Avant de faire les premières partie de Da sylva, Benabar ou Jérémie Kisling, Robe (R.Sandoz) a tourné ses chansons pendant sept ans en Romandie et en France.En mai 2005, il sort un disque. “Les perdants magnifiquesâ€, fort bien accueilli par le public et la critique. douze chansons essentielles dans un écrin à l’aune de leur puissance évocatrice.Grâce à une série de concerts dans des salles intimistes ou de 400 places, Robe s’impose comme une révélation intense de la scène romande.Il se définit comme le anti-héros de la chanson intimiste. Ses textes denses et poétiques assument une fausse simplicité. Au coeur de ces équilibres précaires, il recherche la présence d’une grâce. Sur scène, il s’offre en pâture sans retenue, avec cette puissance apaisée qu’ont les vérités.Chaque chanson est une facette, un habit qu’il revêt. Car on ne s’offre qu’à la dérobée.