Hitler pour savoir s'il avait une érection lorsqu'il voyait un juif...mon banquier pour lui péter la gueule...dieu pour boire une bière...Rocco pour comparer...ma mère pour engueuler son utérus...moi pour me foutre des claques...Jésus pour faire un concour de surf sans planche...Zidane pour lui piquer du fic...Asia Argento pour faire l'amour...et personne car tout le monde me fait chier. Aux démons gris de mon cerveau, appuyant sur quelques boutons, rien ne serre de pressé puisque je ne daigne même plus partir,quand au point nommé de toutes mes tempètes,j'aspire l'asphalte noire de toutes mes mers,je saute par dessus bord,essui mon front de tout son sens pour ne plus rien lui donner et jette par dessus bord les ordures d'un ménage ordinaire. par ci des enfants morts dans des bras lasse de ce poid inodore d'une trace qui s'efface,par là d'autre rengaine de putains grave criant en aigues que tout est bel et bien fini,que le temps n'est plus car la mer infinie leurs a rongées les yeux...et moi,là ,lassé parmis les "peu m'importe",je regarde d'entre les "tous" mon petit "rien" de moi se faire la malle...sympathie du corps naturelle amour de l'autre primitive,qui,sans plus de raison que celle du "soi" mérite la chaise,si ce n'est l'électrique...alors la terre tremble,le sang des cranes pourpre s'enfonce dans la chaire molle de cette boue rouge et tout mon être rit de cette farce idolatre de cette fresque desespéré d'homme respirant par les cotes et d'autres les aidant par l'esprit...rire sournois,petite voix lunatique,criras tu je m'en fous que je ne te répondrai même plus...qu'ils crèvent tous les os brisé par je ne sais qu'elle catastrophe,je ne serais ni la main pour secourir,ni la voix pour consoler,ni l'épaule pour pleurer...Juste ce large sourire qui fend des visages comme d'autres des mers,pour qu'enfin de vous tous je puisse jouir le premier...