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Henri Courseaux
www.myspace.com/henricourseaux
www.henri-courseaux.com
Concert d'ouverture
du Festival de la chanson à texte de Montcuq
(23,24 et 25 Juillet) www.festichanson-montcuq.com
le 3 Juillet 2009 Ã 21 heures
au Château de Floyras
46800 Saint Laurent Lolmie (Lot)
Festival de la chanson française à texte
Montcuq
L'été dans le quercy blanc, c'est le moment de profiter des paysages,
du temps qui passe, du bon vin et de la bonne chère.
Des moments passés en agréable compagnie,
dans le silence tranquille, la douceur conviviale, la joie partagée d'un soir de juillet.
De ces soirées qui résonnent des accents de la chanson française
dans quelque écrin de pierre blanche...
C'est ce que Henri Courseaux et ses amis Quercynnois
vous invitent à partager lors du festival de Montcuq.
Festival de la chanson à texte de Montcuq
3 Juillet - 23, 24 et 25 Juillet 2009
Le 3 Juillet
Agnes Collet
en premiére partie d'Henri Courseaux
"Ma foi je doute"
http://henri-courseaux.com http://myspace.com/henricourseauxLe 3 Juillet
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photo Anne Marie Panigada
Ma foi, je doute ! se présente d'abord sous l'aspect d'un tour de chant scénarisé où les deux musiciennes : piano, violoncelle, font aussi office de partenaires théâteaux. Le personnage principal (le chanteur) est un anti-héros à l'honnêteté caustique, burlesque, et cependant romantique. Hanté par une grosse voix intérieure qui voudrait l'amener à suivre les tables de la loi d'une éthique morale et artistique terriblement commerciale et conformiste, qui s'incarne sous diverses apparences (une petite secrétaire sexy, un bon vieux pépère, un juge et jusqu'à Dieu en personne), il finira par être déclaré "obsédé textuel" et condamné comme tel. Quitté par ses muses, qui sont comme chacun le sait, de nos jours du côté de l'autorité, il désobéira à la grosse voix une dernière fois en s'envolant pour chanter l'amour. Dans cette quête salvatrice du doute, tel un Don Quichotte, il malmènera au passage pour nous quelques certitudes auxquelles il est bien ddur de ne pas succomber lorsqu'on écoute la grosse voix se répandre chaque soir en de grandes messes cathodiques.
Manu Galure
"J'ai vingt ans, je vous emmerde"
http://myspace.com/manugalure
Le 23 Juillet
Manu Galure, sourire ravageur, instrumentiste multicarte déjà rôdé par la scène, est aussi à l'aise en piano solo qu'à la contrebasse avec son groupe Les ptits t'hommes, sans être pour autant manchot à la guitare. Par dessus tout il déborde d'idées, et de talents pour les mettre en forme et en scène.
Les racines plongées profondément aux origines de la chanson, il s'en nourrit pour faire éclore les fleurs vénéneuses qu'il nous sert avec désinvolture, bousculant des codes assez maîtrisés pour qu'on sente à la fois chez lui le respect et l'impertinence.
S'il ne s'économise pas, il ne nous ménage pas non plus : de la claque cruelle aux chatouilles pas vraiment innocentes, il se joue de nous... et on en redemande !
Provocateur rigolard ou piète expressionniste inspiré, Manu Galure enfile les costumes, les styles et les princesses avec une aisance et une jubilation rares, qu'il partage sans compter.
Evelyne Gallet
http://www.myspace.com/evelynegallet
Le 23 Juillet
Evelyne Gallet est une fille qui chante. Sans minauder ni broncher. Une tatouée, une vraie.
Haute de cinq années de café-théâtre avec le duo Les Pieds dans le Plat, Evelyne est sur scène comme à la maison. Avec des textes ciselés par un certain Patrick Font et accompagnée d'Arnaud Jouffroy et de Frédéric Bobin aux guitares, elle joue avec le public qui en redemande ,
Cette chanteuse rouquine a un truc en plus, ce quelquechose qui manque cruellement à ses contemporains : une belle dose d'autodérision, qinsi qu'une approche tendre et décalée des choses. Et lorsque ses grands yeux se posent sur son public, il n'en faut pas davantage pour que chacun dans la salle sente qu'il partage un chouette instant d'intimité avec elle.
Pignot Depoix
"La rive gauche en chantant"
http://www.l-equipage.com
Le 24 Juillet
photo Delphine Depoix
Avec les chansons de Fanon, Gribouille, Ricet Barrier, Arnulf, Merri, Lafforgue, Debronckart, Dimey, Holmes, Tachan, Serizier
(...) Ce parcours en chansons politiques, chansons à rire, chansons de dérives, d'espoirs et de désespoirs est un grand bonheur. Parce que Pignot et Depoix ont un talent de musicien et de comédien qui colle à leur sujet. Parce que les textes choisis sont forts et passionnés.(...) Silvain Siclier - Le Monde
(...)Impossible de ne pas craquer, même hors nostalgie, même si on a vingt balais. Pour le peu, du moins, qu'on ait l'âme bien née, prompte à s'émouvoir de cette miraculeuse conjonction mêlant poésie, rire, satire, générosité(...)Gérard Ponthieur - Le Monde
Natacha EZDRA
http://myspace.com/natachaezdra
Le 24 Juillet
photo Anne Marie Panigada
"Interprète à la voix pénétrante, on aime son vibrato profond, sa façon de prendre chaque mot à bras le corps, son évident respect de l'oeuvre (...) la chanson a besoin de ce genre depersonnage, pour redonner à l'interprétation ses lettres de noblesse." Valérie Lehoux - Télérama
Merci pour ton disque que j'ai écouté avec attention et plaisir. (...) tu as réussi à établir un esprit et un climat qui donnent à ce disque une unité qui correspond à ce que tu es profondément, dans l'émotion comme dans la satire. Je souhaite que ce disque t'ouvre de nouvelles portes. Avec toute mon affection. Jean Ferrat
Elsa Gelly
chante Vincent Roca
"Larguez les amours"
http://www.elsagelly.com
Le 25 Juillet
J'ai croisé Elsa Gelly, elle portait une écharpe. L'écharpe de Maurice Fanon. Une chanson admirable qui lui allait comme un gant, qu'elle chantait du bout des lèvres, avec une force et une émotion incroyables. Elsa chantait aussi les filles et les chiens de Brel, et là , ce furent son humour et sa hargne qui m'accrochèrent. Bref, j'étais séduit : par une voix, par une personnalité, par une puissance et une douceur mélangées. Et quand Elsa me demanda d'écrire pour elle, je fus surpris (ainsi donc, mes mots pouvaient être portés par d'autres !) mais surtout très fier. Et je décidais de relever l'écharpe, enfin... le gant.
Vincent Roca
Pierre Margot
http://myspace.com/pierremargot
Le 25 juillet
La chanson est pour moi comme une seconde nature depuis l'adolescence. Pendant vingt ans, j'en ai écrites pour mon plaisir et, parfois pour les autres. Et puis à 33 ans, je me suis décidé à les chanter moi-même devant des gens. Le premier concert était en 1999 au Café de la Danse. Le spectacle s'appelait le Rire des Colombes. Après il y a eu le Baiser Salé, le Sentier des Halles, le Tourtour, le Petit Journal Montparnasse, Chartres, Albi, Toulouse... Après trois ans de calme, le nouveau spectacle est prêt. Il est sorti en avril...
Cour de la maison d'enfants à Montcuq
email : [email protected] www.myspace.com/festivaldemontcuq
photo Joanna Mouly
Renseignements : Claire de Villaret : 06-83-09-78-34 [email protected]