In da Lodge, né d’une rencontre entre deux mondes musicaux opposés, réunit des styles et des sensibilités variés. Fred, auteur-compositeur et interprète, à la base seul devant son piano, se voit se faire tailler un costume « électro pop expérimental » par Alex. Ils créent ensemble une ambiance nostalgique des années 70, flirtant avec le trip hop, le down tempo et la pure chanson française.
Ils assument leur approche sombre, des paroles souvent engagées, parfois plus légères. Il ne s’agit pas d’une recherche d’un certain bonheur ou d’un idéal mécanique, mais plutôt d’un apaisement dans "le monde idéel". Exprimer nos souffrances et nos rituels affectifs, dévoiler l’agression souterraine d’une société qui détruit toute forme de résistance, défigurer les jeux de mots politiques qui s’en amusent et enfin, dessiner "nos amours décrochés".
Il fallait poser des mots sur "nos vies rangées dans des machines", "nos habitudes de consommation", "la confusion de nos liaisons solitaires"… Rien n’est grave, tout est poétique.