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DJ PPET

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Background from Google search result......................... DJ PPET influencé très jeune dans son ile natale la Martinique il devient DJ très tot ,en 1989 il monte sur la banlieu de Paris(95) et anime de nombreuses soirées hip hop et soirées affro-zouk;....................par la suite il a joué dans de nombreux clubs pour en citer quelques uns: Le Tabou discothèque (soirées Sound System),le milles pattes,le midnight, le triangle,le niagara,le duplex etc.........................DJ PPET a créé son premier label" Hoof da Hook prod" et fait de nombreuses mixtapes avec Bertrand Arrondel sur lesquelles ont posé Oxmo Puccino, Fatcap, Diable Rouge, la Légion, DM krooz, Den fl1gue , Balenda et tant d'autres...................................................S pécialiste en vinyls vous l'avez peut etre rencontré à Sound Record à Chatelet les Halles.........................Il a aussi animé jusqu'en Tunisie et en Grèce ,Marseille.................. 2006 il a créé le label" PLEASE RECORDZ ",il prend des artistes dont Keysha,DAD ,CELIS ,FREEDOM ,AIRON, ALBI WILLIAMS ..................
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DJ PEPETTE
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Sir Samuel
envoyé par GZEUSGYC
Bikini 28.02.07 part.1
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Member Since: 12/01/2008
Band Website: [email protected]
Band Members: REMIXXXX BY DJ PPET..
Get your own playlist at snapdrive.net!merci a ceux qui sont venu le 05/04 a l'eglise ca a fait chaud et bless a ceux qui y ont penséR.I.P


Influences: DJ CASH MONEY . ERIC B & RAKIM , Jazzy Jeff & The Fresh Prince, ROXANNE SHANTE,DJ PREMIER, DJ QBERT & many more
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pour tous les black et les metissesLa Drépanocytose : une maladie génétique du sang ©RFO maladie mal connue La drépanocytose est une maladie génétique du sang dont plus de 50 millions de personnes sont atteintes dans le monde. Incurable et mortelle, elle touche en majorité les populations noires. Lumière sur une maladie qui, malgré ses ravages, reste peu connue du grand public. par Timothy Mirthil Fréquente et grave, la drépanocytose est aussi héréditaire. Elle est contenue dans les gènes de l'hémoglobine qui servent au transport de l'oxygène et du gaz carbonique dans le sang. Or, le sang de chaque individu comprend de nombreuses hémoglobines anormales. Une seule d'entre elles caractérise la drépanocytose : elle est appelée hémoglobine S.Le gêne responsable Les hémoglobines normales sont désignées par la lettre A donc, un individu qui a les deux est considéré comme AS, il n'est pas malade mais porteur sain. Seuls ceux qui ont les deux hémoglobines anormales, c'est à dire SS, sont drépanocytaires.Par conséquent, des parents non atteints par la maladie mais porteurs d'une hémoglobine S, peuvent mettre au monde des enfants malades. Trois symptômes caractéristiques de cette anomalie sanguine peuvent apparaître dès le quatrième mois chez l'enfant. Les globules rouges se détruisent trop vite, entraînant un manque d'oxygénation du sang et donc une anémie chronique.le blocage des globules rouges Les globules rouges perdent leur faculté à se déformer et restent bloquées dans les petites artères, provoquant des douleurs très vives. Le blanc des yeux devient jaune et la rate gonfle. La mauvaise irrigation du sang qu'entraîne cette maladie donne une sensation d'écrasement très pénible et rend le corps moins résistant à certaines infections.La drépanocytose est aussi à l'origine de complications oculaires, d'accidents cérébraux ou pulmonaires, d'ulcères de jambes, de complications articulaires et d'insuffisances rénales.On ne guérit pas de la drépanocytose et il n'est pas possible de prévenir les crises. En revanche, éviter les refroidissements brutaux du corps, les fièvres, les efforts excessifs et encourager une bonne hydratation permet de les limiter.Une maladie invisible Une maladie qui se développe avec le paludisme 50 millions de personnes dans le monde sont atteintes de drépanocytose chaque année et 300 000 enfants naissent avec cette anomalie génétique. La plupart sont Africains mais également Brésiliens, Afro-américains, Indiens et Méditerranéens. Si les noirs sont plus facilement drépanocytaires, c'est parce que la drépanocytose s'est développée là où le paludisme sévit le plus, soit en Inde et en Afrique.Les chercheurs ont remarqué que les individus porteurs de gènes normaux AA mourraient davantage du paludisme que les porteurs de la mutation AS. Au fil des générations, les porteurs des gènes AS ont transmis à leur descendance cette faculté de protection face au paludisme. Ainsi, la mutation hémoglobine S, à l'origine de la maladie de la drépanocytose, est apparue tout en offrant une relative protection face au paludisme.L'Afrique centrale particulièrement touchée Aujourd'hui, 25% des Africains auraient le gène AS, donc seraient porteurs sains de la drépanocytose et susceptibles de la transmettre à leurs enfants. C'est en Afrique centrale que la maladie cause le plus de ravage : environ 100 000 enfants y meurent chaque année des suites d'infections non traitées, soit la moitié des nouveaux-nés atteints.Un traitement hors de prix Dans les cas où la maladie est identifiée dès la naissance, son traitement reste souvent inaccessible aux patients africains. 70 euros : c'est le prix de base à payer pour effectuer les premiers examens de dépistage.A cela s'ajoute, pour le malade qui veut soulager sa douleur, l'obligation de boire trois litres d'eau par jour. Une exigence impossible à tenir pour des populations qui n'ont que difficilement, voire pas du tout, accès à l'eau potable. Pour certains malades, des traitements à la morphine soulagent les souffrances pour un temps mais cela reste rare et cher.Une maladie mal connue A ces difficultés physiques, s'ajoute un manque de reconnaissance des pouvoirs publics des pays africains doublé du rejet d'une maladie invisible. "Elle est perçue comme une malédiction, une sorcellerie", déplore Jenny Hippocrate-Fixy, présidente de l'Association Pour l'Information et la Prévention de la Drépanocytose.C'est donc sur le continent où cette maladie est la plus répandue qu'elle est la moins connue. "Ce qui affecte le sang est tabou en Afrique car il s'agit de la vie, de la mort, de la maternité", poursuit Jenny Hippocrate-Fixy. Pourtant, dans certains pays du continent africain, environ 40 % de la population serait affectée par le gène drépanocytaire sans nécessairement être malade ou même le savoir.Prévention et action En France hexagonale, il semble que la maladie soit apparue au cours des années soixante, durant les grandes vagues d'immigrations africaine et antillaise. Grâce à un diagnostique prénatale, systématique depuis 1984 en Outre-mer, la drépanocytose est dépistée chaque année chez 200 enfants métropolitains et 70 ultramarins.Aujourd'hui, on compte environ 5000 malades dans l'Hexagone pour 2000 à la Martinique et 1500 à la Guadeloupe, soit 1 nouveau-né sur 260 aux Antilles-Guyane.Prévenir et soigner Ce dépistage permet aux médecins de prévenir d'éventuelles complications liées aux infections. A la Réunion, on estime à 185 le nombre de grossesses à risque par an. Actuellement, la prévention en France porte ses fruits. Il y a une trentaine d'années, les malades atteignaient rarement l'âge adulte. Désormais, la plupart vivent jusqu'à soixante ans.Aux douleurs physiques, s'ajoute une souffrance psychologique intense. Les crises à répétition peuvent surgir à tout moment constituant un véritable « handicap social » selon les mots de Jenny Hippocrate-Fixy.A l'adolescence, les Antillais ou Réunionnais atteints, rencontrent souvent des difficultés de croissance, des problèmes d'yeux et d'ulcères, en plus des douleurs quotidiennes qui les obligent à subir de longues hospitalisations et perturbent leur scolarité.Pour permettre un soutien thérapeutique, à la fois physique et psychologique, des dispositifs spéciaux existent au sein des hôpitaux publics.La maladie en Outre-mer Les départements d'Outre-mer tentent ainsi, avec l'aide des associations spécialisées, d'informer les populations concernées, de soutenir et de conseiller les familles.La prévention permet aux malades de répondre à des règles d'hygiène de vie pour éviter les crises trop douloureuses et les infections. Il leur est recommandé de mettre à jour leur vaccination, d'éviter la fatigue, de ne consommer ni alcool, ni tabac, d'éviter l'altitude et de s'hydrater au maximum. Dans le cas de crises graves, le personnel médical peut avoir recours aux transfusions sanguines.La greffe de moelle pour guérir Actuellement, certains médecins, comme le docteur Françoise Bernardin, préconisent la greffe de la moelle pour les formes très sévères de la drépanocytose, notamment pour les patients exposés, entre autres, aux risques d'accidents vasculaires cérébraux. Unique démarche permettant d'espérer sa guérison complète.Pour l'heure, les professionnels semblent se mobiliser et fédérer leurs efforts pour lutter contre cette maladie génétique. Au cours du mois de novembre 2004, le Réseau francophone de Lutte contre la Drépanocytose (RFLD) a organisé la première campagne internationale de sensibilisation : le DREPADON 2004.Une première étape qui permet d'organiser les Etats généraux de la drépanocytose en 2005 à Brazzaville et un Congrès international à Dakar en 2006. Autant de rendez-vous qui invitent les spécialistes à dégager des solutions concrètes et volontaires, notamment pour l'Afrique, qui meurt chaque jour un peu plus de cette affection.Principaux centres de soins et associations de lutte contre la drépanocytoseAssociation Pour l'Information et la Prévention de la DrépanocytoseDrépavie association de lutte contre la drépanocytoseAssociation Réunionnaise de Dépistage et de Prévention des Handicaps de l'Enfant , à l'Ancien Hôpital Félix Guyon, Rue Gilbert des Molières, 97405 SAINT DENIS CxAssociation régionale de Guyane (AGDPHE), au Centre Hospitalier Général de Cayenne Service de Pédiatrie 97305 CAYENNEAssociation Guadeloupéenne de Dépistage et de Prévention des Handicaps de l'Enfant , au CHU Pointe à Pitre Service de Pédiatrie B BP 465 97159 POINTE A PITRE GUADELOUPELa drépanocytose tue mais passe inaperçue. Cette maladie génétique, et donc héréditaire, est l'hémoglobinopathie [1] la plus fréquente dans le monde. 50 millions de personnes en sont atteintes. C'est en Afrique centrale que les drépanocytaires sont les plus nombreux. Une personne sur trois serait atteinte. En République Démocratique du Congo, par exemple, 40% des habitants sont malades [2]. Mais la drépanocytose reste encore largement méconnue et désarme nombre de médecins.a la memoire de dj PPET
Record Label: pleaserecordz
Type of Label: Indie

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Posted by on Mon, 02 Mar 2009 01:31:00 GMT

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Posted by on Mon, 02 Mar 2009 01:31:00 GMT

Sickle Cell Commercial

http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.... my name is dj ppet and i died the 31march 2007 i was 35 years old the sickle cell killing me ,it's a genetic cell who's touch black peo...
Posted by on Mon, 06 Oct 2008 06:39:00 GMT

Découvre cet événement: POUR LES UN AN DE LA DIPARITION DE DJ PPET

Hosted By: HOMMAGE A DJ PPET When: 05 avr. 2008, 18:00Where: EGLISE DES LOUVRAISPONTOISE, Ile-de-France|147 FranceDescription:HOMMAGE A DJ PPET Click Here To View Event
Posted by on Sat, 15 Mar 2008 08:58:00 GMT

she’s killing al ot of black people

in englishfor all black & metis Anemia, Sickle Cell disease Sickle-cell disease is inherited. People at risk for inheriting the gene for sickle cell are descended from people who are or were nativ...
Posted by on Sat, 01 Mar 2008 08:24:00 GMT

Anemia, Sickle Cell disease

Sickle-cell disease is inherited. People at risk for inheriting the gene for sickle cell are descended from people who are or were natives of Africa and parts of India and the Mediterranean. The sick...
Posted by on Sat, 01 Mar 2008 07:50:00 GMT

elle touche principalement les populations noires

Même si elle demeure peu connue, la drépanocytose est l'une des maladies génétiques les plus fréquentes au monde. Elle touche principalement les populations Noires. A ce jour, on ne sait pas encore la...
Posted by on Sat, 01 Mar 2008 07:33:00 GMT

R.I.P

eDJ PPET NOUS A QUITTE LE 31/MARS/2007 UN VIRTUOSE DU MIX  . AMOUREUX DE LA MUSIQUE TU NOUS MANQUERAS TOUJOURS e ............................................................ .........................
Posted by on Fri, 29 Feb 2008 10:08:00 GMT