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En 63 je roulais des pelles à Lacan

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« Et alors, calmement, durement et presque avec préméditation, comme un coup de poignard bien placé ou une soudaine et forte étreinte, je lui dis que tout cela était inutile, qu’elle cherchait en vain des causes erronées, de fausses explications, une seule chose faisait d’elle une juive, une seule et rien d’autre : Le fait que tu N’AS PAS été à Auschwitz - lui dis-je » (Imre Kertész, Kaddish pour l’enfant qui ne naîtra pas, p.98)« Le chasseur de soi fuit sa maison fragile : Son gibier le suit, n’ayant plus peur »Ne me tue pas parce que c’est incompréhensible, j’improvise un petit poème en écriture quasi-automatique, sans rimes sans pieds et surtout aujourd’hui je l’avoue, je crèverai de peur d’être comprise. Laisse-moi dire n’importe quoi. Tu sais, je suis un centime, mais dans un puits en jachère, c’est mon vœu. Et l’autre, une image qui serait exactement nombreuse, où le compte y serait on y monterait. Suis pas des mots. ------------------------------------------------------------ ------------------------------------------------------Alors, avant-hier à la tête ç’ensanglantait, à l’arrière-pensée. Un autre dimanche qui pousse de travers et qui demande à Demain de ne pas regarder, de se retourner. Est-ce que oui, « la vie vaut la peine d’être visage » ? Dis-moi mon Dieu si je fais encore peur, encore plus… Je me terreur, et Tu autant, ne devient pas autre. S’impliquer c’est répondre ? Tu ne veux pas que je m’engage ? Tu veux que je sois un du-coin-de-l’oeil fleuve ? Un rien suffirait pourtant, mais rien ne suffira. Veux repartir seule, je n’ai pas été capable d’impossible. Tu restes bouton de sein sec, Marie, le postillon d’une semelle qui s’esquive en terre sous le lacet de l’arrachis. Pourtant de tout Mon, poids possessif, Deux plantes de pieds posées sur le cœur de la nuit pour qu’explosent les quatre planches du soleil, ------------------------------------------------------------ ------------------------------------------------------------ -----------------Il était une fois qu’aucun blanc ne soulèvera -------------- Vertige comme tu vas on voit, ---------------- Des lions rebaudis ont habités ici. ------------- Mât fille ferlé ou pertuisane d’empreintes fouies au moho, ------------- Malakh de l’invivable --------------- Sa chair p’Hauturière la voile s’arriole, ------------- Un cimetière au paradis. -------------- Cis-Majari, des survenants perchés sur poignet ------------- Maschecroûté de Manduce ------------ Contre, Cali rue du Candilejo « allons mon cœur, -------------- Fais moi cette aune de dentelle noire pour une mantille, ------------- Epinglier de mon âme ! » -------------- Gitanilla la terre est son hémisphère inférieur ------------- Son pájaro rebelde vidé, sac cutané et son sort môle sac ------------ Cage gicle l’astreinte tournoyée d’intérêt moratoire, ------------ La parole des rails en rond ----------- Nimbée des pieds, piaculaire bâillon d’un --------- Train et rien que pour toi. ------------ D’ici ma mère morte-née, traînée de poudre les jambes croisées ----------- Du ciel à moitié vide --------- Tu aurais dû le regarder de près, maman. ------------ Dabord et Dater, de face tu m’aimais vivre ---------- Derrière j’étais aimée à vif, ----------- Un couteau plié sur lui, et mes reins, ---------- J’étais ouverte, coulais équarrie la toilette liliale en filon hérédit’… ------------ Tu me vois, où nous ne sommes plus, ----------- Je te rends le père mais dedans je ne suis plus. ----------- Ni sous Squalide noir, qui voudra s’enlever à lui ? -------- S’y planter lauréate pour cacher sa forêt ---------- Cistophore de lauréole daphnéomancienne et ---------- Auprès du Haut se servir du ciel, ---------- Non. Sialagogue il ne pousse plus, --------- Il parle. A ma place. ---------- Que les auréoles chenues montent seules -------- Et déposent un jour sur chaque évent de feux Saint-Elme -------- Pour me faire une baleinière et une Bouche. --------- Rajeunis le savon jauni, ta silhouette cadette ---------- couche la chaise musicale du bois des morts debout --------- Prend sur ta nuit nos dos d’âme notre dernier de la Lune -------- Quand on meurt il peut revivre, ------------------------------------------------------------ ------------------------------------------------------------ ------------------------------------------------------Sinon, « Dépose pour le mort les mots dans la tombe / qu’il a dits pour vivre. »

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