Je naviguais ici même, troublement animé d'une question ou l'autre, telle que par exemple : que signifie faire le tour du monde en solitaire. J'ai trouvé là une illustration qui m'a laissé une impression profonde. C'est une archive trouvée sur le site dédié au canal de Panama. Un croquis. Il existe des images comme cela, dont la présence est aussi réconfortante qu'étrange. Ce n'est pas rien, quand l'inconnu se donne dans l'évidence et la familiarité. Comme cette impression restait, je ne pus m'empêcher de fouiller dans ma mémoire pour y trouver quelques emboîtements d'où l'image pourrait émarger. Bien entendu, dans la mémoire, de tels emboîtements n'existent pas. Cependant, une certaine torsion prit place au coeur de la confrontation, qui fit distinctement apparaître les raisons de l'attirance réciproque qui maintenant nous liait.
Je pouvais relier les coordonnées du croquis à des lectures que j'avais faites ces dernières années. Par ailleurs, la torsion qui s'avérait se traduisit en phrases. Et je pus à mon tour comprendre le sens de ma question initiale. Je fis moi-même, de cette façon, un tour du monde en solitaire qui me fit rentrer au bercail. Je ne vous donnerai pas ici le tour complet, qui se révélerait fastidieux à la lecture. Je partis du nécessaire outillage de l'extase nautique pour arriver à la légende terminale :
Voici l'histoire d'un homme qui avait des problèmes de conscience
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