In The Cosma profile picture

In The Cosma

I am here for Networking

About Me

Voici une question simple, mais essentielle. C'est la seule question au monde à laquelle personne d'autre que nous-même ne peut répondre. La réponse est d'une importance fondamentale et la solution ne viendra pas de l'examen de notre passeport ou d'un coup d'œil dans le miroir.
"Je pense, donc je suis"
Exister c'est être; être c'est exister. Ainsi l'existence est-elle quelque chose d'immédiat, qui constitue le commencement de tout. En ce sens, l'existence est le simple fait d'être, l'être conçu sans détermination aucune, sans prédicat, sans rien : l'être commence donc par l'indétermination de l'existence, indétermination du fait d'être pur et simple. Ainsi, cette première idée de l'existence nous la ferait concevoir par une connaissance immédiate. De ce point de vue :
être et pensée sont identiques ; l'existence est immédiatement connue. La connaissance de ce qu'est l'existence est ainsi issue originellement de l'existence même. Chacun aurait donc un savoir immédiat de l'immédiat.
L'existence, dans la métaphysique occidentale, est en-dehors du concept : en ce sens, on ne peut lui reprocher d'avoir ignoré l'existence, puisque l'existence est simplement ce qui échappe à l'essence : l'existence ne se déduit pas du concept, elle n'est pas un prédicat mais une position -ce qui est posé ici et maintenant.
Mais l'existence est aussi ce qui est individuel, et par conséquent elle relève non du savoir sur ce qui est, mais de la subjectivité.
C'est donc l'individu qui est l'existant, et la connaissance de sa réalité passe par sa conscience et par ses actes (sa volonté). Or, c'est cet aspect de l'existence qu'ignore la spéculation métaphysique, à laquelle s'opposent les philosophies qui partent de l'individu, de sa liberté et de ses choix de vie.

My Interests

I'd like to meet:



Celui qui a créé la vie pour lui dire de changer deux ou trois choses.

My Blog

The item has been deleted


Posted by on