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Nicolas Bacri

About Me

Grand Prix de la Musique symphonique de la S.A.C.E.M. 2006 et nommé aux "Victoires de la musique classique" à quatre reprises en 2004, 2005, 2007 et 2008, Nicolas Bacri, né à Paris en 1961, est l'auteur de plus de cent partitions dont six Symphonies, six Cantates, dix concertos (pour violon (3), pour clarinette (2), pour trompette (2), pour violoncelle, pour piano, pour flûte) et plusieurs autres oeuvres concertantes (Requiem, Folia, Symphonie concertante, Concerto nostalgico, Concerto amoroso, Une Prière, Divertimento, Nocturne, Notturno etc...) pour divers instruments, ainsi que sept Quatuors à cordes, quatre Trios avec piano et plusieurs Sonates et Suites pour violon, alto et violoncelle. Parmi les succès récents qui confirment la place distincte de N. Bacri au sein d'une nouvelle génération de compositeurs français on peut citer sa Sixième Symphonie op. 60, écrite en 1998 à la demande de Radio-France et enregistrée par l'Orchestre National de France sous la direction de Leonard Slatkin (cette oeuvre a été choisie par le jury du concours international Masterprize parmi 900 partitions pour être interprétée par l'Orchestre Symphonique de Londres sous la direction de Daniel Harding en 2003 au Royal Festival Hall) et son Divertimento op. 66, pour piano, violon et orchestre, commande de la Ville de Paris, créé par l'Orchestre Philharmonique de Radio-France dirigé par Pascal Rophé au Théâtre du Chatelet, diffusé en direct par France-Musique et télévisé (2000) repris en 2006 pour la même occasion Salle Pleyel avec les mêmes partenaires. En 2002, son oeuvre, Une Prière, dans sa version pour violon et orchestre, est enregistrée par la firme RCA (BMG),avec Laurent Korcia et l'Orchestre symphonique de la WDR de Cologne sous la direction de Semyon Bychkov qui, dans la foulée, commande à N. Bacri son 3° Concerto pour violon op. 83, créé, enregistré et télévisé (Allemagne) en novembre 2003 avec la violoniste zurichoise Mirjam Tschopp. C'est encore l'Allemagne qui suscitera la création de son Concerto amoroso, dédié à François Leleux et Lisa Batiashvili, commande jointe du Alte Oper de Francfort et du Tapiola Sinfonietta (Helsinki), en mars 2006, tandis que les années 2003 à 2006 auront été marquées par une collaboration suivie avec l'ensemble Matheus de Jean-Christophe Spinosi, l'Orchestre de Bretagne, "L'Ensemble-Orchestre de Basse-Normandie" de Dominique Debart, l'Ensemble instrumental "La Follia" de Christophe Poiget, le Choeur Mikrokosmos de Loïc Pierre et l'Ensemble Capriccioso pour lequel il écrit une nouvelle version de la Symphonie de chambre op. 9 d'Arnold Schoenberg.N. Bacri commence par l'apprentissage du piano à l'âge de sept ans puis complète sa formation par l'étude de l'harmonie, du contrepoint, de l'analyse musicale et de la composition avec Françoise Gangloff-Levéchin et Christian Manen puis, à partir de 1979, avec le compositeur d'origine allemande Louis Saguer. En 1980, il entre au CNSM de Paris où il recevra l'enseignement de Claude Ballif, Marius Constant, Serge Nigg et Michel Philippot. Il quitte le Conservatoire avec le premier prix de composition en 1983 et devient, pour deux ans, pensionnaire à l'Académie de France à Rome (Villa Médicis). En 1987, Radio-France le nomme au poste de délégué artistique du service de la musique de chambre. Il abandonne cette activité en 1991 pour se consacrer de nouveau entièrement à la composition en devenant pensionnaire de la Casa de Velasquez (jusqu'en 1993). Soutenu par la Fondation d'entreprise Natexis de 1993 à 1996 il réside à La Prée à l'invitation de l'Association culturelle "Pour Que l'Esprit Vive" de 1993 à 1999 et remporte de nombreux prix parmi lesquels le Grand Prix de l'Académie du disque 1993 et plusieurs prix de la S.A.C.E.M. et de l'Académie des Beaux-Arts pour l'ensemble de son --uvre. Premier compositeur invité de l'Orchestre Symphonique Français (direction Laurent Petitgirard) il a été nommé "compositeur en résidence" à l'orchestre de Picardie par Louis Langrée pour lequel il a écrit ses 4° et 5° Symphonies, puis par Xavier Delette pour lequel il a écrit sa 5° cantate, créée et enregistrée par l'Orchestre de Bayonne-Côte-Basque. En 2005 il est nommé professeur d'orchestration au Conservatoire/Haute école de musique de Genève et réside à Bruxelles depuis septembre 2007.
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Whatever the school or current to which they claim allegiance, contemporary composers may for the most part be classified according to two main esthetic trends. Many of them coin their style under the influence of spontaneism and according to the hedonistic drive that is characteristic of our consumer society ; those are often want to try to restore an idiom or writing methods that once were attractive to a relatively large audience of music lovers. Some others are dominated by a non-negotiable radicality and contend that artists must resolutely be the spearheads of society, even if that means cutting themselves from it, as long as it has not been able to incorporate the new codes that they put in place ; these composers often claim post-Webernian inheritance of integral serialism. However, this alternative does not account for the whole of the musical landscape, which is fortunate. Many artists contunuously affirm their independence vis-à-vis both of these trends ; they often do so by emphasis expressiveness, witout resorting obvious effects or clichés, as do a number of neo-tonal composers with delight, and conversely, without prioritising totalitarian and total rationality at the expense of expressiveness. Among those who seek genuine, original paths, Nicolas Bacri stands out by his thought process whose sincerity is authenticated not only by the artistic restlesnes which drives him to continuously wonder about the aims of his art and put into questions his composition habits, but also by esthetic choices that appear as a necessary consequences of a musical reflection and practice - as opposed to the incidental fallout of ideological presuppositions.Bernard FournierBorn in november 1961, Nicolas Bacri is the composer of some one hundred works in many genres. He has received such recognition as Prix de Rome (two years scholarship, Villa Medici, 1983-85), Prix Stéphane Chapelier (S.A.C.E.M.), Prix André Caplet de l'Académie des Beaux Arts, Prix Pineau-Chaillou 1991 (City of Nantes), Prix Hervé Dugardin (S.A.C.E.M.), Grand Prix de la Nouvelle Académie du Disque 1993, Prix Georges Wildenstein de l'Académie des Beaux Arts, Lauréat de la Fondation d'Entreprise du Crédit National (Natixis), Casa de Velazquez (two years scholarship, Madrid, 1991-93), Prix Pierre Cardin de l'Académie des Beaux Arts, Prix Claude Arrieu (S.A.C.E.M.), Lauréat du 5ème Concours Jeunes Artistes Européens : Young composers, Leipzig (B.P. Oil Europe) and, last but not least, Grand Prix de la Musique symphonique 2006 (S.A.C.E.M.). Recent important commissions have come from French Ministry of Culture, Radio-France, Orchestre des Jeunes de la Méditérannée, Alte Oper Frankfurt, Tapiola Sinfonietta, Pro Quartet... His orchestral works have been performed, among others, by Orchestre National de France, Orchestre Philharmonique de Radio-France, Ensemble Orchestral de Paris, London Symphony Orchestra, Philharmonia Orchestra, WDR Sinfonie Orchester-Köln, English Chamber Orchestra, Munich Chamber Orchestra, European Camerata, Tapiola Sinfonietta, Collegium Musicum Bruggensis, Liège Philharmonic orchestra... With such conductors as Kees Backels, Martin Brabbins, Semyon Bychkov, Daniel Harding, Richard Hickox, Jean-Jacques Kantorow, Louis Langrée, Leonard Slatkin, Yann-Pascal Tortelier, Pascal Verrot... Cds containing N. Bacri's music released since fifteen years includes (mainly) First, Third, Fourth, Fifth and Sixth string quartets, Fourth Symphony (Classical Symphony "Sturm und Drang"), Concerto for cello and orchestra, Second Concerto for violin and orchestra, Une Prière, for violin and orchestra, Flute Concerto, Concerto da camera for clarinet and strings, Concerto amoroso, Concerto Nostalgico, three piano Trios, Sonatas for violin and piano, for cello and piano, for viola and piano etc..."After studying music analysis and composition with Françoise Gangloff-Levéchin, Christian Manen and Louis Saguer (from 1979), he entered the Paris Conservatoire (graduated 1983, first prize for composition), where his teachers were Claude Ballif, Marius Constant, Serge Nigg and Michel Philippot. During a two-year residency at the Académie de France in Rome (1983-85) he met Scelsi, who had a great influence on him. From 1987 he was at the head of the chamber music department of Radio-France, a position he relinquished in 1991 to devote himself entirely to composition. He had also held residencies at the Casa de Velasquez (Spain) and with a number of French orchestras (from 1993). His early works, which culminate with the First Symphony (1983-4, dedicated to Elliott Carter), are rooted in a constructivist post-Webernian aesthetic. Later compositions, beginning with the Cello Concerto (1985/87, dedicated to Henri Dutilleux), draw on the melodic continuity displaced by the predominant aesthetic of the postwar period. This change of style has placed Bacri in the musical aesthetic of his time, where a spirit of reconciliation prevails." (Philippe Michel, Grove Dictionary of Music, edition 2001)

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Influences: Zwei fragen an die Geigerin Mirjam Tschopp Zum Anlass der Neueinspielung des Concerto n°3 im März 2009 in Schwerin

Wie ist es zur Zusammenarbeit mit N. Bacri gekommen ?
1999 bekam ich von der Schweizerischen Kulturstiftung Pro Helvetia den Auftrag, in Paris ein Rezital zu spielen, das ein Werk eines lebenden Schweizers und eine Sonate eines jüngeren französischen Komponisten enthalten sollte. Die Suche nach dem französischen gestaltete sich sehr schwierig, weil ich damals keinerlei Kenntnis des französischen Musiklebens hatte. Sozusagen als letze Chance durchsuchte ich die Regale des grösten Zürcher Musikgeschäftes nach Ausgaben französischer Verlage und sties so als erstes auf eine Sonate von N. Bacri. Als ich die erste Zeile las, wusste ich, dass ich dieses Werk spielen wollte - ja musste. Die ganz eigene Melodieführung wie auch das Dunkle, Erdige dieser Musik sprang mich förmlich an. Noch immer zählt diese (1.) Sonate opus 40 von N. Bacri zu meinen Lieblingswerken. Aus dieser Aufführung hat sich eine intensive künstlerische Zusammenarbeit entwickelt - im Laufe der folgenden Jahre schrieb er fûr mich nicht nur seine 2. Violinsonate (opus 75), die ich beim Lucerne Festival uraufführte, sondern auch sein 3. Violinkonzert, ein Auftragswerk des WDR Köln und seines Chefdirigenten Semyon Bychkov, mit welchem ich das Werk 2003 uraufführte.
Was macht seine Musik für Sie besonders interessant ?
Es ist diese ganz persönliche Farbe dieser Musik. Das Dunkle Komplexe, Tiefe, das vielleicht gar nicht so einfach in Worte zu fassen ist. Seine Musik war in den 90-er Jahren manchmal richtiggehend brutal ; so hart, rythmisch geschärft und latstark war sie. Doch schon in diesen Werken (die 1. Sonate gehört dazu) kontrastierte diese Härte mit Melodien, die sich in einem zumeist freien tonalen Rahmen und in einem für ihn typischen Ablauf von intervall-Schritten über weite Strecken schwingen. Es sind oft schwermütige Melodien, die einen richtiggehend mitziehen. Je später seine Werke werden, desto mehr nehmen die Melodien gegenüber dem strikten Rhythmus überhand ; desto harmonischer wird seine Musik. Zu dieser musikalischen Tiefe kommt ein Aspekt, derebenfalls von Grosser Bedeutung ist : Die "handwerkliche" Qualität dieser Musik ist einzigartig. Welche Komponisten seiner Generation können noch richtige Konzerte schreiben ? Oder eine richtig gute Solokadenz ? Sogar Passagen mit vielen schnellen Noten sind durchdacht und verbergen oft Melodielinien. Der Dialog zwischen Soloinstrument und Orchester ist perfekt ausbalanciert. - - - - - - - - - - - - -

Deux questions à Mirjam Tschopp à l'occasion de la reprise de son Concerto n°3 en mars 2009 à Schwerin
Comment votre collaboration avec N. Bacri a-t-elle commencée ?
En 1999 Pro Helvetia me demanda de faire un concert au Centre Culturel Suisse à Paris dans lequel je devais, outre des pièces du grand répertoire, programmer deux compositeurs vivants, un Suisse et un Français. La recherche d'une oeuvre française me posa un problème puisque je ne connaissais que peu de choses de la vie musicale française et ma dernière chance se joua lorsque, dans un grand magasin de partitions zurichois, je parvins enfin à mettre la main sur la Sonate op. 40 de N. Bacri. Dès que j'en lus la première ligne je sus, par la façon très personnelle dont se développe sa ligne mélodique et son côté sombre et "sérieux" qui me touche énormément, que cette sonate serait celle que je choisirai pour ce programme. Jusqu'à présent cette Sonate est restée une de mes oeuvres préférées. De ce moment est née une collaboration intense dont les fruits furent la 2° Sonate (opus 75) et le 3° Concerto pour violon (op. 83).
Pourquoi cette musique vous intéresse-t-elle ?
C'est cette couleur très personnelle qui se trouve dans sa musique. C'est le sombre, la complexité et la profondeur, ce qui n'est pas si simple à mettre ensemble. Sa musique, dans les années 90 était parfois presque brutale, rythmiquement très aiguisée et d'une grande densité sonore. Mais même déjà dans cette période (dans laquelle se trouve la 1° Sonate) cette dureté contrastait avec un flux constant de mélodies qui, dans un contexte librement tonal, sont caractérisées par des intervalles dont la périodicité structure la thématique de l'oeuvre. Ce sont souvent des mélodies mélancoliques qui vous bouleversent réellement. Plus on avance dans le temps, plus l'aspect mélodique prend le pas sur l'aspect rythmique et rend sa musique plus harmonieuse. En plus de cette profondeur musicale s'ajoute un aspect également important : la qualité de la facture musicale, du savoir-faire artisanal, est exceptionnelle. Quels sont les compositeurs de sa génération qui savent encore écrire de vrais concertos ? Ou de vraies cadenzas de concerto ? Même les passages avec beaucoup de notes rapides sont construits de manière à ce que l'interprète puisse en révéler des lignes mélodiques "cachées", implicites. En outre, le dialogue entre l'instrument soliste et l'orchestre est parfaitement équilibré.

Sounds Like: Nicolas Bacri is an artistically restless composer driven to continuously question the goals of his art and his compositions habits, an attitude that has resulted in aesthetic choices that are consequences of carefully weighed musical reflection and practice (as opposed to the outcome of ideological presuppositions). This is particularly noticeable in his quartet production, which has yielded starkly contrasting works. (HBdirect)

"En effet la musique de Nicolas Bacri vaut certainement la peine d'être étudiée, car l'imagination et la maîtrise musicales que vous y trouverez montre que ses partitions sont parmi les plus importantes de sa génération française."
Elliott Carter, 11 novembre 1989.

"J'aime la profondeur de la musique de Nicolas Bacri."
Henri Dutilleux, Diapason, 1998.

"C'est l'exemple d'une musique "simple" dont la matérialisation sonore révèle une complexité insoupçonnée."
Gérard Condé, in "Le quatuor à cordes en france de 1750 à nos jours", AFPM, Patrimoine.

Dear Nicolas, > Yesterday we performed the premiere of your Suite ( 'A Smiling Suite', op.100b) written for us and it was a great success. We have enjoyed so much learning the piece and our delight was echoed by the audience last night. Your work is most clever and fascinating, such a wonderful mixture or suggestions of different styles but yet so original. We truly enjoy playing it and will use it often in the future. Many thanks from us all for such a terrific piece and all the best from the 3 of us,
Elsa
> -- > Dr. Elsa Ludewig-Verdehr > Distinguished University Professor > College of Music, Michigan State University > Verdehr Trio website: www.verdehr.com
Record Label: Unsigned

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