Member Since: 14/12/2007
Band Website: www.robertsantiago.com
Band Members:
Robert Santiago : accordéons et chant
Robert Santiago y su Tipica :
Vincent Viala : piano
Éric L'Heudé : percussions
François Lalange : basse
Séverine Freitas : chant et petites percussions
Lamine N'Diaye : bongos
Influences: Assister à un concert de Robert Santiago (chant et accordéon), c’est s’embarquer pour un voyage sonore sur le continent sud-américain. Ses influences sont nombreuses : cha-cha, boléro, mambo et son cubain, cumbia et vallenato colombien, valse péruvienne, bomba afro-équatorienne… mais, fusionnant les genres, il nous livre «sa» propre version du répertoire. Une variété d’ambiances et de climats épicent la «sauce Santiago» et font de ce concert un moment musical unique, original et festif.
PANAMERICANA : NOUVEL ALBUM DANS LES BACS & chez BUDA MUSIQUEPETITE REVUE DE PRESSE …
“Robert Santiago ne cesse de peaufiner son identité choisie. Nourri de rencontres, de voyages, de partages, il propose ici un festival vivant à base de thèmes traditionnels d’origines diverses, de compositions locales et même de créations personnelles plus vraies que nature. Il chante de toutes ses forces en jouant diatonique, diverses guitares et mandolines, flûtes et percussions. Un vrai régal de rythmes, de mots, de sons. Comme quoi on peut se revendiquer autre et se donner les moyens de finir par être autre. L’identité choisie, quand la démarche s’assume jusqu’au bout du bout, côtoie de plein droit, naturellement, les héritages de fait. Aïe !†Claude Ribouillault - Trad Mag - CD ‘Recommandé’
« Panamericana » … un album qui trace la voie au moyen de rythmes et de paysages les plus variés.Françoise Jallot - Accordéon Magazine
C’est une joyeuse traversée de l’Amérique latine que propose le bouillonnant orchestre typique dirigé
par le (très bon) accordéoniste et multi-instrumentiste Robert Santiago.Francisco Cruz – Vibrations Mars 2008
…un beau disque plein de chaleur humaine. Son phrasé à l’accordéon nous ouvre les portes d’un répertoire assez méconnu…
Philippe Krumm – Mondomix Juillet 2008
Avant même d’écouter les premières notes de Robert Santiago et son Orchestre Typique, j’ai éprouvé une très grande sympathie pour son engagement, pour son militantisme et pour la qualité de ses créations. Mais évidemment, cela ne serait que peu de choses sans la qualité musicale de ses deux albums. Une énergie festive et colorée qui interdit de rester immobile en les écoutant. On croirait un feu d’artifice, mais il ne faudrait pas s’y tromper, c’est du grand art. Comment dire ? La culture vivante à l’état pur. On hésite entre l’ethnomusicologue accordéoniste ou l’accordéoniste ethnomusicologue. Et l’on ne sait qui admirer le plus. Question sans objet peut-être tant les deux compétences sont intimement liées et indissociables. L’écoute de Robert Santiago et son Orchestre Typique m’enthousiasme, car j’y retrouve les deux dimensions du plaisir esthétique définies par Roland Barthes : le studium, l’intérêt intellectuel et quasi réflexif pour une œuvre, et le punctum, le choc quasi émotionnel qu’on en ressent immédiatement…Extrait du blog de Michel Rebinguet - http://bistrotaccordion.blogspot.com
Comme le nom l’indique, il s’agit d’une exploration des multiples facettes des musiques traditionnelles d’Amérique du Sud. L’explorateur en question est Robert Santiago, français de langue espagnole, multi-instrumentiste, chanteur, écrivain, chercheur et acteur occasionnel qui a beaucoup voyagé avec son accordéon diatonique a travers toute l’Amérique du Sud, dans une quête apparemment insatiable d’inspiration musicale et spirituelle. Lui et ses quatre collègues jouent ensemble depuis plus d’une décennie et ils sont rejoints sur ce disque par quelques invités, parmi lesquels le célèbre guitariste gitan Raphael Faÿs. Ensemble ils ont produits une célébration joyeuse et originale de l’héritage musical que l’Amérique du Sud à laissé au monde. Si ça fonctionne si bien c’est que ça n’est jamais simplement une copie fidèle. C’est un grand festival de cumbias, de rumbas, mambos, merengues et d’autres formes moins évidentes comme le joropo, la bomba ou le xote cadencé, légèrement reggae du nord-est du Brésil. Robert Santiago n’a jamais peur des mélanges et fait des essais d’instrumentation comme, par exemple la délicieuse version à l’accordéon du Mambo Lupita de Perez Prado, qui n’est que l’une des nombreuses et heureuses surprise de l’album. Difficile de choisir un morceau en particulier … Cependant, l’album se termine en contraste avec l’ouverture tapageuse sur une émouvante « canción a mi mama » interprétée par Santiago seul à l’accordéon. On y entend des accents de Manu Chao : ça m’étonnerait que Panamericana se vende aussi bien que Clandestino, mais il est tout aussi attachant.Mark Sampson / Songlines « Top of the world mai/juin 2008 (Trad. M. Peinado)
Avec ce deuxième album, Robert Santiago nous invite à poursuivre notre voyage a travers l’univers de l’accordéon latino. Son carnet de voyage musical réunit avec maestria, morceaux traditionnels, classiques du répertoire et compositions personnelles.Christophe Doumerg – La République du Centre Juin 2008
… un régal de rythmes joyeux et de clins d’œil sonores dont l’intérêt, hormis celui de nous faire passer un moment de plaisir festif, est d’élargir le domaine des musiques latino que l’on peut entendre ici et là … Allégresse !Claude Ribouillault - Trad Magazine
…“El Camaleón†: une réussite pour un petit Français d'Orléans qui fait résonner sans complexe et avec originalité les musiques, sons et rythmes des Amériques du Sud.Henri Cordier - Accordéon Magazine
Laissez-vous embarquer pour un voyage latino-américain avec Robert Santiago qui depuis 25 ans, écume les routes sud-américaines. Mélangeant allègrement les genres, il nous fait goûter à un répertoire varié avec comme fil d’Ariane, son accordéon festif. Vive l’accordéon-caméléon !Vocable espagnol
… ce disque génial où accordéon diatonique et chant orchestrent une drôle de valse entre cha-cha, cumbia, mambo ou boléro et osent même une relecture amusante des standards latinos les plus éculés … une énergie festive qui force le respect.Elisabeth Stoudmann - Vibrations
Un trublion exotique se camoufle dans l’accordéon pour savourer la rumba et la java et les fondre dans la cumbia et le vallenato colombien, l’air de rien !LYLO
… le secret le mieux caché du Paris latino … une synthèse réussie entre les bals dansants latinos et l’imaginaire sud-américain.Nova Mag
La musique de Robert Santiago est riche en influences … le résultat est surprenant et la joie de vivre prédomine dans cet opus. Si le terme « world musette » vous est familier, ouvrez-vous à la musique de Robert Santiago, voyage garanti !mcm.net
Au rayon des excentriques flamboyants, Robert Santiago sera ce soir à La Maroquinerie pour fêter son premier album « El Camaleón »... Du Texas à La Terre de feu, Robert Santiago a promené son accordéon partout, enregistrant des sambas, des chansons, des danses… changeant de rythme comme le caméléon qui donne son nom au plus beau morceau de cet album gorgé de soleil et déhanchements sensuels.Yves Jaeglé - Le Parisien
L’accordéon sud américain est peu connu en France et Robert en est sûrement le précurseur … sa façon de jouer nous change franchement du jeu folk européen ... Le CD, constitué de compositions traîne un enthousiasme sans faille. Aucune baisse de régime, 18 titres qui coulent, impétueux et colorés comme l’Amazone … L’accordéon n’est pas un alibi, il travaille! Les percussions sont omniprésentes mais utilisées avec finesse et pertinence, la voix est impeccable dans cette sauce qui prend immanquablement dès les premières notes de chaque morceau : tous les titres sont bons ! Rien à jeter dirait Brassens ! Ajoutons quelques ambiances « de là -bas » disséminées qui donnent à l’ensemble un indécrottable aspect sympathique, et vous aurez l’un des deux ou trois CD’s de diatonique les plus intéressants depuis longtemps…Yann Dour – « La Feuille »
Sounds Like:
EXPOSITION ITINERANTE "ACCORDEONS..." Coll. R Santiago
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