YELEMBA

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PRESSE

« La jubilation, la catharsis et la frénésie physique provoquées par des rythmes d’un autre monde rendent tout leur mouvement à la percussion. Grâce à des instruments très sonores, un groupe de danseurs et chanteurs électrisants et des costumes traditionnels hauts en couleurs, le feu gagne la salle, qui prend en pleine figure une virtuosité et une vitalité venues du fond des âges. » La Tribune de Genève (Suisse) - 15 novembre 2002« Sous un ruissellement de sueurs chaudes, les djembés, doundoums, balafons et rao sont domptés sans artifices par leurs compagnons. En même temps la danse est incessante. Une danse des masques ajoute au mysticisme et aux croyances de l’Afrique. Explosif, torride, essentiel. » Ouest France - 4 novembre 2002« Ce samedi restera dans les annales du Festival Africajarc. Yelemba a proposé une démonstration époustouflante des rites africains. Une rampe de lancement idéale pour la star tant attendue Youssou N’Dour. Yelemba a allumé le feu de la soirée. Les rythmes percussifs et les danses traditionnelles ont impressionné le public. » La Semaine du Lot - Août 2002« Yelemba : Voyage au-delà des Frontières. Un spectacle émouvant. Grandiose ! C’est le mot qui définit la prestation de la troupe, vendredi soir au théâtre de Bressuire. Les danses, chants, percussions, jeux de masques inspirés du folklore traditionnel et modernisés par la troupe Yelemba. » La Nouvelle République - 13 novembre 2001« Un spectacle envoûtant mené tambour battant !.Yelemba a entraîné les spectateurs jusqu’aux sources lointaines de la musique. Lionel Hampton et Art Blakey ont dû posséder les mêmes gênes. » Ouest France – 1er novembre 2001« Une vraie fête à l’africaine où le plaisir des yeux s’allie à la frénésie d’une rhétorique tambourinée assurée avec maestria par les meilleurs batteurs de la Côte Ouest africaine. » Journées Théâtrales de Carthage 2001 - Tunis (Tunisie)« Difficile de faire plus fort dans le genre. Fort dans tous les sens du terme. On est d’abord saisis par cette énergie surgie des profondeurs, qui vous prend à la gorge, aux tripes et au c--ur pour ne plus vous lâcher un millième de seconde. Il y a de la sincérité aussi dans leur propos. Invitation généreuse à plonger au c--ur d’une Afrique intime, bercée de ses fièvres secrètes. Joie de vivre et beauté du partage. On a rarement vu sourires plus rayonnants que ceux-là. Les Yelemba sont des passeurs de joie. » Ouest France - 20 mai 2001« Yelemba, ça fait vraiment boum au c--ur et chaud au corps. » Journal du MASA - Abidjan (Côte d’Ivoire) - 7 mars 2001« Djembé en tête, la troupe Yelemba pratique musique et danse traditionnelles avec fougue, énergie et moults acrobaties. Ce disque, agréable, puissant, est sans surprise dans le bons sens du terme. Ça déménage bien et le livret est très détaillé. » - CD "Hommage" (Buda Records) Trad Magazine - janvier 2001« Son Chef batteur Harouna Dembélé est un animateur hors pair, un percussionniste aux enchaînements sourds et entraînants. A partir de ses appels lancinants, ses complices s’installent vite dans la ronde polyrythmique amadouée par les ch--urs sublimes et les rares apparitions de cordes. » - CD "Hommage" (Buda Records) Vibrations - 29 novembre 2000« La complicité avec le public est instantanée et quand la performance touche à sa fin, tout le monde en redemande. » Le Télégramme - 6 juillet 2000« Le rythme à fleur de peaux. Vibrant voyage au rythme des djembés et des balafons plongeant la salle Poirel de Nancy au c--ur de l’Afrique. Comme entrés en transe, les danseurs touchent à peine le sol. Envoûtants. Le dépaysement est total » L’est Républicain - 24 juin 2000« With electrifying rhythms Yelemba set off the Mandingo night on Saturday. » Africa Festival - Würzburg (Allemagne) - Mai 2000« Yelemba envoûte le Château. Les Yelemba ont imprimé une cadence folle dans l’enceinte du château pendant près de deux heures. Leur rythme endiablé n’a pas laissé de marbre les sept cent novices venus en curieux. » Ouest France - Juillet 1998« Epoustouflant. Des acrobaties chorégraphiques éblouissantes. Infatigables et débordants d’une énergie communicative » Ouest France - 28 mai 1997« L’envoûtement est total. Pour un soir, dans une salle comble, le public s’est senti transporté sur un autre continent. Rythme infernal, couleurs de feu, Yelemba a dévoilé la tradition ivoirienne, ses danses, ses chants, ses percussions, ses masques et ses costumes, ses acrobaties et surtout son incroyable vitalité. Mais comment ne pas être médusé par tant d’adresse, de rythme et de fiçvre communicative ? » Le Dauphiné Libéré - 22 juin 1997« Pendant plus d’une heure et demie le public put ainsi savourer, sans savoir ou donner de la tête, la chaleur du volcan africain. » L’Eclair - 9 avril 1996« Depuis dix ans, le Festival d’Eté de Nantes explore les musiques du monde venus des quatre cinq continents.../ Ce sont sans doute les nombreuses prestations du groupe Yelemba qui marquèrent cette édition. Yelemba redonne une image vivante et accessible des traditions ivoiriennes. A suivre… » Batteur Magazine - Septembre 1995« La Saga Africa du groupe Yelemba. La troupe enthousiasme le public du Jardin de Verre. Des chants, des danses et des masques : l’Afrique magique. Avec une fougue communicative, les Yelemba enchaînent sans souffler les chants de joie et de souffrances, les hymnes des jours des récoltes et des cérémonies d’initiation… » Ouest France - 9 juillet 1995
Influences:
Record Label: unsigned
Type of Label: Indie