Il est bon de préciser qu'habitant le Grand Nord, à Saint-Lô, le TEASPOON (qui signifie en langue Esquimau : "tea" = petit homme, "spoon" = venu du froid) est peu habitué à la lumiére du jour.
Les conditions climatiques sont extrêmes à cette période de l'année, et le Teaspoon, et non pas "Taspoon" (vieux dicton esquimau = "un bon verre de Tek à l'eau c'est bon pour le dos") s'affaire à ses tâches quotidiennes.
Il chasse l'ours, pêche le hareng, et joue aux billes quand il a le temps. Il est clair qu'il a peu de temps a consacrer a ses activités extra-professionnelles.
D'ailleurs, c'est au cours d'un long périple en scooter des neiges à travers la banquise, que Teaspoon fait la connaissance d'un grand gaillard venu d'ecosse, Peter Murray du label Murrayfield music ( dolly, silmarils...)
Ensemble, aprés un bon souper, ils prirent une sage décison = ils avaient besoin de bonnes vacances quelque part au soleil. Ils s'accordérent sur la destination et pliérent bagages aprés la fonte des neiges. Au soleil les attendait Andy Wright, le meilleur producteur du Grand nord (massive attack, saint etienne...)
A biarritz, ils s'illustrérent dans différents championnats de saut de moutons, et remportérent tous les trophées. Ils n'avaient aucun mérite, puisqu'au Grand Nord, ils avaient l'habitude de s'entrainer sur des rênes.
Mais cela n'était pas leur plus grande satisafaction. De leur voyage au soleil, ils rappotérent la "french pop bonne humeur". Mélangeant électronique et guitares pop (ils ne connaissaient que le ukulélé), teapsoon avait su canaliser des influences bien digérees (beach boys, devo, blur), solidement porté par un étonnant esprit de bricolage. De retour au Grand Nord, les teaspoon savent désormais que tous les regards se porteront sur eux.
