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°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°. °.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°. °.°.ENVIRONNEMENT ET PSYCHISME: Flaque d'acier noir au reflet de mercure, elle s'épand et se rassemble au rythme de ses origines, du temps passé, et de sa condition.
Le silence habillé, dans un espace clos comme un corps, le vivant et son noyau, l'idée de son centre traversé par les bruits du monde, tel qu'il est vu.
Les mêmes voiles traversent la chambre, la définisse, attachante ou accablante.
Les dentelles des rideaux filtrent la vue des chromes et de leurs treillis d'expression, l'ossature apparente devant, des usines de chrome.
La voix, son geste de parcours, les icônes animales s'affichent pour mémoire, comme synthèse des sensations à venir, un escalator pour les doigts, ils balayent sans considération pour personne.
Du papier crépon sur le grill bleuté, il fond, se répand à travers les lames, s'étale dans la baignoire ardente.
La tête de cheval, de chien, de taupe, de tigre, d'ours, de chaton, et de mouche, chacune défile dans ses mouvements dépouillés.
Gravir, couvrir, se porter, voler, glisser. Tout est accompli sans objet, un châle sur chacun des portraits, tous frénétiques.
Le roulement à bille, jouer avec les billes, métal et terre, s'effondrer et croître, remplir de toute les voix, ce quelles sont, ce quelles seront, beauté.
L'enfant marche dans la flaque, repasse, saute, et repasse.
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