Même s’il est aujourd’hui facile d’en obtenir gratuitement,la musique ne se situe pas en dehors de la sphère économique. Elle connaît au contraire les mêmes phénomènes d’internationalisation, de concentration et de standardisation que la plupart des biens et services que nous consommons chaque jour.Les musiciens ne le savent que trop : rares sont ceux à en vivre. Seule une poignée pense à fuir la France pour ne pas payer l’impôt sur la fortune. Les autres, la majorité, ont d’autres problèmes : ils gagnent généralement à peine plus que le smic, vivent dans une grande précarité et contrôlent rarement leur avenir …http://www.dailymotion.com/video/x54pop_la-musique-assieg
ee-en-conference-1_music"La musique assiégée" propose une analyse historique, économique et sociale d’un secteur aujourd’hui en pleine crise. L’industrie musicale est-elle inéquitable par définition? Les musiciens sont-ils condamnés à être manipulés par un système financier qui les dépasse ? En s’appuyant sur les pratiques et les idées du commerce équitable, ce livre donne des pistes qui dessinent un avenir plus juste pour la musique.Nous avons souhaité donner la parole à près d'une cinquantaine de musiciens, disquaires, producteurs, journalistes, programmateurs, managers. Leurs témoignages se complètent et se contredisent parfois. Nous voilà rassurés ! Le débat a lieu d'être.Parmi eux : Mano Solo, Rémy Kolpa Kopoul (Radio Nova), Claude Sicre (Fabulous Trobadors), Jean-Marie Moreau (Sacem), Jali (Massilia SoundSystem), Gilles Castagnac (Irma), les Ogres de Barback, Marc Benaïche (Mondomix), Ray Lema, Philippe Berthelot (Fédurok), Nicolas Repac…Retrouvez-nous www.jouerjuste.org
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