tout mélangé et même pas rangé par ordre alfabétique...la musique, la peinture, le bricoage, la rando, des concerts où ça danse et pas qu'un peu, les bonnes soirées entre pots, les apéros en terrasse au soleil couchant, bouquinner, lézarder avec le soleil dans le dos, le jus d'oranges préssées, le bulgare, la guitare, le ski avec beaucoup de neige...
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Le dernier projet peinture expo////Quelques correspondancesImage Objet de ConsommationAndy Warhol : Peintre pop-art et cinéaste américain, né à Pittsburg en 1928 – décédé à New-York en 1987. Provocation, extravagance et scandale. Illustrateur publicitaire élevé au rang d’artiste, leader charismatique du mouvement Pop Art des années 60. Ses portraits de célébrités ont fait le tour de la planète. Ses figures favorites sont le familier, le neutre ou les figures célèbres. Le ton est à la fois populaire et iconoclaste, s’inspirant de la culture populaire d’une société de consommation. Chez Warhol, la répétition de figure se rapporte souvent à son exténuation. La société de consommation ne jurait que par le Ketchup, le Coca-Cola ou la soupe Campbell dont les symboles publicitaires furent détournés par Warhol, lequel comprit avant tout le monde que leurs images avaient un impact extraordinaire sur des millions de consommateurs et que leur utilisation au niveau artistique ouvrirait la porte à de nouveaux concepts.Agrandissement – Inquiétante EtrangetéChuck Close : un des principaux représentant du courant hyperréaliste, né à New-York en 1940. La composition et le sujet des tableaux de Close sont restés les même depuis ses début en 1967 : la reproduction en gros plan de la figure humaine (échelle gigantesque). Rejetant tout traitement humaniste des visages, il les traite comme une carte, le front, les yeux, les joues ou le menton font l’objet d’un intérêt égal.Forme - MatièreYann Pei-Ming : né en 1960 à Shanghai, vit à Dijon. Yann Pei Ming aime à dire qu’il lui faut vingt ans et quinze minutes pour réussir un portrait. Tout se joue dans l’acte. Sa faculté de saisir l’essence du sujet dans la capacité de quelques gestes aériens, quelques coups de brosse nerveux, sans « fignolage » ni repentir. Il peint des formats immenses et travaille au rouleau et à la brosse. Il crée des saturations de noir, de blanc, de gris et parfois de rouge, des visages en gros plan.Mémoire et mythe en peintureGérard Garouste : Personnalité reconnue dans le domaine de la peinture, où il revisite avec audace, mais dans le respect des traditions, les grands classiques de la mythologie, Gérard Garouste fait partie d'une nouvelle génération d'artistes qui se plaisent à expérimenter diverses formes d'expression. Gérard Garouste, peintre des fables et des mythes se consacre ici à l’art du portrait. Selon sa manière, les corps sont déformés et démembrés, métamorphosés, amputés, affectés d’excroissances délirantes. On reconnaît aisément des visages, à commencer par le sien dans une série d’autoportraits, celui de Corinne Ricard ou encore celui de Daniel Templon lui-même, mais si "la sagesse du classique" en conserve fidèlement les traits, la folie du peintre s’empare de tout le reste.
Entre photographie et peintureLa photographie devient un outils documentaire utile aux peintres et en particulier pour mon travail comme support de composition, recherche formelle : une base pour une autre production.
J’effectue mes propres cadrages, je procède à une nouvelle construction de l’image, ce sont des choix qui influent sur le résultat final.
Les jeux de matière de mes portraits ne ressemblent pas aux photographies originales.
Le choix de telle ou telle image photographique est le résultat d’une émotion.
C’est un long travail en amont avant la réalisation picturale.Mon travail n’est pas un simple reportage d’événement. Par la disposition de ces visages, la composition de l’ensemble du tableau et le cadrage des différents éléments, je mets le spectateur en position d’acteur en tant que participant, pris dans le tableau. Ces images deviennent des témoignages sociaux, politiques et culturels.Série « Jazz »Cette nouvelle série s’articule autour de la notion d’un espace visuel sonore à travers le portrait.Louis, le Duke, Cab Calloway et les autres ont quitté le Cotton Club...
Caroline MILIN les accueille pour nous.A Malevitch, elle emprunte le blanc somptueux de son grand Carré blanc.
A Pierre Soulages, la merveilleuse lumière et la matité de ses noirs profonds, pour nous offrir les images d'une mythique JAM SESSION.
L' "hyperréalité" des visages, des regards, des postures nous entraîne derrière le miroir dans la magie d'un monde où les images deviennent miraculeusement SONORES.
Hors de ces toiles, jaillit alors, une mythique Note Bleue...Les dernières toiles utilisaient le portrait comme un prétexte à développer les questions relevant de la notion d’identité, de communication, de dialogue, de l’intime, de l’individualisme.
L’importance des regards et l’expression des visages sont des paramètrent récurrents dans mes toiles. Ils matérialisent un spectateur en face de la toile.
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