Member Since: 24/03/2008
Band Members: Salamou aalaykoumLa priere est ce qui nous différencie des non-croyants.Nous nous prétendons être musulman, littéralement: soumis, soumis à qui? Soumis à notre Seigneur Tout-Puissant et non pas soumis à nos tentations.
Viendra un jour où l'ange de la mort viendra retirer notre âme...Pour nous alors aucun retour en arrière!!
Ce que Dieu a décrété, nul ne peut le changer, ton destin a été écrit alors que dans le ventre de ta maman, d'à peine 4 mois tu étais agé!
Dieu demanda à l'ange responsable de l'utérus de ta maman, de lui insuffler 3 choses: ton rizq, autrement dit ce qui te sera destiné comme subsistance, tes actions bonnes ou mauvaises, ta vie heureuse ou malheureuse et la date de ta mort.
SOBHANA LLAH!
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La priere est fardeau pour celui qui la néglige et une misericorde pour celui qui la préserve.LE MOIS DE RAMADANDans sa sagesse infinie, ALLAH a prescrit à Ses créatures les règles inaltérables leur assurant une vie digne dans ce monde et la félicité dans l’Au-delà . Parmi ces règles, figure le jeûne qu’il a ordonné aux communautés successives de croyants. Loin de se réduire à l’abstinence alimentaire, le jeûne exige de l’homme la mobilisation de tout son être. L’observation extérieure des règles du jeûne doit s’accompagner d’une maîtrise des sens et plus particulièrement de la langue.
L’exercice spirituel que représente le jeûne doit démontrer à l’homme sa capacité de se priver pour un temps de ce qui lui semblait indispensable. Il doit lui révéler que, dans ce domaine, comme dans bien d’autres, vouloir, c’est pouvoir, à condition que l’intention soit ferme et que le but recherché soit l’agrément d’ALLAH.
Le but d’un tel acte d’adoration a été clairement défini comme la recherche de l’état de crainte révérentielle de Dieu (la piété) critère de supériorité d’un individu sur un autre. Cette qualité ne se mesure que par celle des oeuvres qui en sont les témoins. L’école du jeûne est sans équivalent et doit amener à faire taire en chacun la tendance à la domination des autres, l’ostentation, la crainte d’autre que Dieu et toutes les formes insidieuses de l’appel du diable, seul véritable ennemi du genre humain.
Le diplôme sanctionnant le mois du jeûne est une somme de vertus nourrissant le croyant durant le court séjour terrestre qui, rappelons-le, est une somme d’épreuves à laquelle seul le retour à Dieu mettra fin.
Dans un monde où la matière devient l’unité de mesure sacralisée, le jeûne du mois de Ramadan est là pour relativiser la conception dominante et pour fournir à ceux qui le désirent une arme à toute épreuve.Le prophète (SAW) dit:
«La meilleure charité est celle accomplie pendant Ramadan» (Tirmidy)
«Qui donne à manger ou à boire à quelqu'un qui jeûne, d'un bien licitement acquis, les anges ne cessent de prier pour lui durant Ramadan. L'archange Gabriel prie pour lui la nuit du Destin» (Boukhari)La prière des Tarawih
Le prophète (SAW) dit: «Qui se lève pour prier pendant les nuits de Ramadan, avec foi et en comptant sur la récompense divine, Dieu pardonne ses fautes passées». (Boukhari & Moslim)La lecture du Coran
Le prophète (SAW) redoublait la récitation du Coran, pendant le mois de Ramadan. Gabriel descendait réciter avec lui. (Boukhari).
Le prophète (SAW) dit: «Le jeûne et la prière de Ramadan intercéderont pour l'homme le jour de la résurrection. Le jeûne dira: « Seigneur! Je l'ai empêché de boire et de manger pendant le jour». Le Coran dira: « Seigneur! Je l'ai empêché de dormir la nuit » « Accepte notre intersession pour lui!» ». (Ahmed & Nassai)La retraite spirituelle (I'tikaf)
Elle consiste à garder la mosquée dans un esprit de dévotion pour plaire à Dieu. Le prophète (SAW) a fait la retraite la dernière décade de Ramadan et ne cessa de la pratiquer, jusqu'à sa mort. Il dit: «La mosquée est le refuge de tout homme pieux. Dieu a promis à celui qui y fait sa retraite de lui accorder sérénité et miséricorde, de le faire traverser le Sirat [pont jeté sur l'Enfer] pour le faire parvenir à Sa grâce au Paradis» (Tirmidy).
Influences: Il ne rate jamais ses rendez-vous privilégiés de l'aube naissante...quand bien même il aurait passé la nuit en soujoud et en dhikr. Lorsqu'il tourne sa face vers el Kibla, son coeur s'emplit de joie, et humble il se prosterne devant son Créateur. Ses raka'ates finies, il ne manque pas d'invoquer le Seigneur afin qu'Il protège ses parents, sa femme qui prie derrière lui et leurs enfants qui dorment encore.
Pendant que sa douce épouse prépare le petit déjeuner dans la cuisine, il s'assied en tailleur, le saint Coran posé sur ses cuisses et lit quelques versets... L'odeur des crêpes titillent ses narines. Il se lève et se rend dans la cuisine. Il prend sa douce par la taille et l'inonde de tendres baisers.
C'est le matin qu'il l'aime, plus belle que jamais.
Après avoir petit déjeuner en compagnie de sa femme et de ses enfants, il se rend au travail. Il y va toujours le coeur léger. C'est un travail qui lui plait. Sur le chemin, il se souvient de ses longues années d'études. Huit longues années de fac au terme desquelles son plus beau cadeau ne fut pas ce bout de papier qu'on lui décerna comme diplôme mais le sourire qui irradiait le visage de ses parents et des ses frères et soeurs. Il est si fier d'avoir comblé les espoirs de ses parents et d'avoir donné le bon exemple à suivre à ses cadets.
Il est heureux al hamdoulillah. Il est heureux et ne cesse de louer l'Unique pour tous ces bienfaits dont Il l'a couvert. Ses compagnons de route jusqu'au travail sont As-Soudayssi, Al-Hossary et autres lecteurs...Seul le Saint Coran apaise son coeur et le met de bonne humeur pour commencer sa journée de travail.
... L'heure du repas arrive. Il a rarement le temps de rentrer déjeuner à la maison. Aussi, c'est elle qui vient le rejoindre, parfois seule, parfois avec les enfants, mais toujours avec un merveilleux sourire et de tendres paroles à lui offrir. Ils vont déjeuner dans ce petit restaurant hallal au coin de la rue ou alors dans un petit jardin lorsqu'il fait beau et qu'elle a préparé un panier pique-nique. Il est toujours agréablement surpris de voir à quel point le regard de sa femme est aussi caressant à son égard. Ils sont mariés depuis 10 ans déjà , mais son regard pour lui n'a pas changé...et elle est toujours aussi magnifique que le jour de leur mariage. Il pose délicatement sa main sur sa joue et lui dit à quel
point elle est précieuse pour lui.
C'est l'heure de dhor, ils se dirigent vers la mosquée. Il serre fort sa main dans la sienne et la regarde tout en louant Dieu SWT de lui avoir donné une pareille épouse.
C'est le midi qu'il l'aime, elle est plus belle que jamais…
Elle rentre chez eux, sort avec les enfants ou vaque à ses occupations associatives. Il peut retourner au bureau tranquille. Il sait que son honneur et celui de sa famille est entre les mains de la plus précieuse des femmes: la sienne.
Ces après midi au travail trainent parfois en longueur, ses clients sont exigeants et souvent pénibles, le stress le gagne. Mais la perspective de rentrer à la maison et d'y retrouver les siens dans quelques heures le détend. Il peut travailler de plus bel pour finir le plus tôt possible.
Elle prépare le dîner et s'occupe des enfants en attendant que son cher époux rentre du travail. Le petit dernier est un tyran en puissance, il sème la pagaille partout où il passe, mais elle sait comment l'adoucir et le calmer. Pendant que ses ainés font leurs devoirs, elle se met dans un coin du séjour et apate le petit monstre avec un bon gouter. Il s'approche, méfiant, se demandant ce qui lui résèrve cette maman bien trop calme pour être honnête . Pour le mettre en confiance, elle s'assied par terre: à hauteurs égales, il est rassuré. Elle lui fait un grand sourire et lui demande s'il n'a pas envie de jouer avec maman. Il commence par refuser mais ce n'est qu'une feinte pour se faire prier...et il aime trop se blottir contre sa douce maman dont il l'aime l'odeur plus que tout. Ils s'amusent un petit moment, après quoi elle lui raconte une histoire, une des histoires des compagnons RA...Il est subjugué...Il se blottit contre la poitrine de sa mère et lui souffle un " mamou, ze vais te dire un secret, tu le dis à personne hein: ze t'aime". Il va rentrer dans une demie heure. Les enfants sont heureux à l'idée de retrouver leur père. Le plus petit sort ses plus beaux crayons pour "faire un dessin pour papounet". Le plus grand s'attelle à apprendre les derniers versets de sourate al baqara pour "les réciter à abbi" dès son retour, et la cadette "dresse la table pour le thé de baba".
Avant de monter en voiture pour rentrer à la maison, il se rend à la mosquée pour faire ses prières. En sortant de la mosquée, il fait un tour dans le quartier, et s'arrête devant une bijouterie. "C'est dommage qu'elle n'aime pas les bijoux se dit-il, cette parure serait magnifique à son cou". C'est donc un bouquet de fleurs qu'il lui achètera, et quelques bonbons pour les enfants. Il ne rentre jamais les mains vides, toujours un petit quelque chose pour ses petits trésors, comme le dicte la sounna.
Lorsqu'il ouvre la porte, les enfants se précipitent pour l'accueillir. Ils se jettent à son cou et l'inondent de bisous. Elle admire ce magnifique tableau et remercie le Seigneur de lui avoir ramené son époux sain et sauf à la maison. Pendant que les enfants font le meilleur accueil à leur père, elle le débarasse de ses affaires. Et en même temps qu'un baiser, elle lui glisse à l'oreille "bienvenu chez toi mon amour, tu nous as manqué".
C'est en début de soirée qu'il l'aime, elle est plus belle que jamais…
Les enfants sont couchés. Il peut enfin s'étendre sur le tapis du salon, c'est là qu'il est le plus à l'aise, à même le sol, comme notre bien aimé prophète SWS. Elle vient près de lui et il pose sa tête sur les cuisses de son épouse. Pendant qu'elle passe délicatement sa main dans ses cheveux, il lui raconte sa journée, elle l'écoute attentivement. Il lui raconte que son associé lui cause des tracas, elle tente de trouver avec lui une solution. C'est toujours ainsi qu'elle est avec lui: sereine, bienveillante, attentive. Ses regards pour lui sont des caresses, ses mots pour lui sont de doux baisers.
C'est la nuit qu'il l'aime,elle est plus belle que jamais
Dans le dernier quart de la nuit, ils se lèvent tous deux pour faire quelques raka'ates. Pendant qu'elle met son hijab il la regarde amoureusement.
C'est toujours qu'il l'aime, sa belle mouslima. .....
Sounds Like: بÙسْم٠اللَّه٠الرَّØْمَٰن٠الرَّØÙيمÙ
يس (Ù¡) وَالْقÙرْآن٠الْØÙŽÙƒÙيم٠(Ù¢) Ø¥Ùنَّكَ Ù„ÙŽÙ…ÙÙ†ÙŽ الْمÙرْسَلÙينَ (Ù£) عَلَىٰ صÙرَاط٠مÙسْتَقÙيم٠(Ù¤) تَنْزÙيلَ الْعَزÙيز٠الرَّØÙيم٠(Ù¥)
Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
(1) Ya-Sin. (2) Par le Coran plein de sagesse. (3) Tu (Muhammad) est certes du nombre des messagers. (4) sur un chemin droit. (5) C'est une révélation de la part du Tout-Puissant, du Très Miséricordieux.Qu'est-ce que la Zakât?
Le premier sens du mot arabe zakât est purification. En effet, la zakât est le troisième pilier de l'Islam et est une manière, dans sa signification première, de purifier les biens légaux que l'on a acquis. Le verset suivant l'indique clairement.Sourate 92, Verset 18
...qui donne ses biens pour se purifier...L'aumône est une obligation pour tous les musulmans qui en ont les moyens ; le Coran est très clair à ce sujet.Sourate 9, Verset 103
Prélève de leur bien une aumône par laquelle tu les purifies et les bénis, et prie pour eux. Ta prière est une quiétude pour eux . Et Dieu est Audiant et Omniscient.
Sourate 73, Verset 20
...Accomplissez la Salât, acquittez la Zakât, et faite à Dieu un prêt sincère...Comme le dit Roger du Pasquier dans son livre "Découverte de l'Islam", la purification "équivaut aussi à un sacrifice qui enlève l'aspect maléfique de ce qui est trop quantitatif dans les possessions terrestres de l'homme, les faisant participer au sacré éminemment qualitatif que l'Islam confère à toute la vie". N'oublions pas que la véritable récompense est auprès de Dieu.Sourate 57, Verset 11
Quiconque fait à Dieu un prêt sincère, Dieu le lui multiplie, et il aura une généreuse récompense.En pratique, la zakât a donc et en plus les objectifs suivant :Purifier l'âme humaine de l'avarice, de l'avidité et de la convoitise.
Aider les pauvres et les plus démunis. La zakât favorise ainsi une véritable entraide sociale en étant une oeuvre d'utilité public.
Limiter l'accumulation et la concentration de biens chez les riches afin qu'ils ne soient pas aux mains d'une minorité de la société.
Qui peut en bénéficier?
Le Coran nous informe très clairement à ce sujet.
Sourate 9, Verset 60
Les aumônes sont destinées : aux pauvres et aux nécessiteux, à ceux qui sont chargés de les recueillir et de les répartir, à ceux dont les coeurs sont à rallier, au rachat des captifs, à ceux qui sont chargés de dettes, à la lutte dans le chemin de Dieu et au voyageur. Tel est l'ordre de Dieu. Dieu sait et il est juste.Il y a donc huit catégories de personnes/objets ayant droit à la zakât :Le pauvre. Il n'a pas de quoi subvenir à ses besoins ainsi qu'à ceux dont il a la charge (femme, parents, enfants...). Ces besoins sont la nourriture mais aussi le logement, les vêtements, etc. De même, il est possible que des non-musulmans dans le besoin puissent en bénéficier.
Le nécessiteux. La différence avec le pauvre est illustré dans le hait suivant :
"Le nécessiteux n'est pas celui qui va d'une personne à une autre, congédié par une bouchée ou deux, par une ou deux dattes, mais le nécessiteux est celui qui n'a rien à dépenser et dont on ne soupçonne pas la privation pour lui venir en aide et qui ne se présente pas pour demander l'aumône." (Sahih Al-Boukhari)
Les collecteurs de la zakât qui se déplacent donc de maison en maison. Il y a aussi les secrétaires et les intendants qui s'occupent de la gestion de cet aumône.
Les nouveaux convertis. La zakât peut être utilisée afin de raffermir le cœur des personnes qui viennent juste de se convertir. .
L'affranchissement des esclaves musulmans. Ainsi, le musulman désireux de plaire à Dieu rachète et affranchi un plusieurs esclaves.
Les endettés. Les personnes ayant contractés une dette dans un but pieux peuvent bénéficier de la zakât afin de s'en acquitter.
La voie de Dieu. La voie de Dieu comprend principalement la guerre sainte (utilisée par exemple pour l'équipement, le ravitaillement, etc.) mais aussi tout ce qui est d'utilité public tels que la construction d'hôpitaux, de dispensaires, l'achat de fournitures pour les mosquées. La guerre sainte est cela-dit prioritaire.
Le voyageur. Celui qui est loin de chez lui et a besoin de se nourrir, de se vêtir par exemple peut bénéficier de la zakât. S'il est riche et a la possibilité d'emprunter de l'argent, il doit le faire plutôt que de bénéficier de la zakât.
Celà -dit, les pauvres et les nécessiteux doivent être les bénéficiaires prioritaires si le montant de l'aumône est relativement peu élevé. Il faut savoir également que le musulman ne peut donner son aumône aux personnes dont il a la responsabilité comme ses enfants, ses parents... car il doit déjà subvenir à leur besoin. S'il ne le peut pas, c'est qu'il doit donc bénéficier de la zakât.
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Type of Label: Indie