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Head In Hole - Environnement

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    Head In Hole est né en 2008 du fait d' un ras le bol envers ce déchainement médiatique qui souhaiterait que nous, etres humains,portions le fardaud d'une degradation de l' environnement et que soit disant nous provoquions nous meme un rechauffement climatique.

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    La température au sol de notre planète se réchauffe progressivement depuis au moins un siècle. Typiquement +0,7°C en 100 ans.Cela semble être un fait, aux erreurs de mesure près. Cela s'est déjà produit à plusieurs reprises dans l'histoire de la terre mais les tenants de l'effet de serre affirment que cela résulte, cette fois-ci, de l'effet de serre provoqué par le CO2 résultant de l'industrie humaine. Ils proposent de limiter ou d'arrêter les émissions de ce gaz à effet de serre avec les conséquences que l'on imagine.Pour leur part, les opposants à la théorie de l'effet de serre affirment que l'homme n'y est pour rien et que le réchauffement provient de causes parfaitement naturelles (dont ils donnent une explication), que des phénomènes identiques se sont déjà produit plusieurs fois au cours des millénaires passés. Ils ajoutent que limiter la production de CO2 n'aura aucune conséquence positive sur le climat mais que celle-ci peut être négative en limitant la croissance des végétaux et en nuisant à l'environnement.
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    Sept bonnes raisons de douter de l'effet de serre anthropogénique
    1) Notre planète a connu des épisodes beaucoup plus riches en CO2 qu'à présent et la vie y était prospère...
    2) Durant les centaines de milliers d'années qui nous ont précédé, l'augmentation du taux de CO2 atmosphérique a toujours suivi (et non précédé) les augmentations de température. C'est le dégazage des océans provoqué par la hausse de la température qui a provoqué l'augmentation du CO2.
    3) Dans un passé récent, la terre a connu des épisodes plus chauds et plus froids que maintenant sans intervention humaine et du simple fait de la variabilité naturelle.
    4) Le recul des glaciers et la hausse du niveau des océans ont commencé bien avant et ne sont pas affectés par l'augmentation du taux de CO2 qui provient de l'utilisation des énergies fossiles par l'homme.
    5) La signature de l'effet de serre du CO2 ne se trouve pas dans l'atmosphère et ceci en contradiction avec tous les modèles !
    6) La loi en logarithme qui relie l'élévation de température au taux de CO2 existant dans l'atmosphère implique que tout ajout de CO2 supplémentaire par rapport à celui que nous connaissons aujourd'hui, ne peut induire qu'un très faible réchauffement supplémentaire.
    7) Et surtout, surtout, il existe un modèle beaucoup plus convaincant que celui de l'effet de serre anthropogénique, sans modèles d'ordinateurs, pour expliquer les variations de température : Celui de l'activité solaire !
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    Vrai ou Faux ?
    Le climat de la Terre a toujours varié: Vrai
    La variabilité est le propre du climat. Les éléments de stabilité n’y sont en fait induits qu’artificiellement par les chercheurs (sous forme de moyenne de référence par exemple). Durant l’essentiel des ères Secondaire et Tertiaire (soit 220 millions d’années), la Terre a été bien plus chaude qu’aujourd’hui. La période actuelle est dite interglaciaire, c’est-à-dire qu’il s’agit d’une période chaude entre les glaciations régulières de l’ère Quartenaire.
    Le climat actuel est exceptionnellement chaud: Faux
    Comme le démontre à nouveau le schéma ci-dessus, nous ne nous situons pas dans une période exceptionnellement chaude. Si l’on se concentre sur les 20.000 dernières années (schéma ci-dessous, source identique), le constat est le même. Les températures ont même connu dans les 10.000 dernières années des hausses plus importantes que celles constatées aujourd’hui. Les chercheurs débattent sur ce point, en fonction des techniques d’évaluation retenues pour connaître les températures passées. Mais les débats en question se jouent à des dixièmes de degré seulement. Ils ne remettent pas en cause le caractère normal des températures actuelles du globe à l’échelle des temps géologiques.
    Les gaz à effet de serre sont dangereux pour la planète: Faux
    Sans eux, la Terre serait invivable ! L’effet de serre désigne le piégeage par l’atmosphère du rayonnement infrarouge émis par la Terre. Sans l’effet de serre naturel de notre atmosphère, les températures moyennes de globe seraient de 30 °C inférieures à celles que nous connaissons et la vie ne pourrait exister, si même elle existait, que sous des formes bactériennes rudimentaires.
    Les gaz émis par les activités humaines occupent désormais une part prépondérante dans l’effet de serre: Faux
    Les gaz à effet de serre émis par les activités humaines (gaz carbonique, méthane, ozone, protoxyde d’azote, halocarbones) sont bien sûr en augmentation constante depuis la Révolution Industrielle et le boom démographique de l’humanité. Mais leurs effets cumulés comptent pour 3 W/m2, bien loin des 155 W/m2 dus à l’effet de serre naturel.
    Une diminution du CO2 atmosphérique pourrait elle aussi aboutir à des catastrophes: Vrai
    En l’état actuel de nos connaissances et des modèles informatiques, les chercheurs sont incapables de prévoir avec certitude les effets locaux d’une variation quelconque d’un élément du climat. Cela signifie qu’une baisse du CO2 pourrait aussi bien avoir des conséquences néfastes pour telle ou telle partie du monde. Par définition, l’imprévisibilité structurelle de la météo (et du climat local) se traduit par toutes sortes de catastrophes locales (sécheresses, innondations, cyclones, etc.). Les gaz à effet de serre ne sont pas l’alpha et l’oméga du climat sur Terre. Et l’idée que l’homme pourrait stabiliser un système aussi complexe par des décisions simples n’a guère de sens.
    Un réchauffement peut avoir des conséquences positives: Vrai
    Les experts du GIEC sont mandatés pour évaluer des risques et se concentrent logiquement sur ceux-ci. Mais un réchauffement de la planète n’aurait pas de que de conséquences négatives. Exemple parmi d’autres : les modèles annonçant une hausse simultanée des températures, des précipitations et du CO2 atmosphérique prévoient de facto un accroissement des zones fertiles, ce qui peut être une bonne nouvelle pour des populations déshéritées.
    La tempête de 1999 et la canicule de 2003 sont des effets du réchauffement climatique: Faux
    On ne peut pas rattacher un événement unique au réchauffement. Il faut une succession anormale de tels événements sur une période longue (plusieurs décennies) pour y voir la marque d’une modification durable des conditions climatiques. Et avant d’accuser le réchauffement, il faut vérifier que des mécanismes plus simples ou plus précis n’expliquent pas les phénomènes étudiés.
    Le Kilimandjaro fond depuis longtemps: Vrai
    Comme dans le cas des Alpes, le grand glacier tropical n’a pas attendu les récentes émissions de gaz à effet de serre pour amorcer son recul. Il avait déjà perdu 45% de la surface de ses glaces entre 1912 et 1953. Et il en a encore perdu 21% dans les années 1960 et 1970, malgré un refroidissement global constaté à l’époque.
    Le réchauffement met déjà un grand nombre d’espèces en péril: Faux
    Les trois principales menaces sur la biodiversité sont la surexploitation locale de ressources, la fragmentation de l’habitat naturel et la pollution. Les chercheurs ont identifié de nombreuses modifications dans le comportement des espèces liées au climat, comme par exemple la relative précocité du bourgeonnement ou des pontes, les changements d’aires ou les variations d’altitude de populations. Dans l’ensemble, ces variations sont de faible amplitude et constituent des adaptations prévisibles à des changements locaux. La vie procède en permanence par de telles adaptations : il serait anormal de ne pas constater des modifications dans le comportement des organismes et des espèces.
    Les modèles informatiques des climatologues ne sont pas fiables: Vrai
    Ces modèles sont des formes très rudimentaires du fonctionnement du climat, en particulier de la circulation océan-atmosphère, des échanges radiatifs et convectifs entre la surface et la tropopause (sommet de l'atmosphère). Pour que de tels modèles soient valides, au moins deux conditions sont nécessaires : que les mécanismes du climat soient biens simulés et que les données existantes (le passé) soient fiables. Aucune de ces conditions n’est remplie. A titre d’exemple, les modèles climatiques sont incapables de représenter précisément le cycle de la vapeur d’eau, qui est le principal gaz à effet de serre sur Terre (entre 60 et 80% de l’effet de serre) et la principale rétroaction attendue d'ici 2100. Et il existe de nombreux débats entre experts sur la fiabilité des données paléoclimatiques aussi bien que sur les données actuelles.
    Les prévisions actuelles des experts ont une marge d’erreur de 300%: Vrai
    La dernière fourchette en date proposée par le GIEC pour l’augmentation de la température au XXIe siècle se situe entre 1,4 et 5,8 °C, soit 300% d’incertitude. Le problème, c’est que ces experts sont explicitement mandatés pour évaluer les risques et conseiller les décideurs politiques. Des prévisions aussi floues ne remplissent pas vraiment leur rôle.
    Le GIEC est objectif et n’a pas de préjugé: Faux
    Plusieurs experts internationaux travaillant pour le GIEC dans des domaines très différents (réchauffement de l’atmosphère, validité des modèles, activité cyclonique) se sont plaint des parti-pris des auteurs principaux mandatés par cet organisme. Deux ont démissionné pour cette raison, considérant qu’il est impossible de réaliser un travail scientifique correct si l’on a déjà une idée préconçue du résultat de ses recherches.
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    Selon le GIEC ( Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) le réchauffement climatique serait du à l' activité humaine, à savoir : Les usines, les voitures, les camions, etc. rejetteraient des gaz à effet de serre qui augmentent les températures de l’atmosphère. Par contre ce qu' ils oublient c'est que ces réchauffements, selon plusieurs études, se produisent depuis ces 4.5 Milliards d' années passées... Certes les technologies d' aujourd' hui ont peut etre accentuées sensiblement la donne mais, par exemple, il parait important de souligner que les volcans à eux seuls représentent une des plus grandes source de gaz à effet de serre sur terre, dépassant largement le pourcentage de gaz émis par l' homme...

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Dans ce blog vous pouvez afficher vos points de vus sur la dégradation de l' environnement, vos impressions face a ce dechainement mediatique qui veut nous faire croire que nous sommes les grands mech...
Posted by on Sat, 23 Feb 2008 05:25:00 GMT