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Member Since: 09/03/2008
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Band Members:
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Influences:
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** Ross Mckerrell joue de la guitare et chante depuis l'âge de 14 ans lorsqu'il a commencé à s'intéresser à la musique traditionnelle de son pays natal, l'écosse et se produit avec des groupes acoustiques dans la ville d'Edimbourg où, Ã cette epoque, il habite.
A l'âge de 20 ans il découvre la scène folk autour de la ville de Bristol en Angleterre et il fait partie de nombreux groupes toujours acoustiques, mais plutôt d'influence du blues américain des années trente et quarante. Après avoir entendu les disques du mandoliniste américain David Grisman il se met à la mandoline et commence à apprendre le jazz.
Comme beaucoup de ses compatriotes et en particulier ses aïeux, Ross Mckerrell a vécu la plus grande partie de sa vie ailleurs que l'écosse. (Un complot vieux de trois générations l'amène inexorablement en France et l'approche de plus en plus du village mythique de Django Reinhardt. Il prétend avoir rencontré Django dans un rêve et il est persuadé que le maître lui aurait confié un secret d'une importance capitale.)
Venu en France en 1982 il fait partie de formations plus électrifiées et jazzy comme " Ouverture Eclair " et actuellement fait partie du groupe traditionnelle " Steam Up ! " et aussi de " Why Not Mister Domino ".
Il compose la musique de ses chansons pour lesquelles il écrit des textes en anglais (et même parfois en français).Ross Mckerrell chante les oeuvres de Robert Johnson, Leadbelly, Big Bill Broonzy et ses influences comprennent Bert Jansch, Taj Mahal, Ry Cooder, Pierre Bensusan et Birelli Lagrene.
Sans avoir jamais mis son pied sur le sol américain, il voyage régulièrement le long du Mississippi avec ses deux compagnons, Mox Gowland et Peters Day avec sa guitare comme bouée de sauvetage
* Une brève analyse de la musique afro-américaine du début du 20e siècle fait apparaître une séparation entre les chansons de travail et les hollers, le blues, et la musique pour danser.
Le premier groupe se compose de formes de chansons inventées au fil des longues heures de labeur.
Le deuxième groupe, le blues, est constitué de chansons d'expression personnelle chantées le soir, pendant le temps de repos.
Le troisième groupe avait pour unique but de divertir.
Le répertoire de cet ultime groupe témoigne d'influences multiples.
Ruraux d'origine, les stringbands et les jugbands sont associés à des villes plus ou moins grandes et aux métropoles, surtout celles situées le long du Mississippi.
Traditionnellement, les ports avaient toujours été des centres de distraction chahuteur et sans loi. Les mariniers et les ouvriers agricoles qui chargeaient les bateaux voulaient avoir du bon temps quand ils accostaient et les ports de Cincinnati, de St. Louis, de Memphis et de la Nouvelle-Orléans pullulaient de joueurs, de prostituées et. de gens qui vivaient des gains des mariniers.
Memphis occupait une position unique. En plus d'être un port, c'était aussi un important croisement ferroviaire pour les trains allant et venant de la Nouvelle-Orléans à Chicago, ou bien encore d'est en ouest. Memphis et Beale Street étaient une sorte de terminal où les équipages des trains pouvaient " lâcher un peu la vapeur '' le samedi soir.
Beale Street, un jardin de plaisirs terrestres. Les salles de danse résonnaient toute la nuit aux rythmes des orchestres de stringband et de jugband. Du fait de la présence de l'énorme marché au coton tout près de Beale Street, les fermiers s'ajoutaient à ce mélange déjà explosif. A Memphis, proche du delta, les groupes qui jouaient dans Beale Street étaient imprégnés de blues plus que partout ailleurs le long du fleuve. La musique des jugbands de Memphis doit être considérée par rapport à son rôle précurseur.
Parce que ces groupes jouaient dans toute sortes d'assemblées, tant pour le public noir que pour le public blanc, ils furent les messagers du Blues, apportant ces sons à beaucoup d'oreilles nouvelles, que ce soit dans Beale street le samedi soir, dans un bal pour blancs, une présentation de remèdes ou ces fameux " ménestrels ", ces musiciens blancs déguisés en " noirs ''.
Durant presque tout le 19e siècle, la principale forme de divertissement populaire en Amérique n'était autre que ces Minstrel Show.
D'innombrables troupes se formèrent localement et certaines firent des tournées avec succès dans tout le pays ainsi qu'en Europe.
Stephen Forster, le tout premier et le plus connu des paroliers de musique populaire américaine commença sa carrière en écrivant des chansons pour ces troupes de ''ménestrels'".
Ces représentations étaient des parodies des 'darkies' (Afro-américains), des caricatures de leur comportement et de leur humour, les membres de la troupe étaient des blancs à visage '"noir Il y avait aussi des " minstrel shows' noirs.
Ces troupes constituées dans les régions rurales étaient modelées sur le minstrel blanc et d'autres formes de spectacles itinérants.
Les membres de ces premières troupes qui étaient noirs se maquillaient néanmoins aussi en noir.
Il n'y avait aucune autre forme de divertissement à proprement parler dans ces contrées.
Ces représentations permettaient de faire découvrir les nouveaux pas
de danse à ce que l'on peut considérer comme le premier public de masse. La fameuse ' Cakewalk' n'était autre que la caricature des attitudes blanches par un comédien noir.
Ces premiers "minstrel shows" offrirent aux artistes noirs les premières occasions d'embauche. Les chanteuses, musiciens de blues, danseurs et comédiens noirs trouvèrent du travail relativement régulièrement dans ces grandes troupes en tournée. Pour la première fois, on entendit de la musique noire un peu partout. d'abord aux Etats Unis. puis en Angleterre et le reste de l'Europe.
Le 'Classic Blues'était une forme de blues qui semblait regrouper tous les éléments divers et conflictuels de la musique "nègre", ajoutés à l'attrait plus émotionnel et plus doux de la ''performance'. Ce fut la première musique noire à apparaître dans un contexte formel en guise de divertissement.
Le Classic blues est moins obscur, moins complexe, plus précis parce que les paroles touchent à des données plus universelles. Le Classic blues formalisa le blues.
Si les premiers chanteurs de blues itinérants avaient divulgue un certain style de chant, les groupes de Classic blues contribuèrent pour leur part à standardiser un certain nombre de styles. "Ma" Rainey fut le lien entre le spectacle itinérant des Rabbit Foot Minstrels et son élève, Bessie
Smith, la plus célèbre chanteuse de Classic Blues.
En plus des centaines de troupes itinérantes, des "medicine shows", des vaudevilles, des spectacles donnés sous tente, dans les années vingt, le T.O.B.A. vit le jour, une agence d'engagements exclusivement réservée aux Noirs. Les chanteurs de Classic Blues commencèrent à envahir les scènes des théâtres dans toute l'Amérique. Ces spectacles représentent le début des jazz bands accompagnant des paroles de blues. Un événement important eut lieu en 1920 lorsque Mamie Smith enregistra le "Crazy Blues". Quand le disque commença à se vendre à raison de 8000 copies par semaine, les producteurs de chez OKEH en redemandèrent.
Le disque "de race" était né et le Noir fut dès lors un consommateur qui avait sa place dans le marché de la musique.
Grâce à cela, d'innombrables musiciens régionaux, tant noirs que blancs s'acheminèrent vers la production de 78 enregistrements. faisant ainsi leur entrée dans l'histoire de la musique. Lorsqu'on réécrira l'histoire de la musique populaire de la deuxième moitié du vingtième siècle, le nom de Harry Smith apparaîtra en lettres grasses.
Au début des années cinquante, trois événements, entre autres, se produisirent. Black Stringband music était devenue électrique et se faisait appeler Rhythm & Blues.
Un chauffeur de camion blanc du nom d'Elvis Presley se pointa dans le studio d'enregistrement de Sam Phillips à Memphis, fusionna la musique country blanche et la musique noire (tout comme Jimmy Rodgers 25 ans plus tôt) et enregistra Rock & Roll.
Harry Smith qui avait besoin d'argent persuada Moe Asch de publier son Anthologie de la musique folklorique américaine en un album de trois volumes d'enregistrements vinyl en 33 1 /2 tours.
Si l'Amérique blanche écoutait Perry Como et Frank Sinatra, des gens comme Bob Dylan, Geoff Muldaur et Jerry Garcia prêtaient une oreille attentive à des sons tout autres.
L'anthologie de Smith était un concentré (ainsi qu'une bombe à retardement) des musiciens noirs et blancs qui avaient enregistré dans les années vingt et trente des disques en 78 tours laqués.
Le gouvernement ayant besoin de laque pour la guerre, les citoyens du pays, tant blancs que noirs, cédèrent leurs enregistrements en 78 tours à la tonne. Ceux-ci se retrouvèrent dans des entrepôts. Smith, à la fois très érudit, excentrique, plein d'esprit d'entreprise, et qui plus est sélectif, négocia et collectionna les meilleurs spécimens enregistrés commercialement par toutes sortes de musiciens, noirs et blancs, amoncelés
dans cette incroyable mine d'or.
Quand la bande qui se trouva à Cambridge, dans le Massachusetts, à la fin des années cinquante et le début de la décennie suivante entendirent ça, ils crurent que cette musique venait d'une autre planète, et non pas d'Amérique. Ils partirent aussi tôt dans le Sud pour voir si quelques-uns de ces gens étaient encore vivants. Ils l'étaient et qui plus est, ils donnaient encore des concerts.
Le ' revival" du Folk, du Blues, du Jugband, et de l'Hill-billy music qui eut lieu vers le milieu et la fin des années soixante procèdent de cette période. Suite à un accident de moto, Bob Dylan fut coincé à Woodstock dans l'état de New York avec un groupe appelé The Band.
Ils associèrent les sons électriques des blues de Chicago avec des paroles qui racontaient des histoires comme celles venant des trésors récupérés par Smith.
Le reste c'est l'histoire de la musique populaire qu'émettent toutes les ondes, les CD, les télévisions et les ordinateurs d'aujourd'hui. Que ce soit Moby, Ice T, ou les Rolling Stones, la route remonte immanquablement à Harry et, plus loin encore, jusqu'à Memphis "The home of Hokum".
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Après avoir côtoyer avec les plus grands musiciens de blues de sa génération ;
ALEXIS KORNER, ALEX HARVEY, DAVY GRAHAM, PETER GREEN, JOHN MAYALL, ERIC CLAPTON, etc.
Mox travaille pendant quatre ans avec IKE et TINA TURNER.
Avec l´aide de PATRICK VERBEKE, il décide enfin de se consacrer à sa propre carrière, et se fixe en France, où il trouve un climat plus propice au blues.
Il enregistre son premier album sous son nom, où son style très personnel et sa connaissance de l´instrument en font l´un des meilleurs disques d´harmonica blues de cette époque.
Depuis, il assure la promotion de ses deux disques suivants, en tournant en France et dans toute l´Europe.
Mox a réalisé plusieurs ouvrages pédagogiques sur l´harmonica dont la méthode HARMONICA BLUES
1962: Débute, en duo de Folk Blues, Dominique et Mox. Chanteur et harmoniciste du
groupe De Kuper Sect (R n' Blues).
1963: Joue avec Redcaps (R n' B),et John Lamont (Country Blues)
1964: Premiers enregistrements et tournées dans les clubs et les Universités de
l'Angleterre avec The Alex Harvey Soul Band.
1965~67: Participe à la fondation des Cousins, l'un des clubs de Folk Music les plus en
vogue à l'époque.
Il joue avec: Alexis Korner, John Renbourne, Bert Jansch, Paul Simon,etc..
1968 : Continue à animer Les Cousins. Rejoint le groupe Mighty Baby(Progressive Rock).
Tournées en Angleterre, Hollande et Belgique.
1969-71 : Fonde avec Micky Finn et Sham Gopal le groupe Cosmosis (Indo-Rôck Fusion).
Tournées dans toute l'Europe. S'installe en Hollande.
1972-74: De retour en Angleterre, crée un duo avec Issac Guilllory.
Grave deux 33T avec Colin Scot.
Tournées Europeen en première partie avec Strawbs, King Crimson et John Mayal.
Recontre Ike et Tina Turner.
1975-77: S'installe avec eux aux U.S.A.(Los Angeles).
A été formé par Ike comme ingénieur du son et tour-manager.
Tournées aux U.S.A, au Canada, en Australie, Indonésie et Europe.
1978 : Revient en Angleterre pour reformer le groupe Bonzo Dog.
Retravaille avec Sham Gopal en France et en Espagne
(première partie de Paco De Lucia).
Tournées d'accompagnement dans toute l'Allemagne de l'Ouest pour la promotion
de l'album de Gunter Hoffmann.
Crée à Paris le Phantom Orchestra.
1979 : S'installe en Irlande avec le Phantom Orchestra.
Création d'une émission télévisée sur l'histoire de la musique pop.
Tournées dans toute l'Irlande, le Royaume-Uni, la Hollande et la Belgique,
1980 : Tournées en Europe avec le Festival of Fools et en duo, avec Issac Guillory.
Rencontre G.T.Moore and the Outsiders (Reggae) avec lesquels il travaille
pendant deux ans,
S'installe en France.
1981: Rencontre, à Paris, Guillaume Petite et Jimmy Gibson avec lesquels il fonde
Bluebloods (Blues).
Forme avec Cyril Lefèbvre un duo de Country Blues.
Enregistrements avec François Guierre et Patrick Verbeke.
1982 : Accompagne, à l'harmonica, les tournées de promotion de Patrick Verbeke.
Concerts avec Bluebloods et tournée en Espagne avec Cyril Lefèbvre.
Grave son premier 33T en tant que chanteur, harmoniciste et flûtiste chez Paris
Album.
Anime un premier stage d'harmonica blues.
Participe à la semaine du Blues au Festival de La Rochelle.
Tournées de promotion dans toute la France pour son album.
1983: Joue "l'harmoniciste" dans l'opéra Transibérien de Blais Cendrars mis en
musique par Antoine Duhamel aux Bouffes du Nord.
Passe dix jours à Alger et cinq jours au Forum des Halles avec le Quintet de
Mox Gowland et continue ses tournées en France.
l984: Préparation d'une méthode d'harmonica.
Tournées en France,
avec le Transibérien et joue toujours du blues en duo, trio et quartet.
1985: Sortie de la méthode Masterclass Harmonica Blues (Jetty).
Invité à jouer en Allemagne avec son quartet.
1986-89: Tournées en France, Espagne et Allemagne. Enregistre pour Ornament Records
(Cologne) The Blue Album.
Il approfondit sa connaissance du répertoire Jazz en jouant avec le groupe
anglais The Noakes Brothers
1990-93: Concerts et tournées en plusieurs formules, duo, trio et quartet, et en
plusieurs styles - country blues, blues rock et Jazz.
Assure les cours de musique et répertoire à l'Ars Nova Musicollege de Paris.
1994-2000 : Rencontre Jean-Pierre Danielsen (Guitare).
Leur collaboration s'est d'abord traduite par l'enregistrement d'un CD
"Live" au Petit Théâtre d'Etampes, (Triade) puis, pendant sept ans, par une
série de tournées et de concerts dans toute la France.
Sortie de trois livre /cédé et publier à intervalles réguliers les cours
d'harmonica.
2001- : C'est lors d'une intervention a la M. J. C. de Ris-Orangis qu'il rencontre
le banjöiste Jean-Marie Redon. Ils décident de créer un spectacle ensemble.
Tournées en France
2005- : Rencontre Peters Day, (Mandoline & Chant)
Participe dans son septete, the Titanic String Band (TSB).
Concerts et tournées avec le TSB et J-M Redon.
2007- : Crée, avec Peters Day & Ross Mckerrell (Guitare& Chant) les "New Hokum Sheiks"
2008- : Enregistre avec les "New Hokum Sheiks" un CD "Live in Tousson Nº6.
Sounds Like:
Skinny Myspace Profile skinny profile myspace code tutorial by Eileen ..
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Record Label:
La Téte des Trains
Type of Label: Indie