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« Le label associatif a pour objectif de favoriser la confiance du public envers les associations de qualité. Sont concernés, outre les associations qui le souhaitent, tous les tiers concernés :les financeurs privés et publics,(donateurs, entreprises mécènes, notariat, élus locaux, administrations subventionneuses ) les personnels bénévoles et salariés enfin les populations intéressées par l’action associative. La démarche est volontaire. Le coût final varie fortement selon l'état de préparation de l'organisme candidat.« L’attribution du label exige le respect des principes fondateurs de l’association : la liberté d’entreprendre, la gratuité, le bénévolat, le désintéressement, un fonctionnement démocratique. L’application de ces principes implique la mise en Å“uvre de procédures de transparence et de gouvernance soumises à la certification d’experts compétents, indépendants, extérieurs aux organisations certifiées comme à leurs partenaires et prestataires publics ou privés.« La séparation des pouvoirs et des intérêts tant au sein de l’organisme certificateur que des associations certifiées garantit seule la crédibilité de la démarche. L'organisme certificateur doit soumettre ses audits à l'avis d'une commission composée d'experts, bénévoles, indépendants, compétents, désintéressés. Quelle que soit la décision finale prise par le certficateur - et par lui seul,- l'avis de la commission est rendu public. Les membres de la commission s'engagent à repecter la confidentialité et l'obligation de déporten cas de lien personnel avec l'organisme sous examen.« Le monde associatif, de par la diversité et la liberté qui le caractérisent, se prête mal à la mesure de la valeur sociale ajoutée par rapport aux moyens humains et financiers engagés. La certification, avec ses exigences, apporte une garantie que :• les moyens d'une bonne gouvernance ont été mis en place pour permettre à la fois une bonne prise de décisions et un pilotage convenable des activités,• toutes les précautions ont été prises pour éviter la confusion des intérêts, les dérives et appropriations, matérielles ou symboliques, personnelles ou non• la transparence est effective,• La représentativité est averrée• les droits des donateurs, des financeurs publics et privés, des bénéficiaires, des bénévoles et des salariés sont respectés.C'est une combinaison d'obligations de moyens et d'impératifs de résultats. >>Note sur les différentes inscriptions Chômeur/retraité/étudiant, personne individuelle : il s’agit de membres adhérant à l’association en leur nom propre. Ils parlent et apparaissent au niveau de l’association en leur nom et pas au nom d’une organisation ; Personne adhérant au nom d’une organisation : il s’agit de membres adhérant à l’association au nom de leur entreprise (qui prend en charge cette adhésion). Ils peuvent apparaître et s’exprimer au nom de cette entreprise ; Personne morale : il s’agit d’un organisme ou d’une entreprise. Elle peut en tant personne morale diffuser une page d’encart sur ses activités dans les actes des réunions Ada-France et soumettre des offre d’emplois sur le site. Membre bienfaiteur : il s’agit de membres (personnes physiques ou morales) souhaitant soutenir Ada-France. Ils peuvent distribuer des informations publicitaires pendant les réunions Ada-France. Ils peuvent participer à et proposer certaines activités (par exemple, une journée de travail) si celles-ci correspondent au cadre de l’action d’Ada-France et avec l’accord du Conseil d’Administration. Protection de la vie privée Nous ne conservons dans notre base de données aucune information sur les anciens membres de l’association (droit à l’oubli). De plus, vos coordonnées enregistrées ne seront ni transmises à des tiers ni utilisées pour des opérations qui ne sont pas en lien direct avec l’objet de l’association. La base de données de gestion des adhérents est déclarée à la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés) sous le n°857071. Il a été délivré en application de l’article 16 de la loi du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés. Conformément à la loi informatique et liberté du 1er juillet 1978, vous disposez d’un droit d’accès et de modification aux données vous concernant. Pour exercer ce droit, envoyez un courrier électronique à [email protected].
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Influences:
Generation rebelle feat f-rey
envoyé par ESCORTCREW Origines du hip-hopSommaire· 1 Contexte · 2 Les premiers tags · 3 Clive Campbell et les premières block parties · 4 La consécration Contexte [modifier] Les années 1950 et 1960 creusent le fossé entre la majorité blanche américaine qui profite du rêve américain et les minorités (en particulier noire et hispanique) dont les conditions de vie se dégradent. Les mouvements identitaires se forment et sont réprimés (notamment les Black Panthers) et leurs leaders disparaissent (Martin Luther King, Malcolm X). Les communautés des grandes villes, en particulier New York, se replient sur elles-mêmes dans des ghettos où les gangs prennent une importance sociale de plus en plus marquée. L’insécurité, la délinquance et la drogue font alors partie du quotidien. Dans le même temps, la musique noire américaine affirme son identité et le funk et la soul deviennent des modes d'expression et de revendication privilégiés. Les pionniers de cette culture posent les fondations sur lesquelles sera bâti le hip-hop : James Brown, The Last Poets, Sly and the Family Stone, Gil Scott Heron ou Stevie Wonder. La culture hip-hop naît de cet environnement défavorisé et des tensions sociales, raciales et politiques de l'époque. L'extrême économie des moyens à mettre en Å“uvre, l'utilisation de la rue comme scène ou lieu d'exposition, la spontanéité de l'improvisation contribuent à l'élaboration et à la propagation d'un mouvement culturel qui va dominer la fin du XXe siècle. Les premiers tags [modifier] Dès le milieu des années 1960, les premières signatures apparaissent sur les murs de Philadelphie. Cornbread et Cool Earl inscrivent leur nom suivi du numéro de leur rue. Le phénomène se généralise et l'intérieur des rames de métro de New York est touché dès 1973. Le graffiti reçoit en 1971 une publicité considérable grâce à un article dans le New York Times : Taki 183 devient la première célébrité du graffiti. Le phénomène s'amplifie alors considérablement et, pour se faire un nom, les taggeurs commencent à couvrir l'extérieur des wagons afin de disposer de plus d'espace et d'être visibles par plus de monde. Les signatures deviennent alors des calligraphies élaborées. Un des premiers taggers et pas des moindres, n'est autre que Jean-Michel Basquiat qui dans les années 70 tagguait SAMO (pour same old shit) surmonté d'une couronne (theme hip-hop classique s'il en est). Clive Campbell et les premières block parties [modifier] Jeune immigré de la Jamaïque où il était disc-jockey, Clive Campbell s'installe à New York en 1967. Passionné de funk, il organise des soirées dans la rue où il utilise le son de deux platines afin d'enchaîner les morceaux et de prolonger les passages instrumentaux durant lesquels les danseurs peuvent laisser libre cours à leur créativité. S'inspirant du style rythmé et parfois acrobatique de James Brown, les danseurs se lancent des défis et créent un style toujours plus impressionnant, innovant avec de nouvelles figures, introduisant des composantes de la capoeira ou des danses africaines. Les passages instrumentaux (ou breaks) se prêtant particulièrement à ce nouveau style de danse, les danseurs sont surnommés b-boys (pour break-boys) et se rassemblent dans des Crews dont le plus célèbre est le Rock Steady Crew. Ces block parties gagnent rapidement en popularité et Clive Campbell, qu'on appelle désormais Kool DJ Herc (en référence à son physique impressionnant) invite tour à tour un représentant de chaque quartier à animer la soirée. Les interventions deviennent rimées, rythmées et une émulation naît et de véritables joutes verbales s'organisent. En 1973, Le phénomène dépasse les frontières du West Bronx pour atteindre le South Bronx, où Afrika Bambaataa installe ses enceintes à la fenêtre de son appartement pour faire danser son quartier. Après le Bronx ce sont Harlem, Brooklyn et le Queens qui cèdent à la fièvre des block parties. Grandmaster Flash crée la première table de mixage permettant d'enchaîner les disques sans interruption. Grand Wizard Theodore invente quant à lui accidentellement le scratch en posant les doigts sur le disque qu'il était en train de jouer ; il perfectionne sa découverte pour en faire un véritable instrument rythmique dont la maîtrise permet aux DJ's de se distinguer. Le scratch deviendra l'un des traits distinctifs de la musique hip-hop. Afrika Bambataa et la Zulu Nation Aka Kahyan Aasim, leader des Bronx River Projects (une faction du gang Black Spades) fonde la Bronx River Organization, un mouvement cherchant à aider les enfants des ghettos à sortir de la spirale de la violence et de la délinquance. Son influence d'ancien chef de gang lui permet de dialoguer avec les jeunes de son quartier, Bronx River, et de canaliser leur agressivité dans une démarche positive de création artistique. Le 12 novembre 1974, la Bronx River Organization devient Zulu Nation, Aka Kahyan Aasim prend le pseudonyme d'Afrika Bambataa et inscrit son action dans une démarche de retour à la culture africaine. Il adopte la devise « Peace, Love and Having Fun » ou encore « Peace, Respect, Unity ». La consécration [modifier] Dès 1978, la musique hip hop fait son apparition dans les clubs de Manhattan. Le premier disque rap sort en 1979 sur la face B d'un maxi 45T du groupe funk Fatback : King Tim 3 (Personnality Jock). En 1979, Sugarhill Gang reprend les meilleurs raps des block parties et Rapper's delight est un tube planétaire. Parallèlement, la pratique du graffiti urbain s'est propagée aux États-Unis puis en Europe. La culture hip-hop se répand et gagne en visibilité au cours des années 1980 et 90.Un label (de l'anglais label signifiant "étiquette") est une société éditrice de disques et CD. Elle est chargée d'éditer et de distribuer les disques. Le label est par extension la marque déposée par cette société. Les quatre labels les plus importants (major du disque : Universal, Sony BMG, EMI et Warner) se partagent l'essentiel du marché mondial (plus de 77% en 2004). De très nombreux petits labels ou labels indépendants (voire maintenant de net labels) se partagent le reste. Un artiste peut également s'autoproduire._____________________________________________ ______________________________ Liste des majors du disqueÀ la fin 2004, après la fusion de Sony Music Entertainment et BMG Entertainment en Sony BMG Music Entertainment, quatre sociétés se partagent l'essentiel du marché de l'édition de disques. Elles représentent en effet 71,6% de parts de marchés sur le marché mondial concernant les ventes de production musicales : · Universal Music Group : 25,5% · Sony BMG : 21,5% · EMI Group : 13,4% · Warner Music Group : 11,3%
Sounds Like: TOULOUSE :
Pimp My ProfileLa production musicale : grosses guitares ou gros sous ? 1 Depuis quelques temps, tout le monde fusille les maisons de disque sans bien comprendre pourquoi elles portent une cible dans le dos. Il semblait utile de revenir sur le qui-fait-quoi de ce milieu complexe qu'est la production musicale pour mieux comprendre le problème. Ouvrons les boîtiers de nos CD.Manager, producteur, ingé son, label et major… Tout un monde. Reprenons à la base : un groupe compose sa musique, généralement dans un garage, et fait quelques concerts, généralement dans des bars. Arrive alors un moment où l'envie de faire partager cette musique ou d'en vivre va pousser le groupe à chercher, au choix, à enregistrer sa musique pour la diffuser, ou bien à jouer dans des salles plus grandes. Un musicien est soit un ‘performer’ ou un ‘songwriter’ mais en aucun cas un commercial. Arrive alors un acteur indispensable : le manager1. Celui qui vend le groupe, lui organise et lui assure une carrière dans un milieu, un secteur. L’industrie du disque. Les deux trajets, en général parallèles, sont intéressants et se passent sensiblement pareils : le manager fait marcher ses relations et/ou enfonce les portes pour trouver de plus grandes salles où se produire ou un studio d’enregistrement. Dans le premier cas, on va rapidement se confronter à un soucis : combien de personnes un petit groupe peut-il faire venir par son seul talent ? Pas de grande salle sans grand public. Les solutions passent par des concerts regroupant plusieurs groupes (faire la première partie2 ou partager l'affiche) ou des concerts peu onéreux, ce qui revient au même : pas grand-chose à empocher après le partage, que ce soit niveau pépettes ou niveau public. C’est là qu'intervient le ‘tourneur’, sorte de manager qui prend en charge la recherche de date, de salles, et de groupes. Ah, si j’étais célèbre, j’aurais plus de monde à mes concerts. Bon d’accord, répond le manager, je vais te faire enregistrer un disque… Ce qui nous amène au deuxième cas, le groupe entrant dans un studio accompagné de deux nouveaux acteurs : l’ingénieur du son et le réalisateur artistique. L’ingénieur3 a pour mission de gérer la prise de son des enregistrements. Tout le monde joue en même temps ou chaque instrument séparément, douze micros dans la pièce ou un par musicien, autant de décisions qui seront appliquées par l’ingénieur mais qui seront souvent prises par un conseiller artistique. Les anglais parlent de ‘record producer’ car c’est lui qui va assumer la production sonore, épaulant le groupe lors des sessions d’enregistrement : lâche toi et n’hésite pas à crier, plus de guitares là, le pont est trop long essayez de l’enchainer directement… C’est souvent lui qui choisira les prises qui finiront sur l’album, définira le mixage final, une partie des arrangements (une montée de violons rajoutée derrière cette transition pour en accentuer le lyrisme ici, une voix qui perdure à l’infini le fade out grâce à un effet de chorus…) et peut être même lui qui a sélectionné leur studio selon des critères artistiques et techniques pour correspondre au mieux au son du groupe… ou pour l’y créer. Reste à faire quelque chose de ce son. Bon donc on a de jolies maquettes et on voudrait bien les transformer en joli CD. Ou bien on veut jouer ailleurs que dans le département et on ne connaît personne ailleurs. Le groupe se tourne alors vers le manager et celui-ci vers un label.Pourquoi un label ? Parce que payer le pressage qui sera assuré par une tierce entreprise, les déplacements aux quatre coins du pays, et trouver des distributeurs ou des salles nécessite d’avoir à la fois de l’argent (pensez également à la communication et au marketing qui permettra d’écouler les CD pressés) et de l’influence (ou des contacts influents). Peu importe sa taille et sa structure1, un label c’est avant tout un éditeur, donc son métier est de rendre accessible un contenu artistique. Ici de la musique. Et un groupe. En signant le groupe, le producteur2, c'est-à-dire le ‘responsable commercial’ en lien avec le groupe, s’engage à tout mettre en œuvre pour promouvoir le groupe et sa musique en échange d’une rétribution bien connue : les ‘royalties’3. Ainsi le label assurera, en plus du pressage suscité, la promotion4, les déplacements nécessaires pour celle-ci et trouvera le tourneur si ce n'est déjà fait. De même, elle prendra en charge le coût d’enregistrement de l’album, bien qu'à ce stade on a généralement déjà enregistré un maxi cinq titres (à l'époque du tout numérique, les home studio sont choses faciles à monter) qui suffira pour démarrer. La gestion des droits (comprenez les rentrées d’argent) du groupe restant, elle, le domaine du manager. Un intérêt, le groupe atteint un niveau supérieur de diffusion et de fait peut espérer, sinon vivre de sa musique, au moins la faire partager. Inconvénient, il se retrouve lié par contrat à fournir au label X albums et à tourner ici et là sur demande. Néanmoins le producteur a tout intérêt à ne pas « gâcher » l’opportunité que représente ce groupe. Mais s’il veut leur imposer un réalisateur artistique particulier, ou ne les faire tourner qu'en première partie de groupes locaux, c’est son droit. Et le groupe ne pourra que ronger son frein en attendant la fin du contrat. Allez, encore quatre albums et c’est fini… Si tout marche bien, c'est à dire si le groupe plait et qu'il ne split pas, si le manager et le label ont bien fait leur boulot, ce qui fait déjà de nombreux si, alors on devrait rapidement voir arriver un homme de plus dans l'équation. L’équivalent de tout ce marché à l’échelon supérieur, en la personne du représentant d’une major.Une major c’est un label comme un autre à ceci près qu’il prend des risques1 plus gros. On les appelle ainsi parce qu'à elles quatre2, ces maisons de disques se partagent environ 70% du marché mondial du disque, soit en signant directement certains artistes soit en contrôlant différents sous-labels. Le risque pris consiste en un surplus de fric injecté dans la promotion, accès à la télé et diffusion massive3 sur les radios, plus de disques pressés pour un coût total inaccessible pour un label classique. En échange, la major rétribue le label original pour lui avoir cédé le groupe. Résultat : des résultats plus importants à se partager et un gain de popularité notable pour le groupe. Les différents calculs4 tendent à prouver que le groupe n’a pas forcément gagné plus en changeant mais sa notoriété, elle, est drastiquement changée. Ah oui, les contraintes, elles, sont toujours là et bien souvent renforcées. Alors pourquoi en veut on toujours aux majors si ce ne sont que des labels comme les autres et donc un acteur indispensable du marché de la musique ? Et bien justement parce que ce surplus d’argent créé ne se fait qu'au profit de quelques acteurs5 dans lesquels les musiciens ne sont pas vraiment. Et pourtant, à la base de tout cela se trouve leur musique. Même en retirant la pub, l’image, la diffusion permanente, le merchandising, le son phénoménal du CD et de la post prod’, les douze violons qui les accompagnent sur scène et les séances de dédicaces, en enlevant tout cela on trouve une chanson. Qu’un type a écrite un jour sur sa guitare et qui a convaincu (avant tout) son groupe que cela valait le coup de la bosser un peu, puis un label, puis un producteur, puis un distributeur… Alors le jour où la musique pourra rester la même sans qu’on rémunère tous ces acteurs là, ils joueront une toute autre comédie. Et quelque chose me dit que cela collera avec le jour où le gars à la guitare préfèrera donner sa musique plutôt que de la vendre, jour où il gagnera moins d’argent, mais plus que son producteur n'en perdra.1. Jamais artistiques, financiers uniquement, et encore pas beaucoup et le moins souvent possible. [retour] 2. Du plus gros au plus léger, en terme de volume de vente : Universal Music Group, Sony-BMG, EMI Group et enfin Warner Music Group. [retour] 3. Dites ‘heavy rotation’. [retour] 4. Sur la base du même nombre de disques vendus. [retour] 5. Essentiellement le circuit de distribution et celui de la production. [retour] · 12 novembre 2007 · Articles · Tags : industrie, label, manager, producteur
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envoyé par ESCORTCREW ____________________________________________________________ _______________ 1. Un label peut en effet être une entreprise indépendante ou appartenir à un groupe plus large qui réunit différents labels à l'échelon international. Ainsi dans cette catégorie on trouvera aussi bien Un Dimanche, le label Grenoblois de Melk et anciennement de Rhesus, que PIAS, le label de Miossec U.N.K.L.E. et Soulwax. [retour] 2. Cette fois-ci on parle d'executive producer. [retour] 3. Là encore on peux utiliser en français le terme 'redevances' mais seuls les anglophobes convaincus se rabattront sur 'royautés'. [retour] 4. Aujourd'hui elle passe quasi-systématiquement par faire des photos, une jaquette pour le CD, des flyers et des affiches etc. [retour] · 8 novembre 2007 · Articles · Tags : industrie, label, manager, producteur..
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Record Label: rap for life
Type of Label: Indie

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Origines du hip-hop

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Posted by on Mon, 09 Jun 2008 17:15:00 GMT

La production musicale : grosses guitares ou gros sous ? 1

La production musicale : grosses guitares ou gros sous ? 1 Depuis quelques temps, tout le monde fusille les maisons de disque sans bien comprendre pourquoi elles portent une cible dans le dos. Il semb...
Posted by on Mon, 09 Jun 2008 17:13:00 GMT