Après 6 mois, Sae (basse) se casse pour des raisons d'influences, je cite "Mart me brisait les noix avec son rock british, il n'était pas comme ça avant ce placenta." Il en résulte les Wostils, pour marquer le changement de bassiste (Vincent) et par la même occasion de style vestimentaire : manches longues proscrites.
En Juin, après un concert catastrophique sous L.S.D. assuré par Martin, Vince et Hugo Bodkin (The Shakers) à la batterie, Nico "leaves the band" à son tour pour consacrer sa vie à l'élevage de morpions (et aussi à son nouveau boys band : Pulse). Vince, imprégné d'influences stoniennes, le remplace tout naturellement à la 6-cordes. Plus rock que jamais, le désormais trio compte bien faire parler de ses excès lors de soirées mondaines à Montpellier. Une page s'est tournée, Philippe Manoeuvre n'a plus qu'à faire le reste.
Cinq putain de jours plus tard c'est lors d'un show acoustique (Woody a eu un accident de dragster à N-Y) que le crew découvre ses nouvelles possibilités, notamment lors de reprises " al arrach' " de chansons méconnues, j'ai nommées "Satisfaction" et "London Calling". Après une heure de show psychotique, la soirée dégénère vite en vomi-party et Vincent pète totalement les plombs : 4 heures de garde-à -vue et 130 euros d'amende pour outrage aux bonnes mœurs Le groupe est définitivement de retour ; un nouveau changement de nom ?
Finalement lassé des banalités montpelliéraines, le reste du crew s'exile à la "big apple" sur les traces de Lou, Andy et les autres de la factory.
"Wot da fok iz Jacob ?" me diriez-vous, "Ta gueule" vous repondrais-je, la bande folle de Jacob est tout ce qu'il me reste.