Est-ce que quelqu'un peut prendre ma place? jouer mon role quelques heures que je me repose - Un frisson desagreable remonte le long de mon corps - retour a la casse depart. On se rend compte des choses une fois qu'on les a ratees ou perdues. Faire semblant de sourire pour cacher des cicatrices imparfaites, se maquiller pour estomper les imperfections de la vie. Et puis se rendre compte qu' on est en train de tout rater. A toi qui feras l'autopsie de mon corps, quand tu souleveras ma chair avec ton scalpel - Fais gaffe aux mots graves..
Un silence, une larme. Peu importe ton role, ma vie n'est pas un jeu. Je ne suis qu'un mauvais reve, ne t'en fait pas bientot. J'ai l'ame a l'envers - etre - Juger – Vider - Les tripes en suspens - Mon coeur est statique - Regarder - Voir - Basculer - Mes pulsions s'animent - Croiser des gens sur une route que nous ne sommes pas prets a assumer - Detester - aimer – croire - On est tous les memes - Les gens passent leur temps a se plaindre - Et moi je les ecoute, je me dis qu'ainsi " je vais bien " -
La vie court dans les rues de Paris - vous ne faites que la croiser, vous croyez vivre? ce n'est qu'une illusion. Orgasmique- Elle n'a que ce mot a la bouche, l'ejaculation de ses tripes, de son ame. J'aimerais rentrer. ma main s'agrippe au premier venu. Un tresor. Il faut sauver ce qu'il reste de nous. RIEN. Je dessinerai a coups de cutter un coeur sur tes phalanges - Je t'attacherai aux barreaux des fenetres - J'irai graver mes initiales sur les parois de ton crane - Je suis mechante - ce n'est qu'une illusion - viens dans mes bras -
Chaque personne a ses principes, ses envies, son passer Il y a des gens d'ailleurs, d'autres pays, d'autres cultures, des gens qui ont fait des erreurs, des gens qui rentrent de leur grand bureau vue sur la tour Eiffel, des gens qui ne savent pas forcement pourquoi ils sont la... Ce qui ne savent pas pourquoi, qui se demandent... Vider, a bout de souffle, a fleur de peau. Ceux-la comprendront pourquoi mon regard est vide, pourquoi la place pres de la fenetre est la plus convoiter…La souffrance est la seule facon qu’a notre corps de dire " je souffre mais ca ira mieux bientot "; Si on ne souffre plus, c’est que notre corps se laisse mourir -
Des sensations ce cogne dans mon crane - fracasse la parois - Je ne suis plus la petite fille d'autrefois - J'ai grandi bien vite, peu etre - Mais je n'ai rien perdu de ce que j'ai vecu - Aujourd'hui je suis dans la mauvaise phase - J'aimerais vomir un arc-en-ciel - vous cracher au visage tout le bonheur qu'il y a en moi - Me vider entierement de couleurs - vous faire manger mes sourires - Mourir d'une crise cardiaque d'euphorie - je veux que l'on ce souvienne de moi comme sa - Je ne suis pas nee sous une bonne etoile – Je suis nee c’est tout – Est c’est deja pas mal – Je ne cherche plus a me defendre -
Il nous arrive parfois de rever. De vouloir des choses plus que d’autres. On devient egoiste et particulierement attentif a ces choses qui nous enivrent... Ces choses sont parfois de simples humains - Comme si tout autour de nous - En silence - Quelque part une ame un sourire figer - Au prochain virage - a la prochaine sortie, il faudra m'oublier - Ne regarde pas derriere toi, ne regrette pas. Faut-il reellement avoir recours a la drogue, pour y croire ?
C'est la perfection a l'etat pur - une espece de drogue dur - Un regard dans le vide que je jette au moindre passant. la passoire perd son ame - l'enfant grandie dans un champ de mine - la coupe est pleine, elle est verte et rouge on ce demande pourquoi. Mais pourquoi pas ? un pas de plus et tout bascule - Tu te pique sans le vouloir, l'aiguille. Sa depasse d'un yaourt au chocolat. T'es yeux pleure. Les immeubles a chaque coin de rues te rappel -
L'herbe verte que tu fume n'est pas la meme - Ton sourire est clouee au mur. Parce qu'un jour tu trouvera. Prendre un bain, ce noyer dans la mousse. Le mauvais temps enpeche parfois de rever. La cuillere dans mon cafe froid. La pendule affiche 05H22.
J'aimerais arracher de mon coeur toutes ces maladresses, toutes ces douleurs FUTILES.
Le bonheur la summerge, elle ce noit dans son propre monde - L'insomnie de son ame. J'aimerais partir nul part.
Au coin de tes levres, les mots s'animes doucement -
Je n'ecoute plus les larmes le long de mes joues.
Je me blottie au creux de ta nuque, je pourrais m'enfuir, mais je prefere rester. Peu importe.
Crois tu que les larmes un jour cesserons de couler.
Que le bonheur me fera oublier. Un seul etre, une seul soiree. Au bout du chemin, je n'espere plus qu'un bonheur immense, loin de tout.
Ma capuche. M'étouffe. Le livre rouge depasse de mon manteau -
Il faut parfois construire son avenir autour d'une contrainte, ne pas s'empecher de vivre. Je degage une odeur, un parfum, un gout...
Je m'aflige ma propre existance. Je determine.
Le telephone sonne, je ne repond pas. Mes levres me pique.
J'ai toujours cette meme sensations, cette meme impressions.
Mon cols-rouler et trop serrer je ne sens plus mon cou, ma clavicule craque.
dois je encore chercher la traduction de ma vie ? La raison.
Je lance les dés double visions inanimés le miroir briser –
Ne regarde pas le tapis qui illumine la scene encore macabre de nos corps mis a nue –
Je regrette cette vision legerement global de tes sens en exposition fragile.
Tu te rend compte que le trottoir encore froid d’un bitume a peine achevee pourrais devenir ton terrains de jeux.
Le monde cris au desespoir futile de nos vie jouer a pile ou face -
Les gens marche chaque jour sur des centaines d’ame morte enterrer sous leur pieds.
Le ciel est une pale copie du paradis que les gens s’imagine tous bien different.
S’écrire des mots pour mieux en comprendre la définition.
Je suis seulement le reflet de ce que mon ame veux bien montrer de moi –
ce drogué pour vider nos cranes par peur de devoir assumer nos propre vie.
L’instinct d’un bonheur futile ce gagne, tous est mis a prix, suffit juste de savoir jouer a un drole de jeux qui s’appel « la vie »
Croire en la vie, en l'amour, en toutes ces belles choses que l'on ma promis enfant.
Avoir des reves chaque jours plus fou, c'est rester gosse.
J'aimerais inventer une vie parfaite. Avec des couleurs partout, aux endroits ou on si attend le moins_ Traumatiser a en fermer les yeux, a n'en croire que ce que je vois.
Aujourd'hui a chaque chute je me releve, pourquoi on fait du mal a ce qu'on aime ?
Un texte peu structurer, mais pourquoi etre senser ? La vie l'est t'elle, elle ?
Tant de chose a dire, avec si peu de mot...
L'expression de la vie est differente selon les regards...
Les cheveux attaches, je reste muette, un frisson emporte tout mon corps.
Le temps passe ?
Trop vite .. Pas assez..
Chaque personne a sa vision du monde, des gens, du temps..
Pour moi le monde est illusion l'espoir nous protege du desespoir..
Les gens sont souvent sincere, trop souvent faux..
Quant au temps il est incertain, chaque personne peut vivre ou mourir a tout instant, personne n'as su est ne sauras je l'espere jamais le controler..
Le temps est un mystere, un reve pour beaucoup..
Qui n'a pas dit un jour « je voudrais plus de temps ! » , « j'ai plus le temps...» « je perd mon temps ...» ??!
Le temps est present partout « tout le temps...»
N'oublier jamais que sans lui beaucoup de chose ne serais plus..J'admire le temps..
Courir le risque de mourir de haine, courir le risque d'etre differente a chaque faux pas.
Courir.
Ne jamais s'arreter, ne jamais plus etre pardonner, etre detester.
Souffrir sans souffrances.
Quel que soit le message de ce texte, il est inutile de le lire.
Des mots qui sorte de je ne sais ou, la bas ?
La bas mais ou ? Ou est ce lieu qui m'emporte me fait ecrire me fait vivre...
Question sur question reponse sur reponse le texte ce forme sans trop de sens logique.
Des problemes plein la tete, plein les yeux.
Hematomes douloureux. Triste vie inachevee.
Ivre de sensation je suis la a regarder autour de moi, a l'affut du moindre petit signe de sa part.
Je cherche les souvenirs les regards, les gens, les sourires.
Plus rien autour de moi ne me parait coherent et pourtant tout est si « parfait » [comme ils disent].
Courir car la vie n'est qu'une course, une course folle,
Folle de virage insenser de stop et sens interdit.
J'en ai marre,
je vais m'abandonner sur le bitume un peu froid.
Perdre conscience y perdre tout moyen de survie !
Oublier d'ou je vient perdre mon chemin le sens du code de la route..
Il sont la je l'ai entend -
Il est temps de s'eteindre.
Allumer une derniere fois la lumiere, regarder par la fenetre.
Ouvrir les yeux est prendre conscience de tout les cons qui on croiser notre chemin, qui on fait notre vie plus drole, plus triste.
Parce qu'on a tous les memes sentiments, les memes envies au fond.
On regarde vers l'avenir sans savoir ce qu'on aimerait y voir, on croise les doigts pour que tout soit parfait..
Mais rien ne l'est.
Ce monde n'est pas le mien, rien de tout sa ne m'appartient, trop de chose que j'aurais fait autrement.
Parce que chaque matin une personne sur terre ce demande pourquoi elle ?
Un jour nous aurons nos reponses, peut être..
Je cris, je pleure, je hurle, je me meurt.
Pire que la mort existe la souffrance.
Une douleur pas comme les autres, une douleur qui porte au cœur.
Mon coeur est lourd de douleur.
La souffrance n'est pas banale, Parfois inexcusable.
On la recents parfois comme une trahison, un abandon.
Souffrance solitaire.
Disparaitre, ce fondre dans la masse du monde...
Grandir, c'est souffrir, puis mourir.
On vie, on meurt, est personne ne se revolte jamais.
On pleure on est triste mais jamais revolter. . .
Va y tire la chasse meuf, n'est pas peur je vais pas m'envoler.
Creve petite salope t'es yeux ne font que pleurer.
L'eau de la cuvette deborde. Passe un bon coup de serpillere -
Lave ta vie a coup de javel - Ne melange pas les produits.
L'effet secondaires pourrait etre terrible -
Va y gerbe meuf, Sali ta vie encore plus qu'elle ne les deja.
Tu ferais mieux de tire la chasse, ta pas 36 solutions.
Idiote. Tu va finir -
Ta marche mecanique qui traverse la ville sans destination -
Ton regard vague en dit long, ou va tu ainsi - Tu te perd dans chaque rue que tu enpreinte.
Tu ne sais plus. Tu ne veux plus - Tu n'y crois plus - Tu devient dingue -
Le feu rouge du trottoir d'en face clignotte - La pluie coule le long de la fenetre.
Les barreaux de ta prison ne sont qu'une mauvaise illusion.
Tu traverse la rue, tu sort un paquet de light de ta poche - quel grande classe.
Tu la fume sous la pluie, machinalement - Aucune sensation ne s'en degage -
Ton visage est recouvert de degout - Le passage pieton est encore loin. Tu traverse a nouveau.
Une voiture te frolle. En est tu consciente. Tu est dingue -
Tu jette le megot en soufflant ta derniere bouffer - Le bus passe -
Tu entre dans le cafe - Tu t'assoie et renonce a regarder ta montre -
Il est l'heure. De toute façon, tu en est consciente -
La vie cour a grand pas dans les rue de Paris_
vous ne fesais que la croiser, vous croyez vivre ? ce n'est qu'une illusion.
Orgasmique-
Elle n'as que ce mots a la bouche, l'ejaculation de ces tripes, de son ame.
J'aimerais rentree. Ou ?
ma main s'agripe au premier venu. Un tresor.
Il faut sauver ce qu'il reste de nous. RIEN.
Il marche imobile dans la rue, ce croise sans meme echanger un regard -
Communication. Paye ton sourire mec.
Le train passe a toute vitesse, efleure les corps des ames tristement vagabonde.
Chaire de poule.
Mon crane a toute vitesse crache sur le moindre des passants.
Sans cervelle. Elle crois. DEUX.
Il fait froid chez lui. Chauffage. Hiver. Glaciale.
Sa peau annonce sa puberter. PUberter.
Il devient l'homme. Celui que tout le monde reve d'etre.
Tu reve de b**ser brat pitt ? Pas MOI.
Je b**se ta mere a coup de ciseau. Larme.
Je manque d'elle. De lui.
Il cour sur mon pallier sans jamais. point.
La musique ce declenche, plus rien ne m'atteint.
Silence sa tourne
EAK -
Les heures cour le long des plaintes du bureau froid_
La pendule comme bruit de fond, l’ame en suspend a chaque secondes.
Je n’ai plus le cœur a la bonne place, il pourrait meme s’arreter, je crois’
On calcul souvent, trouvant des resultats qui ne nous mene a rien_
On a peur de quitter les gens qu’on aime, de ce retrouver seul, d’aimer encore - de vivre toujours.
Les minutes glisse le long des baies vitrer_ Aquarium_
QI de poisson rouge amnesique.
Le temps ne s’echappe.
Tu pourrais briller encore, etrangement infidele.
Ne craint pas l’orgasme de l’oublie, il mettra du temps a venir, jouie de cette chance_
Recommencer – retour – casse depart – repartir
Le bureau planter fraichement au centre de la piece.
Le soleil tape sur la cour, ou les enfants s’amuse d’une façon etrange_
Regarder les passants vivre, etre la sans savoir pourquoi… .
Un mur ce hisse devant moi, me separent du reste du monde_
L’heure de me debarasser des poubelles est venu, je vais quitter mon poste, mal occuper.
Au regard des gens mal propre, je suis l’intrus_ l’etrangere d’un monde qui semble leur appartenir_
Il y a une ouverture sur le monde assez delicate- pleine de tendres attentions auquel je ne m'attacherais meme pas_ Pas de confidence entre nous, de simple echange d'orgasmes involontaires, mon cher_ Le temps pourrais bien tirer un trait sur cette liaison etrange qui relis le monde a cette pute encore habiller. T'es larmes ne coule pas de compassion mais de degout - Crache a la gueule du premier temoin encore aveugle. Ouvre lui les yeux, mouille le de honte d'etre face a toi, l'innocent n'est jamais a la bonne place- Tu porte en toi un sentiment inconnu du grand public, a tu honte d'etre la pute a dieu ?
Je m'attaque a gros, mais en etes vous conscient, qui c'est encore lire entre mes lignes.. ..
Peu importe l'importance de ce texte et de ces mots je ne suis plus la meme aujourd'hui, j'ai tourner mon regard vers une vie bien meilleur et a la difference de votre regard je n'ai pas un avenir certain _
Il y a la pute du coin 37 - son regard eteint ne vous choque pas est pourtant. Tu craint ta mere est c'est caprice d'ado en manque de jeunesse, mais ouvre grand t'es oreille est ecoute la vie te glisser entre les jambes_ Tu ecarte a l'encontre du premier passant ta pauvre virginiter ne pourrais meme plus en etre Sali_ tu n'est plus une enfant. Tu perd t'es sens petit a petit sans t'en rendre compte tu devient le reflet d'une ame a vide.. . .
Tu t'eteint au regard du vieille ivrogne qui ne pense plus a toi -
Il y a une certaine decadence une romance qui sans fin ne parviendras pas a son but final_
Mes veines decoulent d’un sentiment criminel, mais je ne parvient pas a m’ouvrir au monde exterieur_ Je prefererais mourir en solitaire.
Les parois de mon crane avide de toute cruaute, décline toute responsabilite suite a cette nouvelle idee_
Les boucles de mes oreilles cogne a chaque pas, je ferais mieux de courir afin de suivre le rythme qui mes imposer_
Le temps nous a rendu etrangement fusionnel… .
Je ne suppose pas que le temps y soit pour grand-chose.
On y crois souvent, on croise des gens aux sourires etrangement perverti, leur envies depassent notre raison,
Je pourrais des milliards de fois encore vous ecrire les memes phrase esperant d’une façon insoumise que vous y comprendrais quelque chose, mais peu importe je n’en n’ai plus la moindre force_
Je ne regrette aucun de mes actes, je voudrais simplement parfois recroiser ton regard qui me rendais si fiere , si delicate..
Ce croire viser a chaque phrase, penser innocemment que vous pourriez etre le centre meme de ce texte –
Vous n’etes que les pions d’un jeux qui ne m’amuse plus, tout cela ne vous regarde pas _
Le cœur ailleurs. Les yeux fermer. . 3 . . 0 .. .
Une insomnie nucléaire. Ne te retourne pas, je ne suis plus la,
Tu a perdu, tu na pas compris mes règles du jeu. Quel jeu ?
Peu importe ton choix je ne l'accepterais pas.
Ne pleure pas tu est « forte » comme ils disent.
Ne craint pas de souffrir, ne craint pas d'en souffrir, ne craint plus.
Je suis la a présent, regarde moi. Ou pas. Mais ne te retourne pas.
Ils y a des gens qui te regarde n'est pas honte tu est une personne « normale »
Ton corps est un chef-d'Å“uvre. Je suis une artiste.
Je ne joue pas.
Je suis un drôle de personnage. Il me voit forte, mais si il savais.
Je suis dans un bateau. Perdu. Nom de code 703 – 309.
Médée. Médée.
Je ne me retourne pas, est tu la ? Je n'ai plus peur.
Je vois des faisceaux lumineux. Ou suis je ? Cette odeur colle a ma peau.
Ce sont t'es gènes tu n'y peu rien.
Regarde-toi, ton air cadavérique te rend célèbre.
Tu es misérablement l'objet de tous les désirs. Ton corps est un jouer.
Ton esprit est atteint, ne porte pas plainte tu n'avais qu'a pas être-la.
Tu sens l'odeur macabre de ces genoux qui claque sur un air de jazz. Vomi.
Ouvre-lui les yeux a coup de couteau suisse.
Ce n'est pas de ta faute, ce sont t'es gènes. ?
Il n'y a pas d'indices, maquille l'enfant prodige encore trop jeune pour pissé du sang.
Tu crois aux miracles ? Foutaises.
Je suis un bonhomme, de ceux que les publicitaires appel " commercial - vendeur "
Rassure toi tu n'es pas une pu**. Tu es un luxe. Tu es prodigieuse.
Ta mère a accouché dans les toilette d'un hôtel miteux dans quelle ville déjà ?
Tu a cet air de " je ne suis pas coupable " qui semble excité les passants.
N'ai crainte il ne pourras plus te regarder en face.
Des milliards de mots pourrais traverser mon cœur a cette instant, pour venir ce déposer ici ou la dans l'attente de croiser ton regard encore une fois... effleuré ton âme et toucher ton cœur.
Je n'est pas spécialement de chose a dire, je doit " garder " sa pour moi.
Je suis juste maladroitement en manque d'oxygène.
Toi seul pourra comprendre, car toi seul est le destinataire.Je ne crains rien tant que tu habite mon âme.
Mais j'ai peur que d'un coup d'un seul tu décide de reprendre le volant, égoïstement je refuse de te laisser la, au bord de la route....
Je suis coincer entre deux lignes.