�battre des relations isra�lo-am�ricaines, un aspect pourtant central des relations ext�rieures de la premi�re puissance mondiale, sans se voir syst�matiquement affubl� d’une casquette d’antis�mite ou de juif ren�gat. "Nous ne d�veloppons pas une position extr�miste. Notre livre ne met pas en question le droit d’Isra�l � exister et ne d�peint pas les groupes pro-isra�liens comme faisant partie d’une esp�ce de conspiration contr�lant la politique �trang�re des Etats-Unis. Au contraire, il d�crit ces groupes et ces individus — des juifs et des non-juifs — comme un groupe d’int�r�t dont les activit�s ne sont pas tr�s diff�rentes du lobby des armes, du lobby agricole ou d’autres lobbies ethniques", se d�fendent-ils.Le lobby pro-isra�lien et la politique �trang�re am�ricaine de John Mearsheimer et Stephen Walt est publi� simultan�ment par les �ditions Farrar Strauss & Giroux (�tats-Unis), Campus (Allemagne), Kodansha (Japon), Atlas (Hollande), Penguin (Royaume-Uni), Mondadori (Italie) et La D�couverte (France).La R�publique des Lettres"Depuis la publication du Choc des civilisations dans le magazine Foreign Affairs en 1993, aucun essai universitaire n’avait autant d�fray� la chronique." (Michael Massing, New York Review of Books)" Il se pourrait que l’analyse r�aliste que Mearsheimer et Walt pr�sentent de fa�on si pertinente [...] mette en branle un utile changement de paradigme dans la politique am�ricaine au Proche-Orient ". (L. Carl Brown, Foreign Affairs)John J. Mearsheimer est professeur de sciences politiques � l’universit� de Chicago et est l’auteur de The Tragedy of Great Power Politics. Consulter le site personnel de John J. Mearsheimer.Stephen M. Walt est professeur de relations internationales � la Kennedy School of Government d’Harvard. Son dernier livre s’intitule Taming American Power : The Global Response to US Primacy (Traduction fran�aise � para�tre aux �ditions Demopolis en octobre 2007).� para�tre le 27 septembre 2007Le lobby pro-isra�lien et la politique �trang�re am�ricaine - John J. Mearsheimer, Stephen M. Walt (Traduit de l’am�ricain par Nicolas Guilhot, Laure Manceau, Nadia Marzouki et Marc Saint-Up�ry) - La D�couverte, Paris, 2007 - 504 p., 20 €Avant-propos et introduction , version pdf
Vid�o du d�bat organis� par la London Review of Books , en anglais(Entre parenth�ses, il serait int�ressant de conna�tre sur ce sujet l'avis du tr�s atlantiste et tr�s pro-isra�lien Nicolas Sarkozy, nouveau "caniche" europ�en de George W. Bush, et de son ministre des affaires �trang�res Bernard Kouchner, qui viennent tout juste d'aligner sans aucun complexe la politique �trang�re de la France pr�cis�ment sur celle de l'administration Bush.)