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Csaba Kovacs

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CSABA KOVACS est né à Budapest, de date inconnue, le registre des naissances ayant été dévoré par une horde de bulgares sauvages.
Il vit une enfance hongroise classique rythmée par la faim, le froid, la honte et l’humiliation.
C’est tout naturellement qu’il se dirige vers une carrière artistique.

Très vite, CSABA KOVACS connaît le succès grâce à la chanson « Parce qu’on vient de Hongrie » qui est depuis devenu le nouvel hymne national hongrois.
Des tournées triomphantes à travers les plus grandes scènes hongroises, (la salle des fêtes de Debrecen, le bal dancing de Pécs…), lui ouvre les portes de l’Olympia de Budapest.

Mais le succès est aussi synonyme de scandale et de rumeur. En 2006, le quotidien roumain « Evenimentul Zilei » déclare que CSABA KOVACS aurait été élevé par des poules.
Cette information n’a pas été réfuté mais a provoqué le départ du chanteur hongrois vers la France.

Il déclare à ses fans hongrois : « C’est excitant! Je sais que cela va être difficile mais je ne regrette pas d’être venu à Paris, si vous saviez comme c’est bon le pain...enfin non, vous ne savez pas. ».

CSABA KOVACS a déjà ému le public de la Cartoucherie de Vincennes, du festival des Iles Flottantes, du Réservoir ou encore du Théâtre de l’Epouvantail.

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CSABA KOVACS est une marque déposée par Csaba Zombori, humoriste et auteur. Happé par la scène, il commence une formation théâtrale spécialisée dans le one man show au théâtre de la Main d’Or. Il y joue ses premiers sketchs lors des scènes ouvertes. Après une escapade dans le monde du journalisme sportif il revient à l’humour par l’écriture de programmes courts pour la télévision et de sketchs diffusés sur le net dont Gym'Comic selectionné au festival de la fiction TV de La Rochelle. C’est en 2006 qu’il créé le personnage du chanteur hongrois engagé qui lui permet de réaliser son rêve, « chanter sans savoir chanter ».

Les publics du théâtre de la Main d’Or, du théâtre du Chaudron, du festival des Iles Flottantes, du théâtre de l’Epouvantail ou du Réservoir sont encore dépités d’avoir ri à ses conneries…

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